[T.] Une ombre dans la nuit.

Darling, mon amour, c'est dans ces jours là que tu me manques. <3

Cha', je n'sais pas.. mais je t'aime, ça c'est sûr -et à un point. (L)

C'est toi qu'es magnifique ma Bouffie. n__n.
.

Putain Marie, merci quoi. =).

Alors je vous offrirai ma main ma mie, et vous relèverai d'un claquement de doigts, car votre somptuosité est telle que la légèreté vous habite -est-ce Clochette qui vous a appris cela ? Votre vacuité qui déborde, j'en suis fort aise, et je vous aime -à en vivre. <3

Meiro, reviens quand même hein. =P
J'aime que tu sois là. n___n.
(L')

Marjo, t'es folle, sais-tu. Mon Dieu, chaque fois un peu plus contente de te voir là vois-tu. .

Ma Milie d'amour n___n.
Il se peut que cette histoire soit bien floue, je dois avouer que je ne sais pas bien moi-même où je vais, malgré quelques idées pour des liens entre tous ces personnages..
Quand à eux, sache que je n'arrive pas moi-même à tous les cerner. Mais tu sais, je pense que ça va s'éclaircir, j'veux dire, certaine chose vont être expliquées. Pour certaines explications, concernant les relations entre les personnages, j'essaye de t'envoyer un Mp pour te résumer un peu tout ça. =)
Merci d'avoir ratrappé en tout cas, bordel, je t'aime toi. <3

Pas le temps de poster ici non plus. --'
Joyeux Noël.
Vraiment, merci d'être là.
Vous êtes géantes. n___n
[Wa, les variantes entre les deux fictions. .]

Joyeux Noël et profitez en ttes!!!!!!!!!!!!!!!
swytheu dès que tu as le tps je sais qu'en ce moment c'est vraiment pas évident de le trouver celui là XD

Clochette ne m'a pas appris cela non, mais bien d'autres en compléments.
Ma Vacuité est somptueuse elle aussi alors, comme la Folie qui m'habite.
Pas trop là non plus en ce moment Vénus mais on s'retrouve le 7, et j'apprendrai ta vie par coeur n'est-ce pas.
A en vivre je vous aime ma mie <3.

Esmiralda entre deux cuisses, et si ce salop auquel elles appartiennent n'a pas bientôt finit de crier, Tom lui crachera à la gueule. Un, mais pas deux. Son amant sur les océans, qui chante sûrement leur amour à quelque étoile planquée entre deux vagues, et Tom au-delà des marches maudites, marchant vers leur amour enfoui. Car il y a amour dans les deux cas, dans les trois coeurs, et entre les six cuisses. Esmiralda déchirée entre deux hommes, s'envoyant en l'air avec un troisième. Un haut-le-coeur et des cris qui cessent progressivement, la putain se sent sourire. Un vague merci, c'était bon, quelques billets -le strict minimum- mais pas le temps de raler pour plus. Un Tom adossé au muret d'en face, et c'est déjà trop tard pour éviter les conneries qui lui défoncent les yeux.

- 'lut.
- Tu t'fous d'ma gueule ?
- Quoi ?
- C'est qui ce type ?
- Faut bien que je bouffe moi, à moins de me filer tes lingots, j'vais pas m'arrêter de bosser pour un gars comme Toi.
- J'suis juste un gars ? C'est tout, j'croyais que..
- Tu connais même pas mon prénom Tom, ouvre les yeux.
- ..
- T'as pas une clope ?
- ..
- Fais pas cette tête, tu sais bien que j'suis payé pour faire croire aux mecs perdus ce qu'ils ont envie de croire.
- Mais je t'ai pas payé la dernière fois.
- C'est que je tiens à toi plus qu'aux autres.

Un silence pesant et Tom perdu dans ces paroles qui passent en boucle entre ses deux oreilles. Jouons carte sur table.

- Alors tu vas laisser tomber ces salops ?
- Esmiralda.
- Hein ?
- C'est mon prénom.
- Esmiralda ?
- Ouais.
- Tu vas laisser tomber ces salops, pour moi ?
- Non, bien sûr que non Tom.


Sybilrit, et sa voix qui ricoche contre la Lune. Effet boomerang, Georg se prend tout dans la gueule, dans un sourire -éclatant. Et la main dans celle de Sybil, Georg prend même les devant, laissant toute sa folie se faire la malle -pas trop quand même. Il a juste décidé de retrouver l'usga de la parole, histoire de communiqué avec cette gamine lunaire.

- Bill ?
- Sy-bil.

C'est raté pour cette fois, Georg et ses vieilles habitudes, rongé par le passé [*]. Mais il n'abandonne pas -plus. Et demain, demain il lui dira la lumière qui file entre ses boucles blondes, les étincelles qui rayonnent dans le fond de ses yeux et l'innocence au coin de ses lèvres. Il lui chantera sa folie et fera l'amour à leur voyage, mais pour l'instant, le Trocadéro entre les yeux, et l'insolence sous le bras, ils courent entre les voitures -violettes à pois verts.


En étoile sur la tapis -toujours- et Gustav ne compte pas se relever. Les pensées chavirant dans l'eau -delà- , il rêve de revoir Bill, celui qui les faisait rire autant que pleurer, celui dont le charisme en épatait plus d'une. Il veux revoir son air étonné -toujours- et sur de lui -aussi. Il veut apprendre par coeur -car il a oublié- les méandres de son talent -si caché soit-il. Il veut plonger dans sa voix mélodieuse, et voyager entre ses notes qui l'habitaient -autrefois. Gustav veut revoir Georg, le terre-à-terre et sa réalité pas si dégueulasse finalement lorsqu'il la traçait entre ses cordes. Il veut entendre ses mèches rire de ce quatuor de folie -et les mots sont pesés. Gustav veut sentir les dreads -immondes- de Tom siffler le présent et ses joies dans son oreille. Il veut revoir ses airs de tombeurs et sa voix viril -ou presque. Il rêve de remonter le temps, mais le sablier est bel et bien écoulé. Et la nuit commence -déjà- à tomber.



_____

[*] --> Darling. .

Bonne année en avance, part demain pour le réveillon. <3

Mon Dieu...
La Suite qui crêve le coeur...
Putain,
Je...
Woooow

Et moi j'suis pas heureuse.
Sincèrement tu me fais mal Marie avec ça.
Prend ça en fonction de l'humeur journalier.

Je n'arriverais pas à dire quoi que ce soit tellement cette écriture me boulverse, j'ai bu tout tes mots d'un coup.
Et maintenant, j'ai juste soif de tes mots.

(L)

Ah, j'ai souris.
Je crois que c'est les dreads immondes et la voix presque virile.
[Ca me tut de ne pas pouvoir de voir u__u]

(L')

Maiss euhhh c'est trop magnifique ce que tu nous marque

arrete -pas- de nous droguer !!!!!!!

dsl ça fesais un bail que je n'était pas venue ^^

j'aime toujours autant

Bordel, longtemps que je n'étais pas venue ici, et je m'en mords les doigts.
Je me suis tout pris par la gueule et mon coeur n'arrive toujours pas a se calmer.
C'est dingue tout ce que tu nous envoie en plein face, c'est tellement puissant que parfois je suis obligée de m'arrêter pour reprendre mon souffle.
Surtout après cette phrase "Gustav se serait bien pendue avec une de ses cordes, seulement elles avaient déjà servies à raccrocher Georg à la vie".
Nan mais la Marie je suis ton esclave plus que jamais, fait de moi tout ce que tu veux, de toute facon je suis déjà à tes pieds.

désolé absente qques jours et tes m'ont terriblement manqués.Merci pour ta swyte ainsi je commence bien l'année n__n

Magnifique . Magnifique .

Mon Dieu .

Je viens de me prendre une quinzaine de pages à la figure et je ne suis pas prête de te sortir quelque chose de cohérent .


Mon Dieu.
Magnifique. Splendide. Ravageur.

.

Mon amour, tu m'en veux si je poset ici aussi avant de venir te rejoindre ? oÔ.
On espère le contraire hein..
Je t'aime, ohh oui. <3

Meiroo. xD
T'es folle, tu m'as fait sursauter avec ton : j'suis vide là. .
Hum, va voir Cerise, elle te comprendra xD
Hum, pardon je m'égare, bordel, merci d'me suivre. <3

Mariiie ! Qui crève le coeur ?
C'est toi qui m'crève le coeur andouille. .

Folle, j'sais pas c'que je peux faire, si ce n'est de couvrir de selon. <3

Gott', Margaux ?!
Merci d'être ici quoi, et contente de te faire cet effet-là. (L)

Héhé, bienvenue Ziita, merci beaucoup. <3

Ohh, Cha', ma Cha' d'amour, si tu savais comment j'étais trop énervée d'être chez toi sans l'être.. oÔ.
Je t'aime, <3
[Les dreads immondes et la voix presque viril. .]

Hu', t'es là ici aussi blackpetit. n____n
.

Camille. <3
Mon Dieu, t'es dingue quoi. Si tu savais..
Bordeldemerdemêemquandc'estqu'un'comm'stum'faisperdremesmoyens,saloperie. .
Je t'aime. (L')

Marjo, contente de te faire bien commencer l'année avec ma suite, même si je doute de sa gaité. xD <3

Alors ne dit rien May, rien que le fait que tu sois là me défonce le coeur, alors tu vois. <3

*

Je reprend toussa en main, faut pas pousser hein.
J'vais pas m'arrêter là.
Je poste dès que j'ai écrit. n____n

[Et dire que j'avais abandonné Bill & Artémis à la page 14. oÔ]

___________________________

Les paumes contre le mur, le vertige au fond des paupières et c'est ça le plus agréable.. Le dos contre le mur, la folie dans la gorge, et il chantera pour Artémis un jour, parce qu'elle l'obsède un peu trop. Le crâne contre le mur, Big Ben dans les oreilles, et c'est ainsi que l'apocalypse envahit Bill tous les soirs à 3h14 -précisément. Les ongles dans le mur, et son visage au bout des cils, Bill veut s'emparer de son cou -encore une fois. Le brun ne fait plus qu'un avec le mur, et ses anciennes partitions dans les veines, car on ne renie pas les secondes qui nous composent. Et ses erreurs au creux du ventre, ses choix dans la poitrine, ses mots sous la tourmente, et le vent le balaye d'un bleu écartelant.

--

Artémis rentre chez elle -par la fenêtre- et saisit sa guitare planquée dans un coin. Un baiser dans le creux du cou, et les lèvres bouillantes de Bill encrées dans sa peau blanche, elle fredonne la pluie contre sa vitre et les éclairs contre son toit. Quelques cordes qui vibrent sous la pression de son souvenir, et elle rêve d'entendre sa voix la sortir du quotidien. Un drogué, et alors ? Artémis etend les cris, dans le couloir, et dans la chambre d'à côté, Artémis n'a que seize ans et l'espoir s'en est allé. Un combat sans mépris, une guerre est déclarée et même la paix n'en viendra pas à bout. Si elle traverse cette nuit, demain elle ne reviendra plus.

Chaque jour se promettre le bonheur et filer dans ses couloirs, qui distingue le blanc du noir ?

Gustav lui ne distingue que le vert, et hors de question de lui faire entendre raison, il s'échoue dans la marée -verte- de ses souvenirs, s'oublie dans une couleur éreintante. Et les contrastes ne sont que mirages, comme un condamné attendant la sentence, Gustav chante leurs chansons -en boucles vertes dans son marathon. Une folie alarmante et l'ex batteur se relève avec peine, marchant sur les débris de verre -vert- et sur les maux -mots- de Bill. Un dernier regard pour la guitare intouchable, et la porte vibre encore lorsqu'il atteint le pont -vert- du coin de quai.

Un but entre les yeux, Georg se jette à l'eau dans un élan meurtrier, car Bill -Sy-bil- en vaut la peine.

- Bill ?
- Sy-bil
- Sy-bil ?
- Sybil !
- Je bois la folie de tes yeux -arides- et je veux voir la Lune entre tes doigts.
- ..
- Sybil.
- Viens avec moi, l'horizon nous appelle et je veux lui répondre.

Une mission accomplie, Georg abandonnant sa coquille -vide- au croisement de deux rues grouillantes, et main dans la main, yeux dans les yeux et folie mélangée, le quotidien s'avoue vaincu et demain leur tend les bras. Georg rit et Sybil aussi, un couple étrangement banal, emportant le folie dans leur cavale.

Les rois de la Sauvette, les malfrats ont leur maîtres.

hum en effet comme swythe il y a plus joyeux mais malgré la noirceur de tes mots j'ai des étoiles pleins les yeux, malgré tout noyés de larmes...

Ha je viens de tout rattrapper...
Je viens de m'échapper quelques secondes de mes devoirs ...
Je viens de toucher le ciel ... et les étoiles ...
Rah ce que c'est bon de te retrouver ... de retrouver tes mots ...
Tu viens de remplir le manque que j'avais depuis trois semaines ...

Ta fic va me tuer ... tes mots me dévorent de l'interieur ...
Et pourtant j'en veux encore tellement j'aime !!

=]

Je t'aime tu sais ... et pourtant je dois attendre au moins 6 mois avant de te revoir ... quel supplice !!

< 3

Hu' .
* Se tait, du moins essaie. *