[T] Rêve éveillée.

Argh
Il va lui dire quoi
Putain qu'est-ce que j'aime
Comment ose tu avoir la pensée de nous décevoir !!
Tu as une plume exceptionnelle
Suiteuhhhhhhhh

Comment peux-tu penser nous décevoir ?
Chaque suite est plus belle encore que la précédente.
Chaque suite c'est un pur moment de bonheur.
J'aime à n'en plus finir.
Tu m'donnes envie d'continuer de me battre.
Liebe die sekude, c'est ce que tu m'as dit.
C'est ce que je fais, là maintenant.
Je savoure tes mots. J'en lèche le sucre. Je croque
dedans à pleines dents.

Merci. Je t'aime.
[L'

Liebe die Sekunde oui.
Parce que je te donnerai de ce sucre à t'en faire devenir diabétique.
Rien que pour te savoir le goûter et profiter.

______________________________

Ses lèvres s’ouvrent et se ferment. Il ne me laisse aucun temps de pause. Aucun moyen de lui dire d’arrêter de s’expliquer. Aucune pause pour que je puisse lui dire que ses deux premières phrases m’ont tout expliquer. Je me tais donc et continue à l’écouter. Ses mots sont tendres, doux. Ils effleurent ma peau à m’en faire frissonner la chair. Son regard est fixé sur ses chaussures, beau spectacle sûrement. Les yeux se sont posés sur ses mains qu’il agite sans cesse. Je le coupe. Il peut enfin reprendre sa respiration.

MOI : Ce soir là, je n’étais qu’un coup parmi tant d’autres n’est ce pas ? Un simple coup d’un soir.
TOM : Non !

La rapidité de sa réponse me laisse sans voix. Il reprend. Ses pupilles se noient dans les miennes. Mer ravagée qu’ils transportent. Bientôt elle se calme et laisse ce malheureux flotter au grès du vent pour bientôt s’échouer sur la plage. Il baisse alors le menton. Il cherche ses mots sans les trouver. Ca y est.

TOM : Tu n’étais pas le coup d’un soir. Pourquoi j’aurais réagi comme ça si tu l’étais ?
MOI : Par principe. Pour montrer ta supériorité. Montrer ta fierté.
TOM : Tu as tout faux Mégane.
MOI : Comment pourrais-je le croire ? Tu dis de belles phrases depuis tout à l’heure. Mais ce ne sont que des mots.
TOM : Laisses moi le temps de te le prouver.

Je ne dis rien. Je murmure un simple son grave qui résonne pour se faire entendre. Signe que j’attendrais qu’il me prouve. Oui j’attendrais. Qu’est ce que j’ai à y perdre au final ? Rien. Il m’explique que s’il ne voulait pas se faire pardonner, il ne m’aurait pas laissé ce papier déchiré pour que je le rejoigne. Sans même s’en rendre compte, il montre son enchantement à l’idée que je sois venue. En effet je suis venue. Trahie par mon propre geste. Je suis venue. Et je me rends compte que je suis là, pour lui. Le Tom Kaulitz qui se tient en face de moi m’étonne. Un air timide creuse ses joues. Son regard s’élève vers le mien. Les secondes passent. Une minute écoulée. Le regard toujours plongé dans le mien et inversement. Je n’aime pas regarder les gens dans les yeux plus de cinq secondes d’affilées. Lui. C’est différent. Deux minutes et bientôt trois se sont évaporées. Température de notre silence, cent degrés. Un sauna prêt à nous brûler la peau. La porte s’ouvre et nos regards se dirigent vers elle. Gustav est là. Il s’excuse de nous couper mais ils doivent y aller. Je souris, il a triste mine. Je me lève et il fait de même. Je vais embrasser les deux autres qui se tiennent dans le couloir puis vient le tour du batteur. Je finis par embrasser Tom. Ni sur la joue, ni sur les lèvres. Entre les deux. Je peux presque sentir la froideur de son piercing. Presque. Je lui glisse un « Tu m’appelles ? » dans l’oreille. La mienne reçoit un « oui ». Reçu cinq sur cinq.

____________________________

Ah j'aime
J'espère que ça va aboutir à quelque chose eux deux
Suite <3

La suite please!

La Suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !! =DD

Coucou ma stich ons gluck

Oh ... je m'en veux , jem'en veux de ne pas venir plus souvent en ce moment et de ne pas te poster des ptits messges .
Je m'en veux terriblement , j'èspère que tu vas me pardonner d'être moins présente .. ! ^^

C'est encore et toujours un vrai bonheur de lire tes mots .
Tes mots qui se transforment en pépites d'or .
Tes mots qui arrive à me faire sourire quand personne d'autre ne peut le faire
Tes mots qui me font voyager loin ,très loin
Tes ptites pétites d'or sont très précieuses pour moi , elle réprésente énormément .C'est pour ça d'ailleurs qu'à l'heure ou j'écris , tes mots apparaissent sur une feuille de mon imprimante .Oui encore une fois , je garde tes mots avec moi , je ne peux pas m'en empêcher ...

J'ai eu mes deux doses , deux doses de bonheur qui m'avaient terriblement manquer si tu savais ...
Toi aussi tu m'as manquée ...

Bisous de ta droguée qui est toujours présente malgré quelques absences involontaires ...
(L)

Ce soir ça va pas, ça va pas du tout, alors juste quelques mots qui ne valent rien, mais qui te montrent que je suis là. Mag, si un jour tu t'arrêtes d'écrire, le monde y perdra, et j'exagère pas. Tes mots c'est les plus chouettes panacées d'la Terre.

Que dire ? J'aime décidément. Oui. J'aime.
Tes mots, je ne m'en passes plus.
Je sucerais ces sucres que tu me donneras.
A en devenir diabétique. Juste pour en savourer la
saveur, comme je savoure chacun de tes mots.
Je croque dans tes récits, en ramassant les miettes
qui serait tombées sur la table.
Merci pour tout.
Je t'aime [L'

à en jugé par le nombre de commentaire tu nous inspire mag'.
Tu nous inspire le désire de vivre ont ressent.
ton écriture c'est comme faire l'amour à de l'encre ... c'est bizarre certe mais tellement beau.
moi je veux continué à faire l'amour à cette belle encre, a dansser de joie à sourire en marachent la bouche parce que c'est tout se que tu m'inspire un trop pleins d'émotion... parce que tes mots me feront éxplosé un jours, mais si c'est le prix je veux crever de joie d'intoxication à l'encre de crampe à la machoir... Bordel mag' je veux une suite. <3

Déçu de ne pas t'avoir vu aujourd'hui, hier aussi.
En fait ça fait presque trois jours!
C'est tristes trois jours sans toi.

Mais ta suite me réconforte, c'esr tes mots donc un peu de toi.
En plus quels mots! Ils étaient géniaux comme d'habitude.
Simple, court, mais magique. Peut-être un peu moins que les autres mas magique tout de même.

Je me languis de te revoir ma belle.
Mardi! Arg ça fait trop long.

Jtm fort!

Suite x3

Je ne sais plus quoi répondre à vos messages.
Ils me touchent beaucoup, énormément même.

_____________________________

Un autre jour se lève. La Terre a fait ce tour sur elle-même qu’elle fait inlassablement toutes les vingt-quatre heures. Triste destin. Pas de cours de dessin aujourd’hui, ni de cours à donner. Une journée qui s’annonce banale. Qui s’annonce oui. Un appel. C’est lui. Je décroche. Sa voix à un timbre un peu plus grave au bout du combiner. Je pourrais presque sentir ses cordes vocales vibrer. Les paroles s’envolent dans mon oreille et des notes de musique s’échappent du téléphone. Je les rattrape et une mélodie résonne alors dans mon esprit. La mélodie de sa voix. Douce mélodie infatigable. Elle me souffle de le rejoindre dans une heure, chez eux. J’accepte non sans appréhension. Les minutes passent et je suis assise sur cette chaise, musique dans les oreilles. Muse m’envahit et ma tête bouge dans tous les sens. Mes cheveux me hurlent d’arrêter. Tandis que la plupart s’accrochent comme ils peuvent à mon crâne, d’autres perdent force et se laissent emporter dans l’air. Adieu mes amis. Ce cheveu finira écrasé au sol. Balayé par l’oubli. Mon crayon à la main, je griffonne une sorte de dessin de la joie. Abstrait, que je déteste, qui pourtant veut tout dire.

Je le rejoins, il se tient face à moi.

TOM : On va faire un tour ?
MOI : Allons-y.

A peine ais je embrassé les autres pour leur dire bonjour que je leur fait un signe de la main montrant mon départ. Ils sourient. Un pas puis deux, nous voilà dans son véhicule. Le cuir me brûle la peau. Il s’en excuse. Il fait tout pour que je ne sois pas contrariée. Je ne sais pas où nous allons. Finalement il me dit que l’on va là où nous sommes allés quelque temps auparavant. Dans cette salle peu connue. Il a quelque chose à me faire écouter.

Il s’assied, sa guitare sur ses genoux. Il gratte quelques cordes alors que je fixe ses mains. Une mélodie s’en vient. Je ne la connais pas. Je l’entends et l’écoute. Je la dévore et deviens obèse. Je la bois et mon estomac devient océan. Je me noie. Morte d’un amour caché. Morte d’avoir entendu ces notes. Sa tête ne se redresse à aucun moment alors que la mienne se tient droite. Une goutte d’eau sale ma joue. Mon pouce vient l’estomper. Fin. Plus aucun bruit. Seul le bruit de ma respiration et de la sienne. Je n’ose rien dire mais ouvre enfin la bouche.

MOI : C’est votre prochaine chanson ?
TOM : Non. Celle mélodie je l’ai inventé hier. Elle est pour toi.

Toutes ces attentions me broient le cœur de culpabilité. Fautif à demi pardonné devient victime de ma méchanceté. Sa personnalité face à moi est à l’opposée de celle que j’ai pu lire dans les magasines. Seul son humour reste inchangé. Il me fait rire d’ailleurs, à cet instant précis. Nous nous levons. Je m’approche. Un baiser entre ses joues et ses lèvres. Mon remerciement. Il me retient. Regard intense. Je sombre et les passagers de mon cœur coulent en compagnie de celui-ci. Ils coulent jusqu’à atteindre le fond. Ils ramassent le sable froid de cette dame qu’est l’eau. Froid comme son piercing qui vient bientôt glacer mes lèvres. Freezer prend possession de son âme. Une seule idée en tête. Me faire glaçon qu’il sucerait à n’en laisser aucune goutte. Sa main n’ose pas se poser sur ma hanche. Je l’aide. Je m’empare de son cou avec la mienne. Mes lèvres s’humidifient, nos langues veulent se rencontrer. Rencontre acceptée, non sans plaisir. Non sans désir. Il joue sans trop prendre de risque. On se sépare. Ce baiser était son idée. J’en décide autrement. Je me colle à son torse et la pointe de mes pieds hurle à la douleur. Qu’elle la ferme, c’est moi qui mène le jeu à présent. Je touche ses lèvres avec les miennes. Lui susurre qu’il a le goût de la tentation. Il sourit et nos bouches s’agrippent l’une à l’autre. Harnais bien accroché. Je suce doucement sa lèvre inférieure. J’adore faire ce geste. Sensualité extrême. Le harnais lâche et nous tombons tous deux de notre montagne glacée.

La journée se déroule. Il passe son temps à jouer de la guitare et moi je suis là, telle une gourde - attendant d’être bue. Je me passionne de sa passion. Les cordes me font vibrer, ses mains succomber et son regard m’émerveiller. Je ressemble à une statue. Une statue émotive se laissant emporter par l’air qu’il respire. Je suis parsemée de poudre et je m’envole au Pays Imaginaire. Peter Pan est mon guide, la fée Clochette ma pire ennemie. Je l’étrangle de jalousie. Elle chute jusqu’au sol où elle s’écrase abominablement contre un mur. J’entends son crâne éclater. Lui est toujours avec moi et il ri de ce paysage. Mon Peter Pan, Tom. A moi et aucune autre. Mesdemoiselles vous voilà prévenues.

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Hey ho mais ça veut dire quoi ça son Tom à elle!
Mdr!
Moi aussi je te préviens fais gaffe lol!

Bon j'arrête ma connerie mais en cette heure tardive mon cerveau ne sait dire que ça.
Et e t'en donnerais vite une preuve lol
Oui parce que ma folie créative vient d'être régénérée et il faut que je te fasse lire un petit truc concocté par Mme la Perversité et une dénommée Laeticia!

Sinon que dire.... j'aime mais bon je le répète tout le temps, tu dois t'en lasser maintenant et je te comprend. Les compliments perdent toujours de leur sens à force d'être trop entendu. Pourtant c'est plus fort que moi, et je m'aventure un peu mais je ne pense pas me tromper en prononçant aussi un plus fort que nous.
Un baiser magique, que tu nous laisse bien le soin d'imaginer en te souciant volontairement des détails inutiles qui feraient qu'entraver notre élan imaginatif.

Rien d'autre à dire à part que ta premier phrase m'a faite penser à ceci "Ben moi je t'aime de ce bout de la terre à ce même bout parce que comme ça, ça en fait tout le tour" lol!
Alala qu'est-ce que je suis poétique lol!

Là je sais pas si tu dors déja, je crois pas vu qu'est toujours en ligne sur le fo'. j'espère que c'est pas Tom qui te fait faire des bêtises lol!

Donc je te resouhaite encore une fois une bonne nuit!
Je t'aime fort!
Et puis à demain pour un footing?
Mdr la blague lol!

Bisous

J'adore, Tu écris vraiment bien !

Suiiiiiiite =]

Mdr Manis ( ca y est jvais plus te lâcher avec ça x] ) le footing : la bonne blague de carambar haha.
Puis que dire , ton message me donne le sourire. Alors j'ai l'air bête. Sourire devant un écran d'ordinateur, c'est stupide en y pensant.
Ta phrase de " je t'aime de ce bout .. " elle est vraiment magnifique sérieusement !!
Puis je suis toujours en ligne sur le forum. Je ne me déconnecte jamais x)
Bref. Suite peut-être ce soir. Peut-être =)

Bisous à toutes !

La suite please!

Nouvelle lectrice. Frissons. Emotions. Envolée au-dessus des étoiles. Sourire*.
Vraiment sublime. J'en ai le coeur qui bat la chamade. Merci

Ich_mag a écrit:: Mdr Manis ( ca y est jvais plus te lâcher avec ça x] ) le footing : la bonne blague de carambar haha.
Puis que dire , ton message me donne le sourire. Alors j'ai l'air bête. Sourire devant un écran d'ordinateur, c'est stupide en y pensant.
Ta phrase de " je t'aime de ce bout .. " elle est vraiment magnifique sérieusement !!
Puis je suis toujours en ligne sur le forum. Je ne me déconnecte jamais x)
Bref. Suite peut-être ce soir. Peut-être =)

Bisous à toutes !

Attends moi j'suis allez courir!
Pff trop lol! Vu à l'heure où j'me suis couché lol!

Sourire devant l'érn d'ordi c'est pas stupide, moi j'suis toujours mdr devant mon ordi d'aillerus en y pensant c'est très mais très souvent pas ta faute lol!

Pour la phrase du monde c'est sortit droit de mon coeur!!

Puis sinon je me languis ta sute!
et je kiff mon nouveau surnom
lol
Manis non mais où t'es allée le cherché celui là mdr!
Il y a que ton esprit pour trouver des trucs comme ça!

Jtm ma petite Mag chérie!

Bienvenue à la nouvelle lectrice !
J'espère que le reste te plaira ..
Bouleversement à la prochaine suite.
J'en dis pas plus. Bisous. A ce soir.
Ou demain.

Ich_mag a écrit:: Bienvenue à la nouvelle lectrice !
J'espère que le reste te plaira ..
Bouleversement à la prochaine suite.
J'en dis pas plus. Bisous. A ce soir.
Ou demain.

Ha non j'y crois as comme t'es une sadique!!!!!!
Ahh je te déteste!
non c'est pas vrai je t'aime lol!
Mais je te déteste un peu quand même sur ce coup là

Salut, nouvelle lectrice...
J'aime vraiment ta fic... T'as une façon d'écrire formidable...
Bref... SUITEE

Bienvenue Lalionne12 !!
Bon allez , deux nouvelles lectrices aujourd'hui.
Manis qui va me bouder.
Alors voilà une suite.

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Le rêve peut commencer. Nous passons la soirée tous les deux. Seule la vibration des cordes se fait entendre. Il veut m’impressionner et sans le savoir il y arrive avec succès. Ses phalanges se posent sur les cordes sui s’enfoncent dans sa peau. Le sommeil me guette. Il virevolte au dessus de moi et s’infiltre dans mon corps sans que je puisse l’en empêcher. Je sens Tom sourire en me voyant sombrer dans une mort éphémère. Mes yeux clos, il me réveille doucement. Me ramène chez moi. Soirée terminée. Gâchée par Morphée.

Une semaine passe, je me rends à mes cours. Sourire figé. L’exposition est aujourd’hui. L’explosion aussi. Joie. Fierté. Tout se mélange. Harmonie parfaite. Tout va très vite. Aujourd’hui, tout ira très vite. Trop, vite. La fin de l’exposition se fait sentir. Des personnes m’encouragent à continuer. Les filles me jalousent mais sourient dès que quelqu’un s’approche pour les féliciter. Elles finiront comme la fée Clochette si elles continuent. Les minutes passent vite. Elles se précipitent vers le six du cadran. Peut-être qu’elles savent. Oui c’est ça. Elles savent qu’il me tarde de le voir. J’ai peur de m’emballer. Diable futilité. Une semaine à peine que ma salive à le goût de la sienne et je ne parviens pas à me passer de ses mains, ses yeux, ses lèvres. Parce que ses mains ne sont jamais rêches. Ses yeux jamais vides. Ses lèvres jamais gercées.

Les aiguilles s’alignent. Parfaite osmose. Les trois pointent du doigt ce nombre. Six. Je vais le retrouver chez eux. Il n’est pas encore là. Gustav me fait entrer. Il a une petite mine. Il m’explique que Bill et Tom sont partis mais ne vont pas tarder à revenir. Il me demande si tout va bien. Ca me surprend. Pourquoi quelque chose n’irait pas ? Il m’inquiète. Je passe outre. Georg nous rejoint. A ma vue, sa mine se grise. Nous nous asseyons et parlons de tout comme de rien. Le tout domine cependant. Ils me font rire et je fais de même. La carapace de Gustav se craquelle. Se fissure. Il rayonne et m’éblouit le visage de sa lumière blanche. Georg est sublime quand il ri. Le son de ce sentiment est indéfinissable. Un tel rire, on ne l’oublie pour rien au monde. Toc-toc. Ils entrent. Tout se refroidit. Face à moi, Tom ressemble à un mort. Bill l’accompagne dans sa pitoyable allure. Mon cœur s’emballe. Qu’est ce qu’il se passe bon sang ! J’avance vers mon bien aimé. Petit papillon ouvre ses ailes pour enlacer son cocon. Cocon rigide comme un bâton.

MOI : Tom, qu’est ce qui ne va pas ?
TOM : Viens. Je dois te parler.

Un nuage de brume recouvre mes pensées. Je souffle, il reste. Je bouge mes mains face à mes yeux. La brume est toujours là. Bientôt dégagée par ses explications. Il s’assoit. Mon cœur palpite. Tout va vite. Beaucoup trop vite. Je veux boucher mes oreilles pour ne plus entendre ces infamies. Journal. Une photo de nous. Maison de disque. Mauvaise publicité. Image. Tort. Fans. Tristesse. Fantasme qui s’envole. Je ne comprends plus rien. Ses phrases ne semblent pas en être. J’essaie d’assembler le tout. Une larme coule sur ma joue. De l’eau vient flouer son regard, ses yeux brillent. Je rassemble tous ces mots pour en faire une phrase. Je comprends tout. Il me tend un journal à scandale. Une photo de nous deux apparaît en première page. Je m’en fiche, lui aussi. Sa maison de disque ne l’entend pas de cette oreille. Cette photo est la preuve qu’il est en couple. Des fans s’en attristeraient. Mauvaise publicité. Vente de disques qui risque de chuter. Crac. Ils décident de notre séparation.

MOI : Alors tu veux me quitter car tes producteurs te le disent… Belle initiative.
TOM : Mégane. Ils nous virent de la maison de disque si…
MOI : Si tu écoutes ton cœur plutôt que ta raison.
TOM : Pense au groupe.
MOI : Et dans l’histoire, quand est-ce que je pense à moi ?

Il n’ose dire mot. Enfoiré. Après qu’ils affirment qu’ils décident eux même de ce qu’ils font ou ne font pas. Que leur maison de disque ne dirige pas leur vie. Une belle claque de paroles et d’absurdités atterrit sur ma joue déjà trempée. Je n’arrive pas à le croire. Je ne sais faire que pleurer. Je sèche mon visage. Il n’ose pas non plus lever la tête. Couilles où êtes vous ? Car mon bien aimé ne semblent pas en être doté. Je me dirige vers le salon. Tous les trois me couvrent de regards. Couverture de pitié. Le cauchemar peut commencer.

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Noooooooooon
Désolé cest le seul mot qui me vient à l'esprit.
C'était si beau, si parfait et tout le monde sait que la perfection n'existe, ou ne dure, pas!
Domage pourtant.
On monte toujours haut pour retomber toujours bas. Je crois qu'elle aurait pas pu monter plus haut et redescendre aussi bas.

J'aime quand même!
paradoxale non.

J'espère que tu ne pourra pas nous laissé comme ça car la vie ne finit pas toujours bien mais autant faire que les histoires si!

Jtm fort!
Suite stp!

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