[T.] Une ombre dans la nuit.

Jme tais ...

Et mais je t'ai dis : Comme tu veux !!
=D

Suite !!

J-11 =DD

Je t'aime !!

Sincérement
J'suis jalouse de ton atlent
De la façon don tu ecris, des tes mots, de tes phrases.
Ouais de cette histoire en général
J'aimerais avoir un quart de tout ce que tu as
La seul chose que j'ai en commun avec toi, c'est ton prenom
Et je peut te dire
En lisant, c'est un peu une fierté de le porter
=D

Je pense que je vais me taire
je parle trop
je veux simplement lire
Encore

Suite?!

Alors insulte-la, ma Sublime, je t'y autorise. x)
(L')

Darling, tu fais ça, j'te bouffe.

Muahaha, July, jamais deux sans trois hein, c'était sûr. x)
[Genree, en plus j'aime pas ce dicton de merde. oÔ]

Trois petites gouttes et puis s'en va mon Diabolo ? Seulement, j'ai tout sauf envie que tu partes vois-tu. <3

Muaha, Tulipe Bleue, non ? [PerfectxxxHell]
Si j'invente, alors c'est partie pour Tulipe Bleue, voyez-vous. Si je ne fais que me souvenir, alors ça continue pour Tulipe Bleue. (L')
(hu', bordel, alors j'aime que ton coeur s'explose hein.)

Heep Camille, surtout, ne lis pas les lignes suivantes hein.
Je détruis ton alibi : Ouvre ta gueule.
Muaha, t'es coincée pour la prochaine, je t'avais dit de pas lire. x)
<3

heartxbroken. J'invente, ou c'est Margaux ? x)
Je vais être franche, oui , c'est fait pour. Et tu peux pas savoir le bien que ça me fait de savoir que tu sombres avec moi très chère.

Muahaha, mon grand -Océan[e]- maître, est fière de moi, fêtons ça, hu'. Sa me touche voyez-vous. Surtout puissance mille. <3
Waip, Adès il tourne, mais jamais je n'égalerais le tien vois-tu, c'est pourquoi j'imagine que son nom ne sera plus prononcé ici, ou alors en ton honneur. (L')

J'a-lu-cine.. Espècedeconnasejenetecroyaispascapabledetellesinsultesmaisjetepardonne,mêmesituesleMal. <3

Folle. Bien connu, bien connu, je t'en foutrais de la célébrité moi. . Genre t'écris pas comme moi, genre t'écris plus - ce n'est que provisoire et éphémère ma mie. Aussi méritante et constructive que les autres très chère.
Hu', la vie n'est pas dans mes lignes, je m'en excuse platement, par contre, elle est dans mon amour pour une prénommée Folle, une amie très chère de Pan, parait-il. C'est bien connu.

Comme tu veux, tagueulesaleconassequifaitchiersonMonde.
Moi aussi je t'aime. <3
J-11

Hu', une nouvelle Marie alors. =). Jalouse moi tant que tu veux, c'est flatteur vois-tu. Mais crois-moi, je ne suis en aucun cas digne de cette fierté que tu ressens de porter le même prénom que moi, qui s'en vouloir foutre de la merde partout, me va comme une chaussette à un trottoir.
Genre tu parles trop. x)

*

Les gens, suite quand je l'ai tapé. n_____n

Bonsoir ma Lady, je t'aime. <3

A vous et votre connerie d'aimer la noirceur de ma folie.
__________________________

Pas de demain, et c'est en respirant cette fatalité du plus profond de leurs poumons noircis par la folie qu'ils se baisent dans la nuit tout aussi noire. Contre un mur, ou entre deux poubelles, la pourriture s'infiltre et se propage aux alentours comme la peste. Ils sont atteint, c'est sûr. Et l'un gueule de plaisir et l'autre d'envie. Des doigts qui se tordent sans jamais se briser, parce qu'ils ne réussissent jamais à faire ce qu'ils entendent. Des cordes -vocales- qui vibrent, et Tom les gratte comme il fait avec celles de sa guitare. Rien de plus qu'une passion, et dit comme cela ça parait idiot, n'est-ce pas. Un désir de vengeance qui flotte dans l'air oppressant, et personne ne sait d'où il vient, et tout le Monde s'en fou. Et peu importe, car aujourd'hui ils n'ont pas oubliés.

Et puis, quiconque aurait martelé ces pavés -dégueulasses- aurait vu une prostituée faire son travail. Juste une pute qui baise un homme agonisant dans une routine trop étouffante, ou quelque chose dans ce genre. Et finalement, finalement c'est un peu ça. Sauf que ce quiconque n'aurait pas pu apercevoir leur souffle mourir dans ce vide inter-galactique qui les compose, il n'aurait pas vu cette folie commune qui leur éclate la gueule dans un soupir de plaisir, il n'aurait surtout pas senti leurs corps se fondre passionnément l'un dans l'autre, dans un voyage cosmique interminable dont la fin est leur plus grande prière, malgré tout. Et peu importe, parce qu'aujourd'hui, ils n'ont absolument pas oublié.

Mais personne n'est passé, et la fin n'est pas arrivée, et le voyage a continué. Des siècles vous diront-ils -infernales. Alors qu'après tout, ce n'est que l'affaire de minutes - tuantes. Des nuages qui font la course. A celui qui restera le plus longtemps dans cette étendue de merde, à assombrir l'épaisse pénombre qui enveloppe déjà la Terre. La pluie qui glissent le long de leur peau brûlante, et le regard assassin ce noie quelque part - l'océan ?. Et Tom est en transe, et personne ne sait plus si c'est la sueur ou la pluie. Mais peu importe, car aujourd'hui ils s'en souviennent.

- On est quel jour ?
- J'sais pas.
- Alors à demain.
- C'est quoi ça ?
- J'en sais rien.
- Alors à aujourd'hui, hein.

Et il la saisit par le bras et la serre contre son corps suant de terreur - de recommencer. Et leur course aussi folle que la nuit reprend son cours dans cette envie [im]mortel, peut-être que jamais il n'arrêteront, peut-être que la vie - la mort même - est ainsi faite. Et ils s'en foutent, et ils baisent. Et peu importe, car aujourd'hui, ils n'oublieront jamais.

Oui, oui. C'est ça Margaux. Enfin, on m'appelle avec tellement de façon que je compte plus. Mais celui donner par ma mère est celui-la. Au bien sur, après cette lecture, tu t'en doutes. Je continue de sombrer avec toi. Tu vois, les personnes qui crève de froid a bord du Titanic, qui coule peu à peu. Et bien, moi c'est un peu pareil. Si je saute, je meurt dans un océan glacial de tes mots. Et si je reste, mes veines sont glacées et pleines à craqué de je-ne-sais-quoi. Je pourrais vivre ça pendant une éternité. Car j'adore ça (L).

wahou t'aurais pu me dire que tu faisais une fic' mais bon je te pardonne pck quand je lis tes mots même si noirceur il y a tout va pour moi...le style change le récit déroutant mais malgré tout tellemnt envoutant...merci une nouvelle fois

Merde merde merde j'aurais pas du lire, tu viens de bousiller mon alibi ouais
Mais tu vois là, j'vais me laisser aller, j'crois qu'il y a une infinité de choses que je pourrais te dire, et si tu savais comme j'aimerais avoir le temps de le faire, mais j'peux pas (parce que tu vois là y a Plus belle la vie qui commence dans ingts minutes, hé ouais xD), alors je vais essayer de faire court ^^
Quand je te lis c'est comme si jamais une grosse boule dans le bas du ventre qui se met à déjanter complètement dès que mes yeux se posent sur cette histoire. C'est juste grandiose et y a rien d'autre à dire, c'est le mot parfait pour te résumer, c'est juste grandiose et je me dis, putain Marie, viens je te constriut un trône et tu as le droit de faire de moi ton esclave (profites en hein, j'ia encore jamais dis ça à personne ).
Voila t'es grandiose.

J'adore cette idée de course, course contre la folie, contre le temps. J'adore putain, c'est dingue. Bravo mon disciple (L)

"[...] dans un voyage cosmique interminable dont la fin est leur plus grande prière, malgré tout"
Que j'adore ce mot, prière. Il vaut toute la connerie humaine.

[Et puis ta réponse elle me tue, elle est trop bien, en mon honneur, t'es complètement folle. Qu'est ce que j'aime ça pourtant, que tu dises des conneries.]

Le temps passé à te lire est considérable.
Lire et relire, sans cesse, le serpent se mord la queue et le cercle recommence.
Transe et re-transe, passion encore et toujours, à l'infini, à jamais.
Tu aimes les trucs vides de sens il me semble, parce que tu aimes bien c'que je te raconte d'habitude, mais là et le problème, d'habitude.
Comment te dire, à force moi je sais plus.
J'ai peut être jamais su, Vénus te coupe toutes les facultés mentales, la salope.

mariie ..fiidele a elle meme ...
parc'que c'ey toujours maniifiiik
parc'que t'ecriis de miieu en miieu

et puiiis merde j'saiis pas quoiii diiire moii
et t'en piiis sii tu m'en veux
j'aii pas été prévenu sniiif

Bien sachez ma Tulipe Bleue que je ne sais quoi vous répondre. x). <3
- en attente d'une suite sur la fiction que j'ai enfin skoitée. -

Margaux, Titanic, et tes commentaires sont titanesques vois-tu. Digne des mots que tu emploies, sois-en fière. Un océan glacial, j'aime ça n'est-ce pas. <3

Darling, c'est quinze bisous-câlins et une claque au compteur en plus pour que je te traduise ceci : je t'aime.
Alooors ? x)

Humf, merci de me pardonner Marjo. =). Chouette de te voir ici, une fidèle à mes OS, n'est-ce pas, quoi de mieux qu'elle en devienne fidèle à ma fiction. x)


Camiiiiille. T'es une tarée, et tu vas me détester : je regarde pas Plus belle la vie. . Beup, passons. x).
J'suis une abrutie finie vois-tu, je n'sais que répondre à une chose pareille. Hu'. Muahaha, et j'suis une fille ravie d'avoir cette honneur alors. Huhu', esclave, je t'ordonne de me faire un bisou sur le bout du doigt, là tu vois.
(L')

Putain. C'est contre Toi que je veux faire la course mon cher maître -océan. J'aime partir perdante.
Ohh oui, toute la connerie humaine, ce mot, hein ? <3
[Complètement folle, fière de l'être et est une droguée des conneries vois-tu, surtout quand elles respirent la vérité. (L')]

Vénus pense du plus profond de son être que Folle est folle, et que cette dernière a toujours su faire chavirer le radeau sur lequel Vénus parcourt les océans déchaînés, veux-tu ma mort saloperie. <3

Meiro, t'es trop adorable.
Merci beaucoup. n___n

*

Suite demain les gens, (L'

EDIT :

Math, si, un lien sur Ici, nul part, ailleurs.
Dis rien ta présence suffit. <3
Je t'aime.

Folle est folle en effet, folle dingue de Vénus.
Et non, Folle veut seulement la vie de Vénus.
Saloperie toi même, Saperlipopette <3.

Quelque part dans un restaurant sûrement trop luxueux, une serveuse qui fait de l'oeil à un grand brun. Elle le trouve immonde, mais peu importe, juste une envie d'amour inexistant pour changé de celui qui vous bouffe jusqu'à la mort. Il est, ce soir, tombé - éperdument - amoureux d'elle, ce sont ses yeux qui le lui ont dit. Et elle attend un signe, juste un petit coup d'oeil qui leur donnerais rendez-vous dans les toilettes - ou ailleurs. Mais finalement, peut-être qu'elle n'a jamais su lire dans les yeux, surtout pas les siens. Et c'est sûrement d'amour bien réel - et non une nuit de sexe - dont elle a besoin, et le signe ne vient pas, et une salope au coeur brisé de plus. Le Monde en est peuplé, mais lui, il s'en fou, il rêvasse vaguement, se noyant dans son café trop noir. Et puis il se lève brusquement, et pousse un cri aigüe. Toutes les têtes tournent leurs yeux débordant de ce luxe insupportable vers ce jeune homme un peu trop excentrique pour être ici. Et un sourire se dessine - invisible - sur les lèvres de Bill. Monsieur Kaulitz n'a jamais aimé s'en aller dans le silence. Il se lève et balance sa chaise en criant que jamais le service n'a été si déplorable. Et le coeur brisé d'une serveuse - sa serveuse - qui se fait la mal, oui, Bill est un criminel.

[...]

Esmiralda l'observe se rhabiller sans même un regard vers elle, déjà tremblante de manque, elle ne l'a pas oublié. Et elle saisit ses joues creuses entre ses paumes, et plonge dans la profondeur de son regard mort.

- Tu t'en vas.
- T'es qu'une pute, j'vais pas faire semblant de te dire que je te rappellerais demain, hein.
- Pas le téléphone.
- J'm'en doutais.

Ses pas qui se mettent à marteler le pavé immonde, un sourire au bout des lèvres, comme s'il avait découvert l'amour de sa vie, avec plus de folie entre ses commissures. Jamais ils n'oublieront, et finalement, peut-être qu'ils se reverront, mais Esmiralda n'a jamais aimé s'en aller en silence.

- Heep.
- Wai ?
- Mon fric, enfoiré.
- Oui je..
- T'as quand même pas cru que j'avais fait ça pour le plaisir.

Et il lui balance une liasse de billets, sûrement trop, mais quand on aime on ne compte pas voyez-vous. Et quand la haine vous prend la gorge, pas question de rester plus longtemps en sa présence, ça serait trop bon.

- Et il lui balance une liasse de billets, sûrement trop, mais quand on aime on ne compte pas voyez-vous. -

Ta gueule et écris, ma Marie.

Ce Tom, il me fait mal, tu sais.
TU m'fais mal avec tes mots, mais mal de bien, au fond.
Une avalanche de sentiments qui chaffent en moi, et une coulée de miel excquis qui s'étale non loin.
Et puis, tout un tas d'autre chose.

J'adore ces petits trucs qui rythment l'histoire. Ils n'ont jamais aimé s'en aller dans le silence. =]
(Faisons la course enfoirée)
Ps: Tu fais exprès d'ignorer mon mp saloperie? Tu veux que je te nique ta race ou quoi?

Jme tais, jme tais ....

J-10 ... bordel 10 jours ...

Je t'aime !

=DD

Oh putain la dernière phrase, un bijou quoi, un vrai bijou.
Marie, la c'est sur, je suis ton esclave tout dévoué, j'suis déjà à genux devant tes mots et cette histoire, et j'aimerais qu'elle me serre autant la gorge encore longtemps.

ptin encore une fois je suis scotché, aucun mot ne peut franchir mes lèvres....