[T.] Une ombre dans la nuit.

J'ai du mal a croire mes yeux. Pourtant mon estomac me dit que c'est vrai. Mon coeur est sur le point d'aclter. Et ils sont tous en traind e s'engueuler pour savoir si ce que je lit est vraiment écrit.
Je sais simplement que j'ai de la chance de te lire.
<3

Mais fuck alors, c'est toi qui me fait perdre mes moyens. C'est dingue cette histoire, je crois que je me lasserais jamais de lire leur désenchantement. Je suis ton esclave à jamais, tu le sais, et cette suite est simplement un véritable bombardement dans mon coeur.

Je viens de voir que tu viens de choper un an, putain 219 ans tu commences à être vieille quoi xD
Bon je te souhaite un joyeux anniversaire alors, même si je suis surement en retard ^^

<3

Joyeux anniversaire ...

Je pouvais pas ne pas le dire xD

Suite ma belle que j'aime à la folie !!
=D

< 3

Tu vois, toi aussi tu me défonce le coeur .
Sale Dingue .



* Je sais . Ce commentaire en vaux la peine --' *

Double post .


Juste pour te souhaité un joyeux anniversaire .
Sale dingue .
Taime <3.

Pas le temps de lire mais Mercredi =)
Je t'aime. (L)

Haha non en fait j'étais même pas en retard pour te souhaiter bon anniversaire

[Post qui ne sert à rien.]

Ahem.
(Juste pour te dire que je suis là.)

J'ai tout rattrappé nanananèreuh.
Et pis tu m'excuseras si je fais pas dans l'originalité, mais j'aime. Et j'emmerde ceux qui croient le contraire ^^

Suite stp.
Bizzzzzz
milie

Ralala tu sais que tu me manques trop là !!

Je t'aime trop !!

=]

Suite ...

< 3

swytheu!!!

j'adore ^^ suite !!

<3

_______________

- Esmiralda ?

Et c'est comme si le Monde entier était passé entre les cuisses de ce prénom, chaque seconde glisse le long de ses reins et de tous ces voyageurs, le seul qui voudrait y vivre n'arrive qu'à y crever. Tom et sa jalousie maladive, un amour intarissable qui lui broie les poumons, et peu importe que le Monde soit passé aussi entre ses propres cuisses.. Il la veut pour lui seul, et le sourire en coin -qu'on lui connait si bien- qu'il balancait à toutes ces caméras a disparu. C'est le coeur au bord des lèvres qu'il sourit comme si sa vie en dépandait. Le seul ennemi qu'il pouvait bien redouter est Esmiralda elle-même, Tom aime jouer, et que sa vie claque entre deux de ses doigts baladeurs ne le pousse qu'un peu plus vers le coup d'envoi.

C'est Esmiralda qui le prononcera, en fuyant les yeux de l'ex-guitariste, et faisant glisser une de ses dreads entre ses phalanges, le souffle court, que l'un se jette dans le piège tendu par l'autre.

- Tom.

Elle joue la carte de l'indifférence, et Tom en rit à gorge déployée -leurs envies ricochant contre les secondes amères.

- Je t'aime.

C'est avec un air victorieux que ses trois mots se sont échappés dans un souffle décapant. Elle les a encaissés sans rien dire, sentant son coeur partir en vrille, ses paupières jongler avec le temps et ses sentiments glisser sous sa peau -en transe. Elle a entendu le J sonner l'apothéose qui s'en suivrait, et le e confirmer le danger iminent. Elle a senti les frissons du t parcourir son échine et l'apostrophe lui a broyé les tripes dans un cri de douleur -étouffé. Quand le a a fait l'amour au i, elle a vu les yeux de Tom frémir de plaisir au contact des siens qui s'emplissaient d'envie. Le m a pincé ses lèvres et contracté chacun de ses muscles endoloris, et quand le e s'est eclipsé de la bouche du dreadeux pour venir lui claquer la fin de son attaque, elle s'est crevée l'oeil gauche.

Les doigts tremblants de satisfaction, Tom se serait bien envolé sur sa guitare si ses cordes n'étaient pas passées elles aussi entre ses cuisses. Attendant un geste de sa belle, il a fermé l'oeil droit, et leur corps n'ont fait plus qu'un dans la nuit qui succombe aux soupirs amoureux.

- Montre moi ta vie d'avant.

Il n'a rien laissé paraitre, il a juste froncé les sourcils et poussé un cri d'horreur. Des souvenirs pleins la bouche, il a fait grincer ses dents et elle a sourit comme elle ne l'avait jamais fait.

- Montre moi tes yeux qui glissaient sur autre chose que les cuisses de ces putains, montre moi tes doigts qui -je le sens- à eux seuls résumaient tes raisons de vivre. Montre moi tes cauchemards qui vibraient ailleurs. Apprend moi ton passé, Tom, et je te dirais si je t'aime.

Elle a fait claquer ses trois derniers mots avec un dégoût trop apparent pour être fictif, et il s'est saisi de ses lèvres, juste pour qu'elle se taise.

bn mm si je suis censé fermé ma geule n__n je ne peux pas ne pas te dire que c'est magnifique et que tu m'as explosé le coeur, cet amour malgré la détresse des personnage est poignant merci encore Marie...Merci

Bon Dieu que ça m'avait manqué cette histoire.
Que tu m'avais manquée.
En plus tu reviens avec un truc de dingue, une de tes plus belles suites, ça c'est sur, j'en ai le coeur un peu chiffonné, dans tous les sens.
C'est énorme.

Alala ... ca m'avait manqué ...
Que c'est bon de te retrouver toi et tes mots ...
De retrouver Tom et Esmiralda ...

=D

Je sais pas quoi dire ...
A part que je t'aime !!

< 3

Les gens, les gens, vous avez arrêté de suivre..
J'm'en veut d'être partie. Tss..
En tout cas, voilà la suite pour celles qui lisent encore.

Et hum, au cas où ça en tenterai certaine, Bertille a dit oui, alors je vous donne le lien hein.
En noir et blanc.

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Tom est accablé par le déluge de ses souvenirs. Ses mains tremblent dangereusement, et faute de pouvoir gratter des cordes comme il le faisait pour se calmer, des années auparavent, il joue avec les mèches d'Esmiralda. La flamme de sa passion brûle dans le fond de ses yeux, et c'est comme s'il était de nouveau sur scène. Il lui caresse la joue tendrement, sa peau vibrant de plaisir. Son esprit remonte le temps à la vitesse de la lumière.

Les cris, et les bras levé vers lui, vers eux. Les cris et son nom scandé par tout un public, sensation extrème de bonheur -absolu. Les cris, et cette voix à ses côtés, cette voix sonnant la délivrence, leur délivrence. Cette voix que Tom aurait suivie dans les abysses les plus sombres. Cette voix décadente, et le trou noir. Le trou noir, Tom est en transe, les yeux clos, son coeur en parfaite coordination avec le rythme, Tom est en transe. Les cris, et les bras levé vers lui, vers eux. Les yeux pétillants de la foule qu'il ne voit déjà plus, et les cris, les cris. La chaleur ambiante, la musique, leur musique. Tom est en transe. Il fait l'amour à sa guitare, et la passion qu'il y met est effrayante, effrayante. Les lèvres pincées, les sourcils froncés, concentration. Les accords s'envolent et embrassent les gorges environnantes. Tom fonce dans le mur, droit dans le mur. Tom est en transe. Trou noir. Il fonce tête baissée, alletant. L'allure est beaucoup trop rapide, et c'est pour ça que c'est jouissif. Ne pas arriver à suivre, se sentir dépassé pour revenir en transe, toujours plus. Tom saisit toutes les opportunités qui s'offrent à lui, toutes. L'inconnu souffle sa brise dans la blancheur de son cou, Tom renaît. Comme si sa vie s'effaçait pour recommencer -plus terrifiante. Tom redécouvre ses sensations enfouies -oubliées-, Tom est en transe. Tom crève entre deux notes et un ouragan dans la poitrine, toujours plus fort, toujours plus beau. Un bouquet de flammes, brûlantes, brûlantes. Trou noir. Tom plonge dans l'infini et l'apocalypse se fond dans le creux de son ventre. Toujours, jamais, toujours, Tom fait l'amour à sa guitare, avec plus de puissance, plus de passion. Les cris, la musique, les notes, la foule, Tom est en transe et le trou noir dans ses paumes en sueur est accablant. Ereinté par les cris, emporté par la musique, détruit par les notes, défoncé par la foule. Tom survole le néant. Tom est en transe. Et l'immensité de sa vie actuelle sera oublié après cette soirée. Trou noir, c'est la dernière fois qu'il a touché à sa guitare.

Faisant l'amour à Esmiralda comme il le faisait à sa guitare, le tourbillon de son passé lui perfore les yeux. Les mains grelottantes, Tom s'oublie entre ces cuisses brûlantes, souvenir de cette flamme qui flambait dans son estomac. Les cris, les cris d'Esmiralda, les cris, les cris. Trou noir, Tom revit toutes ces fractions de secondes décadentes. Tom est en transe.