[T] Quel est la limite d'un rêve ?

tkt c'est pas grave
vivement les suite

Tom : j’en veux plus, en glissant ma main vers le bas de mon être. Beaucoup plus
… : Tom, tu es là ?
Tom : je vais à la maison, ne m’attend pas
… : mais Val
Tom : elle est en bonne compagnie, en partant

Je cours devant son nez, il me court après. Je laisse tomber le haut de mes fringues, celui-ci le prend et le respire. Bien sûr, il est plus fort que moi. Il arrive à la maison le premier, je suis obligée de l'embrasser pour pouvoir rentrer. En rentrant, Tom remarque quelque chose cloche.

Tom : je me demande bien ce qu'elle a pu faire, Julie
Moi : franchement je ne pense pas à elle mais à autre chose, en lui mordillant le lobe de son oreille

Tom me prend dans ses bras et court dans les escaliers. Arriver dans la chambre, en ouvrant la porte, tout ce qui s’y trouve est saccagé. En regardant de plus près, ce sont mes affaires qui sont cassées et ceux de Tom. Je pense qu'une personne ne m'aime pas. J'essaye de faire un trie entre ce qui est fichu et ce qui ne l'est pas.

Tom : il n'a rien de récupérable
Moi : je sais mais bon, un peu d'espoir ne tue pas
Tom : c'est certain, tu n'as pas le choix. Tu va devoir mettre mes vêtements
Moi : génial, avec le bot que j’ai, avec tes pantalons, je risquerais de tomber par terre comme une pauvre merde
Tom : mais non, en m’embrassant le front. En plus, je vais avoir souvent l’occasion de retirer mes vêtements sur toi, en me serrant dans ses bras
Moi : tout ça est beau, romantique, sexuelle, tout ce que tu veux. Mais il ne voudrait pas chercher qui me voudrait du mal car cette personne à préméditer depuis plus d’un an
Tom : pitié, on peut chercher cette fille plus tard ? Il y a deux mois, on ne parlait plus, je voudrais un peu profiter d’abord avant qu’il n’arrive quelque chose. Je veux penser qu’à nous deux pour aujourd’hui, jusque demain matin, s’il te plait
Moi : et si il arrive quelque chose pendant cette nuit, en parlant très près de sa bouche. Tu vas faire quoi ?
Tom : j’improviserais sur le moment

L’homme de la situation, qui n’a pas peur d’avoir froid aux yeux. Il me dit de descendre chercher de la glace et surtout de prendre mon temps. Je ne sais pas ce qu’il mijote mais c’est bizarre. Dans la cave, je prends une poche de sang et de la glace. En montant les escaliers, j’entends des cris. Je ne vais pas trop attention et prends mon temps. Je vois Julie dans l’entrée de la chambre de Tom, elle pète un câble. Je passe devant son nez, j’ai sur mes épaules le t-shirt de Tom certes beaucoup trop grand pour moi mais très jolie. En rentrant, je vois la scène, je comprends mieux pourquoi Tom voulait que je prenne mon temps. Tom me laisse dans sa chambre pendant que lui et cette fille discute dans le couloir.
Sur le sol, des pétales de rose et aussi sur le lit. Dans un coin de la chambre une bouteille de champagne, avec dans le seau remplie de glaçon, une poche de sang. Je vois dans robe transparent sur l’armoire, avec les sous-vêtements qui vont avec. Il a du goût pour un garçon, merde, il y a même les chaussures qui vont avec. Je n’attends pas trop longtemps avant de me changer. Je me regarde dans le miroir. Bonjours vous. Je rigole toute seule. La porte s’entrouvre laisse des paroles y entrer.

Tom : si tu veux rester, tu as intérêt à te calmer, sinon je serais dans l’obligation de te faire partir
Julie : si tu crois que j’ai peur de toi, tu te trompe, en partant

Tom qui est très énervé, je précise, fait demi-tour et me regarde. D’un coup, je peux voir son visage se transformer et avoir un grand sourire. Il me regarde de haut en bas, il m’observe en tournant autour. On dirait chien qui a fait une bonne prise. Alors qu’il se trouve derrière moi, il place quelque chose de froid sur mon cou. C’est un collier avec comme pendentif, c’est un cœur et lorsque je l’ouvre, il y a une poussière qui y tombe. Cool, en plein dans mon décolleter pour le bonheur de Tom qui enlève cette poudre avec sa langue.

Moi : avoue que tu l’avais fait exprès
Tom : même pas, en essuyant sa bouche. C’est du sang en poudre, normalement tu dois le mettre dans l’eau mais je n’allais pas le gaspiller, en riant
Moi : je suppose, en riant

Je n’ai pas besoin de vous dire que la nuit passée avec lui, a été magique et longue. Il ne m’a laissé quelques minutes pour me reposer. Donc je dors pendant que lui fait ce qu’il veut. Je veux qu’il part quelque instant, je veux pouvoir dormir.

* PDV de Tom *

Mon dieu, je pète la forme même avec passer une nuit aussi intense. Je descends en sautillant dans les escaliers. Bill fait une drôle de tête en me voyant. Il dit même à sa femme que c’est la première fois qu’il me voit aussi.

Bill : voila comment une femme devrait s’occuper de son homme
Mistig : je t’en pris va voir ailleurs mais fait gâche aux conséquences, en le fusillant du regard
Bill : pas envie, j’ai envie d’être avec toi-même, si tu es cruelle envers moi
Mistig : quoi ? En criant. Je ne t’ai plus frappé depuis au moins 1 moins et tu dis que je suis méchante. Plus de sexe pendant 2 semaines
Bill : quoi ? Attend, tu rigole. Je ferais ce que tu veux mais pas ça mais pas ça

Heureusement que Valérie n’est pas comme ça, enfin je l’espère. Il faut éviter que Val reste près de Mistig quand elle parle de privation. Je prépare un petit déjeuner digne d’un roi. Je veux que tout soit parfait. Je vois Julie arriver dans une tenue grotesque, trop provoquant. Elle se met devant moi et commencer à défaire la tirette qui bloque la libération de sa poitrine.

Moi : ok, en partant. Je reviens dès que je peux et quand elle me libéra, en fessant un clin d’œil
Bill : genre comme si, tu allais te plaindre, en riant. Bon, toi tu viens avec moi. On va faire les magasins, en prenant Mistig dans ses bras

Je pense plutôt qu’il ne veut pas rester dans la même pièce que Julie. Je peux facilement comprendre ce qu’il ressent. Je retrouve Valérie là où je l’avais laissé. Dans mon lit, enrouler dans la couverture. Le fait de savoir qu’elle est nue, me donne encore envie. Je calme mon envie, il faut bien qu’elle dort et mange. Alors que je veux pour me glisser, que je soulève les couvertures... je vois du sang, beaucoup de sang. Je fais plus attention. Je remarque des coupures assez profondes sur la totalité de son corps. Elle est inconsciente et son sang continue de couler. J’ai beau crier le nom de mon frère, personne ne vient. Je l’enveloppe dans les draps et essaye de faire une compression et donc au moins diminuer le saignement.
Je cours dans la salle de bain, je savais qu’un jour où l’autre cela me servirait. Je plonge le corps inanimé de Valérie dans la baignoire. De toutes les forces, je casse les carrelages justes au-dessus d’elle. Après que le mur soit à nu donc que je peux voir les tuyaux. J’ouvre le robinet encastré dans le mur, je prends le tuyau et le plie que le liquide tombe dans le bain. Elle se remplie de sang. Ce liquide va directement rentrer dans les plais et donc cicatriser.

pourquoi elle a fait ça Val ???
la suite stplai
j'adore

mais je pose la question qui a fait ca ? ^^

Julie ???

je vous laisse dans la doute ^^

Je suis sûr que c'est Julie !!!!! Cette fille ne supporte pas Val et a l'air carrément accro à Tom... (ce qui est parfaitement compréhensible Smile

)

par contre comment tu nous a privé d'un lemon, c'est pas gentil !!!!!! lol

La suite s'il te plait Very Happy

je n'ai pas envie que vous baver trop sur vos claviers donc j'ai sauvé vos ordi lol

la suite pour heures bisous

Qu'elle heure ???

je viens de me rendre compte la clavier numerique est desactiver, je vais avoir beaucoup de mal à écrire des chiffres lol

la suite pour 20 heures

vivement dans 17 minutes ^^

Je cours en dehors de la chambre, il n’y a aucune trace. En pétant un câble, je jette le lit contre le mur. Je retrouve une broche pour les cheveux, il est cassé et formé une pointe très dangereuse. J’ouvre la porte au point qu’elle se décroche du mur. Mes ongles et mes dents s’allongent comme jamais, ils sont une taille plus longue que d’habitude. Je tape mon pied contre les portes et regarde qui est dans la pièce. Je vais bien finir par l’avoir.
Je défonce une et je tombe sur Elle. Elle a la même broche dans ses cheveux donc c’est elle qui a osé attaquer Val. Elle est recouverte de son sang. Lise a osé poser ses mains sur son corps. Elle me demande de lui accord clémence. Je m’approche d’elle, mes yeux sont certainement injectés de sang.

Moi : pourquoi ?
Lise : elle ne me plait pas !

Je prends son visage doucement, en lui répétant la question. Elle ne veut toujours pas. Je la regarde avec un sourire très étrange. Habituellement se sont les canines qui s’allongent mais cette fois, c’est la plupart de mes dents dont les canines et les incisives qui se transforment en arme mortelle. Je prends sa nuque entre mes doigts, je la soulève et la jette dans le miroir. Je remarque que mes yeux sont totalement noir, étrange mais j’aime.

Tom : pourquoi ?

Elle ne veut toujours pas me répondre. Je ne sais pas comment je réagirais si elle me disait la vérité, est-ce que je vais la tuer ou pas ? Dans les deux cas, elle souffrira énormément. Je prends un morceau de la glace et lui plante à plusieurs reprises dans son corps. Alors qu’elle veut parler, je lui coupe la langue.

Moi : tu veux dire quoi langue de vipère, en criant dessus

Elle pleure comme un enfant. Elle a beau avec 200 ans, elle ne reste qu’une gamine qui a besoin tout le temps d’affection. Elle tient mon pied, je n’ai pas pitié aujourd’hui. Je plante mes griffes dans son cou et tire vers le haut. Le sang coule à flot, des os qui entrechoquent. Alors que j’allais briser sa nuque et voir si elle va nourrir, je lâche pris. Je ne sais pas comment tuer un vampire, peut-être décapiter la tête, vu que je n’ai jamais tué un. Je laisse pour morte.
Je reste par terre dans le couloir, c’est moi qui lui ai fait ça. J’attends des pas arrivés près de moi. C’est Mistig, elle vient près de moi et s’agenouille. Elle veut en savoir plus. Je ne dis rien sauf…

Moi : nous somme des bêtes, en regardant ses mains
Mistig : mais qui a un cœur quand même, en riant. Tu as fait quoi pour… ? En touchant les mains de Tom
Moi : s’il te plait, rejoins Bill et ne sort pas de la chambre. Ce n’est pas ta bataille

Je ne sais pas combien de temps je reste là ce que je sais, personne n’est passé par là depuis Mistig. Cette odeur m’enivre. Je le reconnais parmi tous. Je me lève pour la prendre dans mes bras. Elle va bien. Je vais avec elle dans la chambre, je passe dans la chambre de l’indésirable pour lui demander des explications, vu qu’elle a perdu sa langue, elle écrit sur un bon de papier Julie.
Je ne cherche pas à comprendre, je repars sans regarder derrière moi. Valérie ne se souvient pas de se qui vient de se passer. Ce n’est peut-être pas plus mal. Elle est dégoutée d’avoir mes vêtements en pièce détachées, elle s’en veut énormément, si elle savait.

Val : je suis toute…qu’est-ce qui c’est passé ? En fronçant les sourcils
Moi : tu as du faire un cauchemar. Tu viens avec moi, je dois parler à Bill
Val : tu as besoin de moi pour faire ça ? En râlant

Oui Tom a besoin de Val pour parlé à son frère. lol
la suite stplai ma diablesse

je poste une suite demain matin enfin des que je me lève donc avant midi et pas avant de 11 heure lol

les vacances ont se lève tard lol

et on se couche tard aussi lol

oui c'est surtout ca qui fait que...lol

Je la tire, elle ne veut pas réellement me suivre. Arriver dans la chambre, avant de rentre, je regarde bien s’il y a quelqu’un. Je coupe les tourtereaux en plein action, je suis désolée pour eux mais je n’ai pas le choix. Bill me crie dessus mais il s’arrête très vite en voyant ma tête. Celui-ci recouvre Mistig et ne fait pas attention à lui. Valérie voit tout et sans doute pour rigoler, elle se présente à lui du genre « bonjours, moi c’est Valérie et toi ? » le pire c’est qu’elle ajoute « tu fais quoi se soir ? ».

Mistig : rien avec toi, je te rassure, en riant. Heureusement qu’elle disait ça pour rire par contre ce qui fait moins rire, c’est…pourquoi vous êtes là maintenant, on va a jamais appris à toquer avant d’entrer ?
Moi : je dois parler à Bill, en regardant Mistig. Mais met un caleçon, en cachant les yeux de Valérie
Val : je veux voir, moi

Elle ne changera jamais. Elle essaye de toutes ses forces de faire baisser mon bras mais rien. Je dis à Bill, je vais du faire un trou dans le mur que c’était très urgent. Si le point d’interrogation avait une tête, elle ressemblerait à celle de Bill, en se moment précis.

Bill : tu plaisante ?
Moi : Lise est dans cette histoire mais aussi Julie
Bill : tu pense à quoi ?

J’observe le visage de Mistig et de Valérie. Elles me regardant tout en me pensant plein de question dans leurs regards. Je peux très bien les comprends, elles ne savent pas ce qui se passe en se moment. Bill met un peignoir sur son dos et part dans le couloir avec moi.

Bill : punaise tu aurais pu attendre que j’aie terminé avec ma femme
Moi : Lise a acéré Val…elle n’avait presque plus de sang dans son corps, j’ai du aller dans la salle de bain et utiliser le tuyau. Je ne dis pas que ta vie amoureuse n’est pas importante mais je pense qu’il y a des choses bien plus importantes qu’une partie de jambe en l’air
Bill : cette partie de jambe en l’air comme tu le dis, est quelque chose de bien. C’est grâce à elle que je suis relaxé et heureux. Tu as bien fait pour Val. Pourquoi elle a fait ça ? Lise est si possessive que ça
Moi : Lise n’est qu’un point, c’est sans doute Julie qui est dans cette histoire, c’est elle qui tire les ficelles
Bill : donc on ne va pas la revoir d’aussitôt, elle pensait que Lise aura réussit à tuer Val
Moi : je me méfierais quand même
Bill : ne t’inquiète pas. Retourne te coucher
Moi : je vais aller au bas. Je me suis énervé contre la chambre avant de m’en prendre à Lise
Bill : tu veux dire quoi par s’en prendre
Moi : bah, elle est en mauvaise état, encore plus que quand j’ai trouvé Valérie, en souriant d’un air sadique
Bill : va te reposer avec Valérie, je vais m’occuper de Lise et dès qu’elle va mieux, elle partira
Moi : tu es bien trop bon après ce qu’elle a fait à Mistig
Bill : j’avais presque oublié ce détail, en se mordant de rage

Je vais cherchant Val, je l’embrasse et en lui disant que nous allons descendre. Je souhait à Mistig une bonne nuit et m’excuse pour le dérangement. Valérie veut pour aller dans la chambre mais je lui dis qu’on sera mieux en bas. Elle râle un peu, je suis obligée de la tirer pour la faire avancer

la suite pour 23 heure bisous

personne la veut la suite sniff

* PDV de Valérie *

Tom se comporte bizarrement, en plus, qu’il a cassé les meubles de la chambre et il a même essayé de s’attaquer aux murs. Je suis obligée de dormir en bas, on va être serré sur le canapé. Je ne peux pas faire un geste pour l’aider, il ne veut pas. Je ne suis pas faite de mousse. Je reste à le regarder sans bouger. Il prend un châle et le met sur mes épaules en m’embrassant.

Tom : viens dormir avec moi
Moi : tant que je suis avec toi
Tom : tant que tu es avec moi, c’est tout ce que je demande, en m’embrassant

Je m’allonge auprès de lui. Ma tête posée sur son bras. On parle de tout. Alors que Tom me regarde dans les yeux. Je me demande à quoi il pense.

Tom : je te veux, jamais de la vie, tu pourrais te défaire de moi. Je pourrais ouvrir ma cage thoracique et t’ouvrir mon cœur
Moi : c’est censé être mignon ?
Tom : je crois, en riant
Moi : alors tu pourrais dire, attend que je réfléchis. Je ne peux plus vivre sans toi, car ma vie n’est plus la mienne mais la tienne. Je ne pourrais pas regarder une autre fille parce que ce ne serais pas toi. Je veux passer chaque instant à tes côtés. Enfin un truc comme ça
Tom : la même chose, en riant
Moi : tu n’es pas du genre romantique
Tom : tu as aimé la robe ?
Moi : tu as demandé à qui ?
Tom : j’avoue à Mistig, elle connait tes gouts donc ca été rapide
Moi : je veux que tu serre dans tes bras, en le regardant dans les yeux
Tom : tout ce que tu veux

Il me serre dans ses bras. Qui a dit que le prince charmant était tout beau et sans défaut ? Je suis chez lui depuis longtemps pour ma mère, celle-ci ne m’a téléphoné une seule fois. Je regarde Tom et lui demande s’il était pour quelque chose.

Tom : je t’avais dit que tu aurais du la voir et lui demander des explications
Moi : heu avec toutes les histoires, j’ai oublié, désolé
Tom : j’ai connu ta maman, il y a longtemps, alors que je marchais dans la rue, il y a environ 33 ans de cela. Tu as une odeur particulière, et l’odeur que ta mère n’est pas pareil mais elle s’y rapproche beaucoup.
Moi : elle était comment ? En souriant
Tom : comme toi, à ton âge
Moi : quoi tu étais là ?
Tom : nan, j’ai vu juste des photos de toi. Désolé, je ne peux pas être partout, mais j’aurais bien voulu te connaitre avant cependant j’aurais eu beaucoup de mal pour ne pas te toucher. Je n’aurais pu attendre pour te faire l’amour
Moi : c’est sur que si tu avais fait quand j’avais 8 ou 10 ans. Les personnes l’auraient vite remarqué et t’aurait poursuivis
Tom : je suis revenu quand ma maman avait accouché de toi. Ton odeur parfumait toute la pièce. Pourtant je suis partir aussi pour que personne ne me voie. Je me disais qu’il fallait que j’attende, que j’aurais bien le temps plus tard

Je l’embrasse en glissant mes mains sous son t-shirt. Tom me sourit en me disant que je pourrais avoir tout ça pour l’éternité, corps et âme.

La suite quand j'aurais des demandes bisous

j'adore ma diablesse
la suite s''il te plait

la suite dans les prochaines jour, je ne sais pas quand

d'accord ma diablesse
prend ton temps

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