|
| [T.] J'ai perdu. | |
|
+24desire-m0i Olakolai lalittleheartdu38 rocky girl linouu Eng3ll faraway Viola. kaulitzlover483 misskauldu13 caro17 Sunshine_. Nuage. amandus kaulitz Neytiri Harmony# MadHatter miss-hotel29 Exotik val Anneso- Sweet* Papagei Lysanxia 28 participants | |
Auteur | Message |
---|
Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Lun 3 Jan 2011 - 21:43 | |
| Mignonne mdr. Merci Clem', si tu as le temps pour une autre, quand tu auras finis tes exams ?
| |
| | | Sunshine_. Heilig
Nombre de messages : 4101 Age : 30 Ma localisation : Paris Date d'inscription : 28/04/2010
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Mar 4 Jan 2011 - 8:15 | |
| BORDEL A QUEUE!!!
Tom est trooooop chou, comment il s'inquiète pour Gaby, c'est adorable!
Mais ils devraient. PAS avorter ils vont le regretter sincèrement bordel a queue (bis)
J'te ferais un commentaire plus long la prochaine fois, j'vais en cours xD! | |
| | | Papagei Traductrice
Nombre de messages : 2672 Age : 31 Ma localisation : Lyon Date d'inscription : 11/04/2007
| | | | Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Mar 4 Jan 2011 - 20:32 | |
| - Citation :
- BORDEL A QUEUE!!!
Mais oui île c'est quoi cette expression, mdr. Vas en cours mdr. @ clem : moi aussi j'ai ris mdr. C'était recherché ça. ! | |
| | | Sunshine_. Heilig
Nombre de messages : 4101 Age : 30 Ma localisation : Paris Date d'inscription : 28/04/2010
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Mar 4 Jan 2011 - 20:34 | |
| Mouhahaha c'est typique de moi Ca, J'te sors des expressions qu'ecistent pas... Mais celle-la, j'l'aime bien xD! | |
| | | Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Mar 4 Jan 2011 - 20:39 | |
| Ouais lol, elle est bien special mdr. Moi aussi ça m'arrive de faire ça.
| |
| | | amandus kaulitz Fan kraft 483
Nombre de messages : 736 Age : 30 Ma localisation : Avignon Date d'inscription : 07/07/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Jeu 6 Jan 2011 - 17:49 | |
| J"aime J'ai cru que Tom allait nous faire une Crise cardiaque tellement il était excité ! Mais j'aime la tournure que ca prend ! & De ses réflexions face au Bébé ! Mais elle le mérite aussi , alors pas de faux coup ;D ! Suite | |
| | | Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Sam 8 Jan 2011 - 20:52 | |
| Lol si des faux coup :-) suite demain pour qui ? | |
| | | amandus kaulitz Fan kraft 483
Nombre de messages : 736 Age : 30 Ma localisation : Avignon Date d'inscription : 07/07/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Sam 8 Jan 2011 - 20:54 | |
| | |
| | | Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Sam 8 Jan 2011 - 21:02 | |
| Demain ou ce soir, elle est en correction là et toi tu postes pour moi ? | |
| | | amandus kaulitz Fan kraft 483
Nombre de messages : 736 Age : 30 Ma localisation : Avignon Date d'inscription : 07/07/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Sam 8 Jan 2011 - 21:03 | |
| Ah Non c'est trop tot ! Mais toi Hop Hop Hop, de suite la Suite :3 | |
| | | Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Sam 8 Jan 2011 - 21:07 | |
| Elle va arriver de toute façon il ne reste pas beaucoup de chapitre là 4 ou 5 je crois. | |
| | | desire-m0i Schrei
Nombre de messages : 295 Age : 32 Ma localisation : In your Shadow. Date d'inscription : 23/01/2010
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Dim 9 Jan 2011 - 22:09 | |
| | |
| | | val Automatisch
Nombre de messages : 15942 Age : 33 Ma localisation : dans l'iréelle Date d'inscription : 13/01/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Lun 10 Jan 2011 - 17:34 | |
| Je sais je sais je ne demande pas beaucoup de suite comme pour les autres fics que je suis desoler
Je demande une suite | |
| | | Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Mer 12 Jan 2011 - 20:55 | |
| v oilà les filles :
72. 12 Septembre, 2010, si l’eau de mer est mon sang, mon cœur, est rempli de grain sable.
Les jours passèrent vite et rien n’avait changé, Tom avait toujours son attitude de soutien, adorable, voir trop. Les perches que je lui lançais, les questions rien, ne le faisait venir à moi il avait toujours cette fâcheuse attitude de simplicité et agréable, si gentil, que je me doutais que ce n’était pas normal. On était allé voir sa mère pour l’avertir du mariage, qui bizarrement était contente pour nous. On ne l'avait pas prévenue pour demain, ni avant, il valait mieux. Et puis à quoi bon à part lui faire de la peine ? Tom en sortant vers dix-sept heures de la maison familiale, il était énervé parce que je voulais rentrer à la maison et lui aller à la plage c’était à environ une heure de chez sa mère, et avec demain je n’avais qu’une envie dormir.
Tom : écoute, tu peux patienter cinq minutes dans la voiture ? Gabrielle : mais pourquoi faire ? Ca fait dix fois que je te pose la question et tu ne me réponds pas.
Il souffla passa la première et se dirigea énervé vers cette plage.
Tom : de toute façon si j’ai envie d’aller à la plage j’y vais. Gabrielle : on avait qu’à prendre deux voitures. Tom : hors de question que tu reprennes le volant, et puis c’est ma voiture, l’autre est à peine guérie de ce que tu lui as faite ! Gabrielle : tu exagères, tu fais que ça d’ailleurs ! Tom : c’est moi qui exagère non mais arrête ton délire.
Je soufflai lui pareil, et il continua sa route, vers la plage. Arrivé il se gara en face, il n’y avait personne. La plage était belle avec le soleil qui diminuait il n’y avait pas de vague, je le vis prendre un paquet de cigarettes caché dans la boite à gant, et il mit sa capuche et avant de partir il me dit :
Tom : je reviens dans pas longtemps tu t’enfermes, je voulais voir la plage allemande une dernière fois parce que je te rappelle que l’on a prévu de déménager à cause du cambriolage. Gabrielle : je sais. Tom : à tout à l’heure.
Et il partit en claquant la porte, il m’énervait, quand il faisait ça, d’habitude il était gentil vraiment mais des fois il avait vraiment besoin de s’éloigner. Et je n’aimais pas ça, pas du tout. Los Angeles, ma cité comme disait Tom quand il était de meilleure humeur. Je savais pas quelle vie au aurait là-bas, cela me faisait peur, mais il fallait bien, et les États-Unis serait un lieu de travail idéal, le climat serait plus agréable. Mais c’était un gros changement. Je tournais la tête sortant de mes pensées pour regarder par la fenêtre, il était assis en tailleur les coude sur les genoux face à la mer, tout en noir, je me doutais qu’il ne faisait pas un au revoir à une plage, ou l’Allemagne, mais plutôt un adieu à quelque chose qui n’avait pas encore de forme dans la réalité. A notre bébé. Et même si cette idée m’était douloureuse, je ne voulais pas le laisser là, tout seul depuis le début il était là pour moi, je serais là pour lui et ce le temps qu’il me voudrait à ses côtés.
Je sortis de la voiture après l’avoir fermée. Et m’avançai les pieds dans le sable vers ma destinée. Il fut à peine surpris quand je m’assis devant lui, il respira fort. Les yeux rouges, l’humidité de sa joue quand je la collai à la mienne, me fit attraper ses bras et les enroulaient autour de moi, on fit de légers mouvements d’avant arrière, de très longues minutes plus tard il prit la parole.
Tom : excuse-moi, je suis fatigué.
J’en avais marre qu’il mente, mais pour lui c’était vital. J’embrassai alors sa tempe. Et posa la question que je m’étais longuement refusée à poser.
Gabrielle : tu es sûr que c’est ce que tu veux ?
Il m’embrassa le bras. Alors que je le serrais encore plus.
Tom : oui, plus tard ce sera mieux, tu imagines, si tu le gardes, comment je fais pour la tournée mai 2011 ?
Je savais que c’était une excuse bidon, qu’il aurait tout annulé ou reporté, modifié, mais il ne m’aurait pas fait ça à moi. Il ne m’aurait jamais laissée.
Gabrielle : qu’est-ce que je dois te dire Tom ? Tu veux entendre quoi ? Tom : que tu m’aimes, moi, je passe après toi ne t’inquiète pas pour moi. Gabrielle : tu es ma source d’inquiétude numéro un, Tom. Tom : je t’aime. Et c’est tout.
Je le lui dis, et il pencha la tête pour m’embrasser. La journée de demain serra dur pour nous. J’espérais juste qu’il n’aura pas autant de regret et culpabilité que moi.
Avis ? | |
| | | ATTACK_. Hyperaktiv
Nombre de messages : 1327 Age : 30 Ma localisation : Ailleurs. Date d'inscription : 29/08/2010
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Mer 12 Jan 2011 - 21:20 | |
| Je voulais juste te dire que JE SUIS UNE NOUVELLE LECTRICE ! Et que je me suiis taper toute ta fic en une journée ! Je sais pas si tu te rend compte.
J'ai tellement de choses à dire. La première certainement ce serait que je regrette de ne pas avoir commencer plus tot.
Je vais juste me prononcer sur cette dernière suite parce qu'elle me touche beaucoup. J'aime pas comment Tom ment à Gabrielle. Je trouve que même si il veut la proteger , c'est pas bien parce qu'il se fait du mal et en même temps à elle finalement. J'ai peur que si ils tuent le bébé , ils se tuent en même temps tout les deux. Faut pas que ça arrive , Julie ! Parce que sinon c'est moi qui t'écrase avec un bus ! Et je demande de l'aide a Trash ! Alors fais attention !
=) | |
| | | Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Mer 12 Jan 2011 - 21:30 | |
| Une nouvelle lectrice qui vient 5 chapitres avant la fin, mais c'est as grave je suis contente de te voir ici. Une journée pour ma fic ? Purée tu as la foi mdr.
Quand j'ai vu ton nom sur ma fic, je me suis dit que tu étais venu pourrir mon topic comme je le fais au tien mdr. Merde je vais devoir fuir les bus moi aussi alors. Contente de te voir ici. En tout cas.
Juste une chose tu as crut que Bill était avec gaby ? | |
| | | ATTACK_. Hyperaktiv
Nombre de messages : 1327 Age : 30 Ma localisation : Ailleurs. Date d'inscription : 29/08/2010
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Mer 12 Jan 2011 - 21:34 | |
| Franchement non. Parce que bizarrement j'ai tout suite qu'ils cachaient quelque choses. Mais j'avais pas la sensation qu'ils trahissaient Tom de cette façon. Mais j'ai beaucoup douté quand même. Surtout au moment de l'appareil photo. Quand Tom decouvre la vidéo. Ca m'a fait peur j'avoue. | |
| | | Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Jeu 13 Jan 2011 - 21:47 | |
| lyl: la suite, que pour toi, les autres viendront plus tard , j'ai un peu réussi alors je suis contente :-)
73. 13 septembre 2010, une journée marquante à vie.
Je me levai, la tête lourde, tournant la tête vers le réveil digital qui m’indiquait 6H28. J’avais à peine réussit à m’endormir au alentour, et Tom n’avait pas dû lui non plus fermer l’œil de la nuit, il a bougé beaucoup, d’ailleurs. Je tournai la tête, vers lui, il avait les yeux cernés, les traits tirés. Un air triste et fatigué sur le visage mais à mon regard il me décrocha un pauvre sourire sincère, je vins alors me réfugier dans ses bras, collant ma joue contre son torse, je sentis ses bras m’entourer. Ses lèvres sur mon front sa respiration comme seul bruit, j’avais l’impression d’être une de ces sorte d’escargots collés sur un rocher, et qui n’ont qu’un but, rester scellés, à la roche malgré toutes les vagues. Je sentis ses doigts râpeux de guitariste me frôler le dos, jusqu’à ma joue. Et ma respiration hachée, me broyait le ventre. Il m’embrassa délicatement du bout des lèvres.
Gabrielle : c’est à quelle heure ? Tom : 8 heures. On part un quart d’heure avant ? Gabrielle : oui, c’est bien.
Je fermais les yeux, quelques secondes puis me levai, me lavai les dents, le visage, sans même regarder dans la glace, tant mon propre regard me ferait du mal. Je sortis de la salle de bain quand il commença sa douche. Je vis Bill, dans le couloir, m’attendant, en boxer et tee-shirt, le regard terne, les cheveux désordonnés. Il me serra dans ces bras.
Bill : tu es sûre Gaby ?
Je n’avais pas envie de répondre à quoi bon se faire du mal, je n’étais pas capable d’être maman. Je ne voulais pas faire souffrir Tom, encore plus, pourtant j’aurais aimé le voir père. C’est en lâchant Bill et en montant dans la voiture que j’ai trouvé le premier endroit difficile parce que devoir avancer vers un endroit que l’on ne voulait pas aller était terrible. J’avais l’impression que j’allais l’abandonner, tout seul, et que mes derniers instants avec lui étaient dans cette voiture, conduite mécaniquement par Tom. Et les paysages défilaient à haute vitesse comme dans un train. Et ma main posée sur mon ventre, j’aperçus la clinique flambant neuve devant, moi. On s’assit sur une de ces chaises en fer attendant un médecin, Tom bougeait ses jambes, anxieux. Après avoir attendu des minutes paraissant des heures, le médecin nous fit rentrer dans son bureau. Pendant facilement un quart d’heure, il nous parlait des risques je n’ai pas écouté, je n’y arrivais tout simplement pas. Tom regardait par la fenêtre, ayant sans doute l’envie comme moi de sauter. C’est quand le médecin, nous présenta un papier, l’autorisation pour l’avortement, comme un acte de mort. Que l’on émergea doucement, je ne m’attardais pas plus que ça au mot, et signais simplement d’une nouvelle signature, ma première serait donc pour faire ça. Tom prit le papier lisant, lui.
Médecin : vous pouvez signer si vous êtes le père, à titre indicatif, mais ce n’est pas obligatoire.
Il respira calmement pendant que je l’observais.
Puis prit un stylo, et en signant la page 3.
Tom : c’est aussi mon choix. C’est aussi de ma faute. Médecin : très bien, je laisse l’infirmière vous montrez la chambre.
Elle nous mena à une pièce lumineuse au décor épuré. Je m’assis sur le lit et lui le fauteuil en face de moi.
Gabrielle : ça va ? Tom : et toi ? Gabrielle : oui.
Je regardais par terre, et lui par la fenêtre. Une sage-femme vint, alors dans la chambre sans frapper nous faisant sursauter avec un appareil commun, l’échographe. Elle me demanda de m’allonger, et de soulever mon pull, et plaça le liquide froid sur mon ventre, puis appuya sur le bouton pour que les images commencent, tout en maintenant, l’embout fortement sur mon ventre. Elle prit soin d’éloigné l’écran de ma vue, mais pas de celle de Tom. Qui subjuguer n’osait cligner des yeux. Moi ce qui m’atteins le plus été le bruit ces battements, tambour de vie. Me dire que je ne les entendrais plus, me fis du mal. Elle éteignit vite l’écran, et déposa dans un verre et des cachets dans un petit gobelet.
Sage-femme : je vous laisse prendre ceux-là, vous sonnez si vous avez mal. Gabrielle : oui.
Je tenais le cachet blanc du bout des doigts. Et ne pus retenir ma langue face à Tom fixant de nouveau la fenêtre.
Gabrielle : tu es sûr ?
Il tourna la tête rapidement vers moi, me regardant comme choqué.
Tom : Gaby, c’est trop tard. C’est mieux, je t’assure.
Il n’était pas convainquant, je ne le croyais pas.
Gabrielle : dis-moi que tu ne le veux vraiment pas dans les yeux maintenant Tom. Tom : Gaby.
Il n’osait pas, me regarder en face. Je descendis du lit, me mis face à lui.
Gabrielle : dis-le moi Tom. Tom : il n’y a rien à dire Gabrielle, on a choisi depuis longtemps, c’est le jour, on doit le faire.
Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi il mentait aussi mal, pourquoi il n’était pas convainquant. Je voulais qu’il me dise la vérité. Je pris donc le cachet lui mit dans la main.
Gabrielle : très bien, si c’est ce que tu veux vas-y mets le moi dans la bouche, Tom.
Son regard se durcit, mais il était toujours calme.
Tom : Gaby, tu n’as pas le droit, tu sais que ça me fait du mal. Gabrielle : je sais que ce n’est pas ce que tu veux, je le sais, Tom, tu crois pas que j’ai vu ton regard à chacune des échographies ? Arrête de mentir, je t’ai vu récupéré la photo, je sais que tu m’en voudras après. Tu m’en voudras, tellement. Tom : non, mais à quoi ça servirait, tu ne le veux pas, Gaby, t’as jamais voulu d’enfant, l’autre est partie dis-moi pourquoi tu le voudrais celui-là.
Dit-il d’une voix enfouie je ne sais où couverte d’émotion.
Gabrielle : parce que toi tu le veux. Si tu en as envie, vraiment, Tom j’en serais capable. Sinon non. Tom : non, ça il en est hors de question, soit on est deux, soit zéro, je veux pas de bébé tout seul. Je veux pas te voir regretter. Gabrielle : je ne regretterais pas, Tom je t’assure, j’arriverais avec toi, je le ferais pour toi. Tom : tu comprends pas je le veux que si tu le veux, que tu le fasses parce que tu en as envie, parce que tu t’imagines, le serrer dans tes bras, le voir aller à l’école.
La vérité je ne m’imaginais pas du tout ça, cela m’angoissais plus qu’autre chose, mais je ne retins qu’une chose, le fait qu’il en ait vraiment, envie que lui ait imaginé, l’école, le cartable, tout.
Gabrielle : Tom, je ne sais pas si je serais plus prête aujourd’hui que dans 5 ans, je suis morte de trouille, mais si j’arrive à t’aimer, autant, j’arriverais à aimer ce bébé, parce qu’il est de toi, surtout.
Je ne peux pas refaire la même erreur deux fois Tom.
Tom : j’ai peur moi aussi, Gaby, tu crois que je me sens capable d’être père, je n’ai jamais tenu un bébé de ma vie plus de 5 minutes, j’y connais rien. Mais je t’aime, et je pense qu’il mérite d’avoir une maman comme toi ce bébé.
Dit-il d’une voix douce, me caressant le visage. Il cherchait mes lèvres qu’il trouva, puis reprit.
Gabrielle : tu me promets de ne pas devenir un papa gâteau ?
Il sourit, un visage que je n’avais pas vu si radieux depuis longtemps et jeta à l’autre bout de la pièce, le cachet blanc qui rebondit au sol.
Et c’est là que commença le calvaire : la grossesse. Bill commença à s’exciter, entrainant son frère dans les magasins pour enfant comme deux gays à s’extasier. Je posai la main sur mon bas ventre, priant pour que la cohabitation dure le plus vite possible et soit la moins douloureuse. ---------
Deux chapitres les filles happy end or not ?
Dernière édition par .... Jullylie ... le Jeu 13 Jan 2011 - 21:59, édité 1 fois | |
| | | Papagei Traductrice
Nombre de messages : 2672 Age : 31 Ma localisation : Lyon Date d'inscription : 11/04/2007
| | | | Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Jeu 13 Jan 2011 - 22:01 | |
| Ouais toi tu connais tout, tu es un vrai pirate ambulant mdr, Merci miss encore, Allez va retrouvé Jake avant qu'il se fasse tuer par le beau et merveilleux Edward | |
| | | amandus kaulitz Fan kraft 483
Nombre de messages : 736 Age : 30 Ma localisation : Avignon Date d'inscription : 07/07/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Ven 14 Jan 2011 - 21:58 | |
| Owwi J'aime cette suite *_* J'ai lu le plus rapidement possible, complétement dedans, la phase de l'hôpital et du cachet ; espérant arriver à une Happy End ; Et voilà ce Que tout le monde attendait ; LA GROSSESSE . Ils feront de beaux parents , même si il y aura des hauts & des Bas & Puis tes dernieres phrases avec Bill & Tom dans les Magasins ; Mort de Rire ; Deux Gays ambulants & de plus Jumeaux Une note d'humour dans ces frayeurs que tu nous a faite Bref ; Moi je dis 2/3 suite & Happy End ! | |
| | | tokiohotel1402 Hyperaktiv
Nombre de messages : 1106 Age : 30 Ma localisation : Tout pré de Tom ;) Louain de tout. Date d'inscription : 01/03/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Sam 15 Jan 2011 - 12:07 | |
| Nouvelle lectrice. Une suite stp , j'adorrrre | |
| | | Neytiri Heilig
Nombre de messages : 4385 Age : 31 Ma localisation : Dans le gard Date d'inscription : 22/02/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Sam 15 Jan 2011 - 17:35 | |
| Moi je suis pour une happy end! C'est beau, mais qu'ils sont enfantins, c'est mignon. Je savais qu'elle le garderait, car au fond elle le veut, et Tom n'en parlons pas. C'est normal d'être effrayé, mais maintenant qu'ils sont mariés et plus âgés, je crois que c'est la meilleure solution qu'ils ont choisit ensemble. J'ai beaucoup aimé ce chapitre, pour une fois sans dispute et plus d'angoisse. | |
| | | Lysanxia Modératrice
Nombre de messages : 6949 Age : 124 Ma localisation : Dans un kinder surprise. Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. Sam 15 Jan 2011 - 22:04 | |
| @ Amandine : tu es contente , t'y croyais pas avoue, ça se sentais que je vous bananais.
@ tokiohotel42 : tu arrives pour l'avant dernière suite. Dommage mais je suis contente que tu es lu, elle t'a plut ma fictin pourquoi ?
@ neytiri : bah vous n'aimiez pas gaby donc j'ai fais en sorte que ce soit un happy end, pour vous en quelque sorte. Le chapitre qui suit risque de te surprendre alors.
L'avant dernier chapitre :
--------------
74. 1 Décembre 2010, bouboule se rebelle.
Cela faisait trois mois et 24 jours de calvaire. Sa mère, la mienne, son père, mon frère, son beau-père, ma grand-mère, son arrière grand-père, ma mamie paternel, le cousin du frère à son père, la nièce de mon oncle, les grand-parents de son beau père. Gustav et Clémence, au frère de la petite amie de Gustav, Georg et sa nouvelle copine Amanda, Alice et son proxénète de petit ami, Andreas et sa mère, la voisine de la mère à Tom, les deux copines de messe de ma mère. Même le facteur, tout le monde était au courant, la presse, commençait tout juste à prendre le relai, et j’en pouvais déjà plus. Même Bill et Tom devenaient gâteau à en faire peur, à l’étouffement. Je me sentais grosse, moche, et fatiguée. Mon ventre faisait rire, sourire, tout le monde, à croire que ma tête, était moins regardable, que cette grosseur au niveau de mon bas ventre. Comment une femme enceinte pouvait elle devenir en quelque temps, uniquement un incubateur à bébé. On fait attention à comment elle mange, pas salée, pas sucrée, mais toujours en trop, « il faut nourrir le bébé ». Elle ne doit pas conduire, elle ne doit pas marcher, elle ne doit pas être dans les grandes villes, pour la pollution. La femme enceinte, lambda est condamnée à être toujours heureuse. Sourire, à entendre des phrases aussi ridicule que « tu es radieuse, tu rayonnes par ton bonheur, je me souviens moi à ma grossesse, pour mon petit fils chéri d’amour, j’étais si heureuse …», « la grossesse te rends belle », et l’on vous dira ça même si vous venez de vomir tout ce que votre estomac peut contenir, ou que vous êtes au bord de l’évanouissement. Sans maquillage et aucun parfum à cause de la toxicité pour le tendre bébé. Mais on nous rassure toujours on est belle. Oui, et vous souriez évidemment rappelez-vous vous ne pouvez être qu’heureuse parce que « vous portez la vie », « le fruit de l’amour ». Ah oui, je vous rappelle aussi que vous êtes du papier, plus question de porter course, bouteille d’eau, carton, parce qu’il ne faut pas se fatiguer, pour le bébé, hein pas pour nous, pour le bébé. Et cette question répétitive : « c’est une fille ou un garçon ? » et évidement il faut le laisser un peu grandir le monstre, donc on vous demande « tu préférais quoi ? Une fille pour l’habillé en princesse ou un garçon mais c’est un turbulent, mais plus reconnaissant, et à l’adolescence tu verras mieux vaut un garçon. » Là on hoche la tête oui, oui on est toujours d’accord, sinon c’est reparti sur une heure de débat sur fille ou garçon alors que le choix est déjà fait. Il me tarde déjà qu’il sorte, qu’ils deviennent gagas complètement et qu’ils m’oublient. Que je puisse me bourrer la gueule, fumer, comme un pompier. Vivre, liberté !!
Voilà que j’espérais comme une idiote, que je rêvais de cigarette toute la nuit, quand je pouvais dormir, évidemment.
Ah oui le point qui m’énervait le plus, étaient les tentatives infructueuses de rébellion, toujours prise à la légère, parce que « les hormones nous font dire des choses insensées ». S’il y a quelque chose que je n’oublierais pas de dire à mon bébé, et ce très jeune : c’est « protège-toi », surtout si c’est une fille.
Encore un diner, entre amis ennuyeux. Où je serais sûrement le sujet principal, pardon où mon ventre serait le sujet principal. La couleur des murs, peints en peinture écolo, moche, jaune. Parce que monsieur Bill trouvait que le jaune serait bien avec la couleur du bois de la fenêtre de la chambre de 40 m² du divin enfant.
Clémence était magnifique dans une robe blanche fine. Moi dedans j’aurais eu l’air d’un thon. Par contre ma robe montgolfière que Bill et Tom m’avaient si gentiment offert de couleur rose pastel m’avait rendu « radieuse » pas moins de 4 fois. Avec la palme pour Andreas avec son « tu es absolument radieuse aujourd’hui », je ne peux être que reconnaissance de cet « absolument ». La table mise le repas, fait par je ne sais quel chef, Tom s’était mis une chemise, si banale, même Bill avait fait sobre.
Pendant que le vin français défiler à table devant mon nez. Tom tenait ma main, lui il rayonnait pas moi, ça c’était certain. Il ne manquait plus que la musique classique on aurait été à un de ces dîners mondains, qui par ailleurs avait été mise hier pour rendre soit disant intelligent le bébé. Après une crise de ma part a été évidement enlevée. Peine, perdue, connaissant les parents le bébé était mal partie de ce côté-là.
Clémence : il manque plus que la musique classique, vous êtes coincé les rockeurs.
Tom rit, puis continua.
Tom : on l’a mise hier pour le bébé, le cd a disparu, dit-il en souriant en m’embrassant la joue.
Lasse, je ne trouvais même pas ça drôle.
Gustav : vous avez choisi la couleur de la pièce alors ? Bill : jaune crème, c’est assez doux, et assez joyeux. Georg : le petit rockeur dans une chambre jaune. D’ailleurs vous savez fille ou garçon ? Tom : aucune idée, on verra bien, je serais content de tout.
Je bus une gorgée d’eau ininterressée par le sujet connu de tous. Répétitif.
Amanda : j’ai entendu dire, qu’il ne fallait boire que de l’eau minérale quand on était enceinte. Tom : oui, j’ai entendu, ça hier, du coup on a viré toute les bouteilles d’eau de source. Bill : bah oui, on veut que le petit Kaulitz soit au top !
Il rit tous à cette phrase, pendant que je soupirais encore.
Clémence : fille ou garçon ? Tom : ça m’est égal tant qu’il est en bonne santé. Bill : oui mais un garçon tu préfères à qui tu vas filer les guitares. Tom : et bien au prochain !
Filez-moi un flingue tout de suite, il pensait déjà au suivant, il est suicidaire c’est pas possible.
Gustav : avoue Bill, tu préfères les garçons.
Dit-il en faisant, un sourire de vainqueur, Andreas cligna de l’œil. Pendant que Clémence donnait un coup de coude à son compagnon. Le téléphone de Georg, se mit à vibrer, sous le regard sévère de Tom.
Tom : Georg je te l'ai dis 6 fois on éteint le portable quand on est dans la même pièce que Gabrielle à cause des ondes. En plus tu es en face, tu t’en fiches de ce que je dis. Gabrielle : Tom ! Arrête, ça va je vais pas mourir, arrête un peu. Réponds Georg je t’en prie, j’ai pas la peste.
Georg, nous regarda les deux, et après une brève réflexion éteignit le portable, sous la pression que Tom lui lançait du regard.
Clémence : on est sous le régime de la seconde guerre mondiale là ou quoi ? Gabrielle : oui, Tom est un vrai harceleur. Bill : c’est pour le bébé Gabrielle. Gabrielle : mais tu le vois où le bébé ? Dis-je exaspérer.
Georg souriait, Bill me regardait l’air de dire « la pauvre c’est les hormones ».
Tom : vous inquiétez pas c’est les hormones.
Le frère l’avait dépassé. Le pire de tout était que tout le monde était sérieux.
Gustav : je le vois moi, le bébé. Dis Gustav en touchant mon ventre à peine bomber.
Le premier qui retouche mon ventre, je le mords. Je me levais tranquillement de table.
Tom : tu vas où bébé ? Bill : tu sais où elle va Tom, aux toilettes. Dit-il en chuchotant sous les sourires des autres invités.
Je soufflais en tentant de me calmer. Et pris la direction du corridor, où je pris les clefs de voiture, de Bill, puis claquai la porte de sortie. Tom me rattrapa quand j’étais en train de reculer la voiture dans l’allée. Il tapa sur la vitre.
Tom : tu vas où ? On est tous là pour manger, tu vas où ? Gabrielle : prendre l’air vous m’énervez tous, j’ai un cerveau, je suis pas une éprouvette à bébé. Tom : d’accord okay, vient on en parle. Gabrielle : non, je vais faire un tour, à tout à l’heure. Tom : Gaby, ne fais pas ça ! Ne pars pas toute seule, laisse-moi venir avec toi !
Il criait encore quand je passais la deuxième dans la rue. J’atterris au bout d’une bonne heure, au bar, que j’avais repéré il y a de ça une semaine, mais auquel personne n’avait voulu aller avec moi. Dans la boîte à gant de Bill, j’y trouvais un crayon et du gloss qui n’était pas de trop. Tom m’a même interdit d’y aller à cause de la fumée, de l’alcool, des gens. Il ne savait même pas de quoi il devait avoir peur.
Au bout d’une grande heure, j’avais trouvé un groupe de gays un peu sympa, avec lesquels je m’amusais telle une adolescente à crier et chanter, je n’avais pas passé une aussi bonne soirée depuis longtemps. J’étais en train de danser, sur la musique du moment, avec un membre de ce groupe, qui me faisait tourner sur moi-même. Quand d’un coup je sentis comme une sensation étrange de quelque chose, ou quelqu’un qui me touchai de l’intérieur au niveau de mon ventre. Je posai ma main dessus, choquée par cette sensation étrange.
« Ca va ? » Gabrielle : oui, oui je dois y aller.
Je partis sans me retourner de cet endroit quand un vent glacial me fouetta le visage. La musique se calma dans mes oreilles et avant même que je puisse me concentrer sur ce que j’avais perçu, je vis Bill arrivé vers moi l’air sévère, dans un grand manteau en cuir avec dans sa main, un veste en lainage.
Bill : tu étais où ? Gabrielle : en antarctique. T’es con ou c’est naturel ? Bill : tu ne commences pas à vider tes nerfs sur moi, non mais il t’a pris quoi là, de te barrer comme ça ? Gabrielle : il m’a prit ce qui m’a prit. Bill : tu es bizarre, Gaby, de mauvaise humeur tout le temps, tu grognes sur tout ce qui bouge.
Je pleurais et ça c’était plus de colère qu’autre chose.
Gabrielle : peut-être, que Gabrielle en à marre d’être prise pour un incubateur de bébé, en cristal ? Bill : Gaby, je sais on est lourd mais c’est plus fort que nous chérie.
Dit-il me prenant dans ces bras.
Gabrielle : je sais plus si c’était une bonne idée de le garder.
Il me lâcha me regardant inquiet.
Bill : Gabrielle, tu avais l’air contente. Gabrielle : j’étais contente que Tom soit content, mais là je n’existe même plus, je suis une grosse vache, qui porte un bébé roi. Alice elle a perdu son bébé, tu sais, elle l’a perdu à cause de son connard de type mais je me dis que c’est à moi que ça aurait du arriver, je ne mérite rien. Il me reprit dans ces bras me berçant. Bill : dis pas ça, Gaby, bordel mais on t’aime Gab’, c’est juste passager, on va faire des efforts. Tom : t’inquiète pas ma puce, ça va changer, je te le promets.
Je stoppai ma respiration inquiète de ce qu’il avait pu entendre. Quand il m’ouvrit les bras.
Tom : tu vas voir on va faire des efforts.
Je me dégageais un peu pour le regarder dans les yeux.
Gabrielle : ça fait quatre mois que je te dis, que j’en peux plus. Tom : on va vraiment faire des efforts, plus de Mozart promis. Gabrielle : non, mais tu te moques de moi, plus de Mozart, je bois l’eau que je veux, je reste au téléphone autant de temps que je veux, je veux que la chambre soit rose, parce que oui c’est une fille et tes guitares offre-les à une œuvre caritative, parce qu’il est hors de question d’envisager un autre bébé avant un paquet d’années. Tu croyais vraiment que j’allais attendre le jour de la naissance ? Et puis je veux plus d’histoire d’hormone, des vêtements pourris, et surtout, surtout, tu m’entends bien, je ne veux plus que l’on me touche le ventre, plus personne, et même toi, c’est mon ventre, alors ce sera quand je veux, et c’est tout. Tom : très bien, si tu es heureuse. Je ferais des efforts, et puis une fille ça me va très bien.
Me dit-il simplement en m’enlaçant.
Bill : jaune crème pour une fille, c’est jolie aussi.
Je tournais à tête, vers lui qu’il levait déjà les mains au ciel.
Bill : je rigole. Tom : oui tu as intérêt. On rentre ? Gabrielle : oui.
Cela faisait plus d’une semaine que j’étais partie brusquement du repas, et les changements étaient notables, mon ventre était à moi rien qu’à moi et on avait de nouveau internet dans la maison tout le temps. Et j’attendais avec impatience de ressentir comme la dernière fois ces petit mouvements, et c’est pourquoi j’étais allongée dans le canapé, les deux mains sur le ventre. Et après 10 longues minutes, je ressentis les sortes de vibration. Je me levai donc à toute vitesse, criant Tom dans toute la maison, jusqu’à la pièce de studio que j’ouvris avec fracas et la respiration
Tom : quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Gabrielle : faudra revoir l’urgence de l’accouchement, j’ai couru dans toute la maison et tu ne m’as pas entendu. Bill : c’est grave, tu vas bien ?
J’avais oublié qu’il y avait le groupe ici. Tant pis.
Gabrielle : Tom, vient on va à côté, vite.
On se mit dans la partie où l’en enregistre où il y a de la glace tout autour, du coup les trois autres collèrent leurs figure à la vitre. On aurait dû aller ailleurs, tant pis. Ca faisait une semaine que j’attendais qu’il recommence.
Gabrielle : lâche ta guitare, on va pas te la voler, donne-moi tes mains, je le sens encore.
Je plaçai ses mains sur mon bas ventre.
Tom : je sens rien, Gaby. Gabrielle : mais si. Tom : attends.
Il se mit à genoux, et colla son oreille et sa joue contre mon bas ventre.
Tom : il y a rien. Gabrielle : ben je sais pas parle moi. Tom : tu veux que je lui dise quoi ? Bouge ? Gabrielle : on sait jamais s’il obé …
J’arrêtai de respirer.
Gabrielle : tu as sentis ? Tom : chut tais-toi.
Après que les sensations bizarres furent arrêtées, il me dit.
Tom : magnifique, merci Gaby, merci Gabrielle.
Et il m’embrassa doucement, me serrant contre lui. Sous le regard incompréhensible des trois mousquetaires collés à la vitre.
-----------------
Allez le dernier chapitre ? Demain, j'aime bien le chiffre 16. De jolis commentaires ? | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: [T.] J'ai perdu. | |
| |
| | | | [T.] J'ai perdu. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |