[T]Elle était saoûle, les mains ensanglantées.

allez une suite pour l'anniv de georg

Tes mots me manquent tu sais ...
Les étoiles qui illuminaient mes yeux me manquent ...
Cette sensation dans mon ventre à chaque écrit me manquent ...

En clair , c'est dur d'attendre .. tes mots et toi , vous me manquez ...
Le fait de relire ta fic depuis le début ne me suffit pas à combler ce vide ..

En tout cas , j'èspère que sa va , que tu t'en sors avec ton bac blanc !!

Bisous (L)

Suite dès ce soir : )

oooh merci !!!

Un peu tard , je m'en excuse ..

______________________________

Elle était là, son sourire éclatant couvrant le tiers de son visage ou un peu moins. Quelques larmes coulèrent, une deux ou peut-être plus. Le bassiste souriait lui aussi. Il les invita à entrer, Morgan ne comprenait pas bien. « Surprise » lui dit Maggy. Les quatre musiciens se tenaient en face d’elle, devant sa bouche bée, devant son visage naïf incompréhensif, doux, un visage d’ange bientôt mort. Un ange que les ténèbres rongeaient. Un ange qui virait au noir, qui virait au rouge ou peut-être les deux. Cet ange dont les ailes se brisaient au fur et à mesure qu’elle frôlait l’air de la vie. Ces ailes qui semaient quelques plumes par ci par là sur la route. Plumes blanches nacrées, parfois beiges parfois grises, la mort arrivait. Elle osa prononcer un mot, en fait elle en prononça deux.

MORGAN : Mon Dieu.

Car son Dieu se tenait devant elle, ou plutôt ses Dieux. Elle ne voulait pas blasphémer mais elle le faisait la malheureuse. Ils étaient tout pour elle, on le lisait dans ses yeux mouillés. Maggy sourit en faisant un clin d’œil aux garçons. Elle l’aida à se présenter, les sons ne sortant pas de la bouche de la fille surprise. La conversation commença et voilà qu’ils riaient. Il ne manquait plus que ça : que Morgan les trouve adorables. La boucle était bouclée. A présent elle n’allait plus se décrocher du rôle qu’ils jouaient, de leur image. Ils étaient parfaits pour elle. Ses yeux s’écarquillaient à chaque petite remarque, à chaque parole prononcée par l’un des quatre.

GUSTAV : Vous vous ressemblez toutes les deux.
MAGGY : On nous le dit souvent.
MORGAN : C’est que ça doit être vrai.
MAGGY : Sans doute.

Les deux jeunes filles riaient, sans raison mais elles s’en fichaient. Elles vivaient merde. L’après-midi touchait à sa fin. Ses yeux se remplirent d’eau mais elle le cachait. Trop tard, Maggy l’avait vu. Qu’importe. La porte se ferma derrière elles. Si tu aurais vu Morgan, époustouflée par les yeux de Georg. Oui, le bassiste était celui dont elle était tombée sous le charme. Elle ne savait plus commet remercier son amie. Un merci se faufilait entre ses lèvres toutes les deux minutes environ. Un répertoire de merci. La magie régnait dans ses pupilles. Après le concert, cette rencontre : c’était de trop. L’ange n’allait pas supportait toute cette émotion trop longtemps. Emotion de joie certes, mais émotion quand même. Arrivée chez Maggy, l’ange tomba à terre, le sourire scotché sur sa figure. Sa figure qui sombrait dans le désarroi et la lueur de la pénombre l’appelait. « Rejoins moi » lui disait-elle. Cette lueur sombre qui rendait les couleurs de ce visage bien fades. Les ailes étaient écrasées sous le poids de cet ange, à présent au sol.

_______________________________

Je n'étais plus prévenue. ))=
Mais là j'ai tout rattrapé, et franchement, je suis perdue.
Aujourd'hui, je t'avoue que je ne sais pas quoi dire.
Mon coeur te le chante à tue tête, mais je suppose que tu ne l'entends pas.
J'aime<3
Suite.

Alison. a écrit:: Je n'étais plus prévenue. ))=
Mais là j'ai tout rattrapé, et franchement, je suis perdue.
Aujourd'hui, je t'avoue que je ne sais pas quoi dire.
Mon coeur te le chante à tue tête, mais je suppose que tu ne l'entends pas.
J'aime<3
Suite.

Désolée de pas prévenir =/
Merci pour ton message (L)

Non mais c'est pas toi Hein ((=.
C'est le Fo' qui m'envoyait plus de mails' ^^.
Puis suite Hein, pour le plaisir de le dire (:.
(L)

Ich_mag a écrit:: Elle ne savait plus commet remercier son amie. Un merci se faufilait entre ses lèvres toutes les deux minutes environ. Un répertoire de merci. La magie régnait dans ses pupilles. Après le concert, cette rencontre : c’était de trop. L’ange n’allait pas supportait toute cette émotion trop longtemps. Emotion de joie certes, mais émotion quand même. Arrivée chez Maggy, l’ange tomba à terre, le sourire scotché sur sa figure. Sa figure qui sombrait dans le désarroi et la lueur de la pénombre l’appelait. « Rejoins moi » lui disait-elle. Cette lueur sombre qui rendait les couleurs de ce visage bien fades. Les ailes étaient écrasées sous le poids de cet ange, à présent au sol.

_______________________________

(L)
Un répertoire de merci ...
voila ce qui sort de ma bouche en ce moment ..
Ce mot n'a plus trop de sens depuis le temps que je te le répète..
Mais je me sens obligé de te le dire ..tout simplement parce que c'est la vérité .

Je n'ai pas pu rester hier soir pour lire ton écrit ..
J'étais déçue .. je me suis endormie sans avoir eu mes étoiles , sans avoir eu ces frissons , sans avoir eu cette boule au ventre ..

Mais je l'est ai eu , enfin ..
enfin , j'ai eu ma ptite dose de bonheur , ma stich ins gluck ..
L'ange ici c'est toi , on s'accroche à tes ailes et tu nous emmène loin ; dans ton beau pays ...
Le plus dur , c'est le retour à la réalité .. on s'écrase au sol , on a le souffle coupé à cause de cette longue chute mais c'est pas grave , la réalité à maintenant changer ..

Et on attend qu'une seule chose , que le prochain voyage soit aussi beau ..

(L) ta droguée =)

han bordel c'est beau
pfffiou j'aimerais trop savoir écrire comme toi
suite pliz

putiin la suite s'il te plait c'est tellement beau ce que tu écris!

tu as de l'or dans ta main, maggy!

suiteuhhhhhhhhhhhhhh

Le moral n'est pas là désolée ..
J'essaie de vite vous écrire une suite, promis.

Oooh non ... j'èspère que sa va aller quand même .. !!
On peut attendre t'inquiète pas , c'est pas le plus important , le plus important c'est toi !

Reviens nous en forme , avec un beau sourire accroché à tes lèvres j'èspère !

(L)

____________________________

Elle pleurait voyant son amie sur ce lit d’hôpital. Pathétique : elle était tout simplement pathétique. Chaque larme détenait un mot et voici qu’une phrase était écrite sur ce drap blanc. Ecrite avec de l’eau, comme pour ne pas montrer à tout le monde sa souffrance, cette phrase resterait invisible à jamais. Inconsciente, Morgan baignait dans cette phrase et ne se réveillait pas. Elle voulait nager elle. Sauf qu’elle bu la tasse.

Les médecins coururent, tout s’accélérait. Maggy pleurait de plus belle, j’étais affolée de la voir ainsi. Ils posaient des électrochocs sur la poitrine de Morgan, articulant quelques mots que Maggy ne comprenait pas, du moins dont elle ne comprenait pas le sens. « Fréquence respiratoire » et bien d’autres qu’elle semblait ne pas vouloir entendre. Elle était paumée comme elle le disait parfois. Un médecin la tenait pour ne pas qu’elle se jette sur le lit de son amie. Pour ne pas qu’elle la gifle de partir sans elle. Ces hommes et femmes inconnus à ses yeux se précipitaient sur son amie. Lui enlevant cette chemise blanche qu’ils lui avaient fait mettre en arrivant. Le fer des électrochocs allait bientôt refroidir tout son être, toute sa chair.

MAGGY : MORGAN REVEILLE TOI ! NE ME LAISSE PAS ! C’EST MOI QUI DEVAIS PARTIR LA PREMIERE ! REVEILLE TOI !!

Une furie, voilà ce à quoi elle ressemblait. Elle chuchota quelques mots après ça « Laisse moi le temps de te dire que je t’aime rien qu’une seule fois... ». Elle aussi était en perdition, l’esprit bouffé par les remords de laisser son amie partir dans les ténèbres sans elle. La laisser franchir ce couloir que tout le monde dit blanc à la fin duquel l’ange de la mort viendrait la chercher. Son corps se levait à chaque coup de courant. Ils allaient l’électrocuter s’ils continuaient.

Un bruit strident se fit entendre. Les genoux de Maggy frappèrent avec violence le sol. Une mère ayant perdu son enfant n’aurait pas crié plus fort qu’elle. Elle se leva et se jeta sur le corps dépourvu de toute activité de son amie. Elle la secouait, la brutalisait pour qu’elle ouvre les yeux. Rien à faire. Je voyais son esprit flotter au dessus de son corps, mort. Elle pleurait elle aussi et partit. Un film se déroulait sous mes yeux mon Dieu. Elle était là criant non de tout son être. Elle posa sa tête sur la poitrine de Morgan, les larmes venaient se perdre et plonger entre ses seins. Elle avait perdu sa moitié, son double, son âme. Plus jamais elle n’entendrait son rire ni ne prendrait ses mains. Tout espoir de rire avec elle était perdu dans le trou noir de la déchéance. Le pétillant des yeux de Morgan était toujours là pourtant, comme pour dire à cette sœur de cœur de ne pas se laisser abattre par sa mort. Tiens ! Facile à dire ! Ses cheveux ondulaient sur l’oreiller. Le regard de Maggy se perdait dans l’eau salée qui envahissait ses yeux. On lui prit le bras.

MAGGY : Laissez moi un peu avec elle.
MEDECIN : C’est impossible.
MAGGY : Je vous en supplie. Elle est tout ce que j’ai. Je vous en supplie, laissez moi lui chuchoter quelques mots à l’oreille. Je vous en prie.

Voyant son visage, il accepta avec douleur. Son maquillage noir venait sur ses joues, laissant place à une falaise de tristesse, une falaise qui se terminait par une masse de roches sur laquelle les larmes venaient allègrement s’écraser, se briser. Elle reposa sa tête sur ce corps inanimé qu’elle aimait tant. Elle crèverait pour elle, mais Morgan lui avait fait promettre de ne jamais s’ôter la vie d’elle-même. Elle lui tenait la main, quelle naïve. Cette main qui tant de fois lui avait caresser les cheveux. Elle fit de même, entrelaçant ses doigts dans cette rivière brune de douceur et de parfum. Elle regarda son visage, un sourire des plus infimes était déposé là, sur ses lèvres. Elle était partie en paix. Ses yeux se fermèrent, elle essayait de se calmer, de faire en sorte que sa respiration soit aussi lente que celle de Morgan. Elle essayait de mourir, en vain. On ne meurt pas de chagrin. Du moins c’est ce que je pensais. Quand je vis ce visage décomposé qu’avait Maggy, j’en conclus qu’elle était morte, vivante. Son esprit s’était envolé, sa tristesse l’ayant fait dégager de là. Elle pleurait toujours mais en silence. Après la tempête : le calme. Elle serrait un peu plus fort la main de Morgan, pour lui faire mal sans doute. Pour que celle-ci se lève en criant qu’elle lui broyait les doigts. Pour que celle-ci se réveille de douleur, giflant Maggy. Elle espérait tant être giflée à ce moment là, mais rien n’était. Le cœur de Morgan était atrophié par la mort. Cette mort qui rendit son visage coloré d’une blancheur extrême. Blanche Neige à côté d’elle, s’était de la pacotille…

____________________________

et voila je pleure encore ^^
suite!

Note à moi-même : ne pas écouter One Republic en lisant une suite de Mag.

J'm'attendais au pire.
A être triste, déprimé, tout ça.
Mais là, c'est du grand art, Mag.
De l'émotion à l'état pur, et je crois que c'est ça le pire, tu ne tournes pas autour du pot, on a pas le temps de respirer, tes mots ces uppercuts on les reçoit en pleine face.

Citation :: MAGGY : Je vous en supplie. Elle est tout ce que j’ai. Je vous en supplie, laissez moi lui chuchoter quelques mots à l’oreille. Je vous en prie.

J'trouve même pas d'mots, en fait.
Chut.

C'est fou comme ce genre de commentaires me va droit au coeur sans passer par la case " esprit ". Bam une flèche de bonheur, une Stich ins Glück en plein ventricule droit, heureusement le gauche survit.
Merci .. (L)

Que dire Hein ?
Tout a déjà été dit avant moi.
Ces mots, Bordel !
Ils t'arrivent en plein coeur, et tu pleures sans vraiment savoir pourquoi.
Surplus d'émotions.
Merci.
J'pense que ce mot, il peut remplacer tous les compliments du monde.
(L)
Suite.

Merci. Vraiment. (L)
Et je pleure toute seule en écrivant.
La musique Warum se répétant encore et encore dans ma tête.
______________________________

L’aube se leva, mais Maggy ne dormait pas. Comment dormir après ce drame ? Elle ne donnait aucune nouvelle. Elle avait appelée les parents de sa moitié pour les prévenir. Leur réaction fut la même que celle de la jeune fille. Elle se tenait là, assise sur son canapé lit, les genoux repliés vers son visage, le menton posé. Elle ne cessait de pleurer, des milliers de gouttes perlaient son visage. Deux jours passèrent sans qu’elle n’ait bougé. Pas un mouvement, pas un seul. Une statue posée sur un lit, voilà ce qu’elle était. Quelqu’un frappa à la porte. L’envie de parler ne lui vint pas, elle ne répondit pas.

BILL : Maggy c’est Bill ouvre moi !

Son poing se fit entendre une deuxième fois contre la porte. Elle se laissa tomber sur le côté. La statue se brisait en mille morceaux.

MAGGY : Laisses moi !
BILL : Qu’est ce qu’il se passe ? Maggy ouvre !

Finalement un pied se posa à terre, faisant suivre son corps. Son poignet vint jusqu’à sa joue pour atténuer la marque de son malheur, mais nul ne cachait sa peine. Pas même la tentative d’essuyer ses larmes ne parvint à ce but. Elle ouvrit la porte. Il la vit. Il vit cette mine déconfite, décapitée par la fauche du faucheur de vies. Il y était allé fort car son visage ressemblait à tout sauf à de la vie. Il ressemblait à un dos que l’on aurait fouetté à mort tellement les larmes creusaient ses joues. L’érosion de ses joues était un supplice. Un délice suprême. Il comprit de suite que Morgan n’était plus. Après quelques minutes immobile, Maggy se jeta dans se bras, enfonçant son doux visage dans son cou. Ce cou qu’elle empoignait de toutes ses forces. Il l’enlaça à son tour, ses mains se faufilèrent sur ses hanches et glissèrent jusqu’à son dos où ses os se faisaient sentir. La maigreur la mangeait et allait bientôt la dévorait, tout en laissant traîner un filet de bave. Bave constituée essentiellement des larmes de cette fille. Il ferma la porte d’un geste de pied. Il glissa son nez dans ses cheveux pour sentir son odeur, sa tristesse. Il glissa son nez dans ses cheveux pour absorber cette peine, lui enlever, à jamais. Impossible, elle était la cible, le centre au milieu des cercles. Sur chacun d’entre eux était inscrit un prénom. Maggy était le centre. La souffrance avait visé pile au milieu. Bam ! Mille points de plus au compteur de la jouissance.

MAGGY : Elle me manque.
BILL : Shh, je suis là.
MAGGY : Bill…
BILL : Oui ?
MAGGY : Sers moi plus fort. Sers moi a m’en étouffer. Sers moi à m’en faire mourir, que je la rejoigne.
BILL : Hors de question.

Il fit cependant ce qu’elle lui demanda. Ses bras pas plus gros que l’épaisseur d’un journal enroulé, resserrèrent sa taille. Une main glissa le long de sa chevelure pour arriver dans le creux de ses reins. Elle aussi le serra plus fort, il le sentit. Son t-shirt se mouillait au fur et à mesure que le temps passait. Elle posa une main sur son torse. Elle pouvait ressentir les battements de son cœur qui s’accéléraient. Il lui prit la main.

BILL : Tu vas venir habiter avec nous quelques temps.
MAGGY : Non Bill, je ne suis pas d’humeur.
BILL : Je ne te laisserai pas toute seule ici.

Elle le regarda attentivement et il lui essuya ses larmes en faisant glisser son pouce sur sa peau. Un baiser vint se déposer sur cette joue encore humide.

_____________________________

Citation :: Il glissa son nez dans ses cheveux pour absorber cette peine, lui enlever, à jamais. Impossible, elle était la cible, le centre au milieu des cercles. Sur chacun d’entre eux était inscrit un prénom. Maggy était le centre. La souffrance avait visé pile au milieu. Bam ! Mille points de plus au compteur de la jouissance.

Mon passage favori.
C'est horrible ce que je vais dire, mais j'ai l'impression que toute cette souffrance a du bon. Qu'elle constitue un exhutoire puissant. Je ne veux jamais que tu t'arrêtes. C'est du pur égoisme de lecteur, tu le conçois. Mais ça vaut le coup, je crois, là. Pour cette histoire, ce que tu en fais, ce qu'elle n'est pas encore, ce qu'elle va devenir. T'as de la poussière de fée entre les mains Mag. Tu nous en envoie, qu'on s'envole ?

Corps Etranger a écrit:

Citation :: Il glissa son nez dans ses cheveux pour absorber cette peine, lui enlever, à jamais. Impossible, elle était la cible, le centre au milieu des cercles. Sur chacun d’entre eux était inscrit un prénom. Maggy était le centre. La souffrance avait visé pile au milieu. Bam ! Mille points de plus au compteur de la jouissance.

Mon passage favori.
C'est horrible ce que je vais dire, mais j'ai l'impression que toute cette souffrance a du bon. Qu'elle constitue un exhutoire puissant. Je ne veux jamais que tu t'arrêtes. C'est du pur égoisme de lecteur, tu le conçois. Mais ça vaut le coup, je crois, là. Pour cette histoire, ce que tu en fais, ce qu'elle n'est pas encore, ce qu'elle va devenir. T'as de la poussière de fée entre les mains Mag. Tu nous en envoie, qu'on s'envole ?

Alors on s'envolera ensemble. Car je veux la poussière de tes mains moi aussi. Je savais que ce passage te plairait. Le coup de la cible, je sais pas, je le présentais.
Encore merci ? Oui encore merci. Mais ce mot devient tellement banal que je m'en excuse ..

Je ... je ne sais pas quoi te dire ..
Mes mots n'ont aucun sens , aucune importance à côté des tiens ..
Te remercier ne suffit pas ... ce mot ne siginifie rien quand il s'adresse à toi , c'est de la pacotille ..
Il va falloir un trouver un autre mot pour te dire tous ce que tes écrits représentent pour moi ...

Deux écrits à lire .. deux écrits de pleurs
Deux écrits de joie de pouvoir te lire
Tes mots me touchent au plus profond de mon être
Tes mots c'est ma stich ins gluck ..
Je ne peut plus m'en passer
Faire sans serait un vrai supplice ...
J'interdis quiconque de me priver de tes mots doux , crus mais pourtant si réels ..

Tes deux écrits , c'était juste des dizaines de flèches qui ont touché mon coeur .
C'était toutes les étoiles qui sont réapparus dans mes yeux éteints.
C'était juste un voyage magnifique , si seulement il pouvait continuer à l'infini ..
Tu nous emmène avec toi dans ton monde , tu nous fait voyager et rien que pour sa , tu as toute ma reconnaissance .

Je me dis que ce que je viens de t'écrire ne t'apportera surement rien mais j'avais envie et tsurtout besoin de l'écrire .
J'avais besoin que tu le saches , je voulais que tu saches tout ce que tu m'apportes .
Tout ceci est vraiment sincère Mag...

Je t'envoie toutes mes étoiles ,tous les sourires que tu m'envoies ..

Ta droguée
(L)

Mais que c'est triste tout en étant beau!!! Snif

C'est toujours aussi merveilleux même si j'ai pleuré quand Morgan est partie (chochotte je sais lol)

Sinon une suite quand tu peux!!

Dinko : ooh le fait que tu pleures me touche énormément ! C'est tout simplement .. sans mot. Merci ! (K)

Ma droguée, je me prépare à écrire un long paragraphe. Je me lance ..
Ca fait 5 minutes que je clique sur " actualiser " avec l'espoir que quelqu'un ait posté un commentaire.
5 minutes que je désespère, parce que je sais que c'est égoiste ..
Mais j'aime sentir que mon histoire plait quand c'est le cas.
Puis ton commentaire .. Mon Dieu. Sublime.
A peine l'ais-je aperçu que je savais qu'à la fin de la lecture, un énorme sourire viendrait se fixer sur mes lèvres, rien que la longueur de ton commentaire m'a mit du baume au coeur.

J'ai commencé à lire, et le sourire est venu.
Je continuais de lire et j'ai aimé tes mots.
"J'interdis quiconque de me priver de tes mots doux , crus mais pourtant si réels .."
Crus, j'aime ton qualificatif. Vraiment.
Puis ta phrase..
Tes mots m'aportent tellement que je ne saurais te dire toute la reconnaissance que je te porte.

C'est bête, mais de lire des commentaires ainsi donne envie d'écrire. Ecrire pour te faire plaisir, pour vous faire plaisir, ou peut-être pour recevoir encore plus de commentaires. Je n'en sais tro prien moi même.
Ca donne envie d'écrire, tout simplement.

J'espère ne jamais te décevoir jusqu'à la fin de cette histoire.
J'espère tellement. ( L )

» [OS]Elle était jeune,elle était folle...
» [OS]Ce n'était qu'elle
» [OS] Si elle était là-bas.
» [OS] Elle qui était si cruelle...
» [T.]Elle était belle, Eva.