[T] Rêve éveillée.

Je pense le mot , je le pense au plus haut point .

Sa y est , encore une autre dose de bonheur qui vient de remplir mon corps .Encore une piqûre de bonheur qui me colle un sourire sur les lèvres .Encore une piqûre qui remplit mon coeur de joie .
La joie de pouvoir lire tes mots , la chance d'être tombée par hasard sur ta première fiction .La chance d'avoir connu une fille qui a du talent .La chance de connaître quelqu'un qui est douée pour me toucher grâce à de simple mots .
Je suis devenue accro .Mais je sais que cette drogue n'est pas dangeureuse , elle m'apporte toute les choses les plus belles : le bonheur , le sourire , les yeux qui brillent , la joie .

A ce que je vois , elle n'est pas si froide et distante qu'elle en a l'air .
Au fond, j'ai l'impression qu'elle les aime plus que ce qu'elle veut avouer .EUX , c'est un de ses petit bonheur .
Et puis comment résiter à une proposition pareille .
La preuve elle a réfléchie un peu plus après avoir dit non ,et résultat , elle a accepté .
Mais bon , ils pensent l'avoir mis dans leur poche mais je ne pense pas que se soit le cas ..Enfin .. peut être .. je dis sa mais je ne sais pas en fai , je me pose juste pleins de questions .
Mais je n'aurais pas les réponses tout de suite , elle viendront au coup par coup , doucement tout au long de l'histoire .Et puis aussi bient j'ai tout faux ^^
Bon j'arrête de me poser toutes ces questions je risquerai de te donner mal à la tête ^^

Je t'offre tous mes sourires , toutes mes étoiles pour te dire à quel point j'aime ce que tu nous écris .

Ta droguée (L)

Salut ma eptite Mag!
Mon commentaire sera un peu différent des autres!
Car aujourd'hui, ce n'est pas seulement ton talent, car c'est indéniable en plus d'être doué das l'art de maitriser le crayon tu l'es aussi dans celui de maîtriser la plume, mais aussi pour remercier ta personne tout simplement.

En ce moment, topi plus que quiconque sait combien ce n'est pas facile, s'appercevoir de la "trahison", car c'est un bien grand mot, des personnes les plus proches de toi, ce n'est jamais facile à encaisser. Bref toi tu es là et je ne te remercierais jamais assez pour ça. Pas besoin de grand disour, juste ta présence me suffit.
Je ne sas pas si je te l'a déja dit mais à chaque de tes suties je m'envole un peu plus haut, priant par fois pour que l'ascension ne s'arrête pas, mais malheureusement cette fute réalité me rattrape à chaque fois.

Bref j'ai envie de remercier tout ce qui sont là pour moi et tu en fait parti donc tout simplement, merci!

Bordel c'est beau
Magnifique
Sublime
Merveilleux
...
J'aime trooooooooooop
Suite pliz

justetokiohotel a écrit:: En ce moment, topi plus que quiconque sait combien ce n'est pas facile, s'appercevoir de la "trahison", car c'est un bien grand mot, des personnes les plus proches de toi, ce n'est jamais facile à encaisser. Bref toi tu es là et je ne te remercierais jamais assez pour ça. Pas besoin de grand disour, juste ta présence me suffit.

HUM HUM

Les règlements de compte , c'est pas ici.

Désolée du double post.

______________________________

L’eau coule sur ma peau. Elle noie mon corps dans une marre de pureté. Machinalement j’ouvre la bouche, mes lèvres trempent dans cette chaleur humide. Des bulles se forment sur mon corps et voilà que le savon glisse le long de mes jambes jusqu’à atteindre mes pieds. Une serviette recouvre mon corps. Le sommeil me vient et m’emporte.
Journée comme les autres à mon école d’arts. La jalousie se fait sentir, je joue un jeu. Jeune fille timide montre son côté fier, qui en fait n’est pas mien. Elle rend nos croquis faits le jour précédent. « Osé et humoristique. Joli coup de crayon, attention aux ombres. Technique dessin manga à travailler. » Elle le sait, les portraits font l’unanimité face aux mangas. Je dois m’améliorer je le sais. La journée se déroule, les cours s’achèvent à quatorze heures. Branleurs nés, ces artistes. Je me dirige vers une maison d’un quartier assez chic. Une femme m’ouvre la porte et j’entre avec habitude. Elle me chuchote un bonjour et ne me dit rien d’autre. Je connais la maison. Il est dans sa chambre, je monte et toque. Nous descendons au salon, Josh me regarde d’un air pensif, un air apeuré. Garçon n’a pas appris sa leçon. Je lui souris, nous commençons. Quinze ans, il me fait rire.

MOI : Ton exercice.
JOSH : J’en ai fait que la moitié.
MOI : Pourquoi ?
JOSH : J’ai encore du mal avec la forme passive.

L’anglais c’est pas son fort. C’est bien pour ça que je suis là. Il me fait penser à certains de mes amis au collège, douce nostalgie qui me grignote le cerveau. Au bout d’une heure et demi le cours s’achève. Elève le matin devient professeur l’après midi, de quoi sourire. Un rang de grimpé dans l’échelle sociale pour la descendre avec fracas et désarroi le lendemain. Déception passagère.
Le soleil décide de nous quitter pour éclairer l’ancien Nouveau monde. L’air se rafraîchit, je me prépare du haut de mon mètre soixante-cinq. Cheveux lisses, peu sûre de moi, je presse le pas et rejoins l’endroit prédit. Me voici devant l’entrée. Je souffle un bon coup et franchis la porte. Des dizaines de filles sont déjà là, je devais m’en douter. Je les observe avec attention, leur bave coulerait presque de la bouche. Mon regard parcours toujours ces visages et le conditionnel devient présent. Leur bave coule de leur bouche. Elles les admirent, je suis comme elles. Elles sont jeunes, je suis comme elles. Elles connaissent leurs paroles par cœur, je suis comme elles. Elles les idolâtrent, là est toute la différence. Nous ne sommes pas nombreuses, une petite centaine. Cette version acoustique me donne la chair de poule. Une poule bientôt déplumée de toute peine. Une poule qui verse une larme sur In die Nacht. Une poule mouillée. Mon appareil photo à la main, je prends des clichés, d’un peu loin mais ça me va parfaitement. Un peu loin se résume à même pas dix mètres. Mon regard se pose sur lui pendant plusieurs minutes et sans m’en rendre compte je m’avance dans la foule. Je suis au milieu et je me retrouve au deuxième rang. Surprise par mes propres pas, je frôle la schizophrénie. Mes yeux ne l’ont pas lâché, je m’en aperçois. D’un air surpris je décroche mon regard. Les minutes passent, le concert se finit. Il me sourit, je suis surprise qu’il m’ait vu. Océan de bonheur, je nage en plein dedans. Deux fois en quelques jours, s’en est trop. Explosion de joie, lave effusive.

_______________________________

Wow.
Merde, Merde & re-re-merde.
Bordel.
J'en peux plus
J'ai chaud.
J'étouffe.
Ton talent me subjugue & me tyrannise.
J'aime.
Même plus.
Pas moins.
Suite.

Sa fait du bien de venir sur le fo' et de voir que tu as posté .

Le petit moment de détente entre mes révisions m'a permis d'avoir mon moment de bonheur , ma stich ins gluck.

Quel plaisir de pouvoir lire encore et encore tes mots , les lire jusqu'a les savoir par coeur , les regarder jusqu'à en avoir mal aux yeux ..

Aujourd'hui , au lycée ,j'avais deux heures de creux .Il faisait beau j'étais au soleil ,dehors et je pensais .Oui je pensais à la suite que j'aurai peut être ç lire ce soir.

Je pensais à la première fois ou j'ai lu tes mots , je me rapelle bien de ce moment .Ce jour -là je me suis dit que je ne te lacherai pas et bien pas manquer , je te suis toujours !

Et puis j'a iété prise d'une soudaine envie de lire tes mots , j'ai fouiller dans mon sac et j'en ai sorti l'histoire précédente que j'avais bien sur imprimer dans sa totalité .

Et je me suis mise à lire , pendant deux heures je me suis gaver de tes mots , je les ai dévorer comme si c'était la première fois que je lisais , mes yeux ne pouvaient pas se lever de la feuille .A la fin des deux heures, j'avais un beau sourire qui s'étalait sur mon visage et le soleil avait quitter son beau ciel bleu pour venir se réfugier dans mes yeux et en a profiter pour me réchauffer le coeur .

Bon fin du blablatage ^^

Ta suite est ...digne de ma plus grande reconnaissance comme à chaque fois .

Tous mes mots ne pourront jamais être suffisant pour te dire ce que tu m'apporte rien que par de simples mots, de simples phrases.

Et tu le sais autant que moi .Tu me réchauffes le coeur , tu me fais pleurer , tu me fais sourire ,tu me fais stresser mais surtout grâce à toi les mots je les ai aprécier .

Tes dernières phrases représentent bien ce que je ressens à ce moment précis : " Océan de bonheur ,je nage en plein dedans.Deux fois en quelques jours ,s'en est trop .Explosion de joie , lave effusive ."

C'est exactement les bons mots , tu les as écris et moi je les ai ressenti .

Bon je vais m'arrêter là parce que je finis par me répéter et je n'aime pas ça .

Bisous de ta droguée

(L)

Bienvenue à Moimanon.
Merci pour ce commentaire.
La lave est entrain de me bouffer le coeur de reconnaissance envers vous.
Mille merci, mille meere .. on s'en fout : 1000 c'est tout.

C'est Splendide.
Comme toujours.
Tu m'redonnes le sourire.
Ouais.

pfff

qu'est ce que tu veux qu'on dise
une fois qu'on a lu tout ça ....
t'as vraiment a dont ; tu donne vie a ton histoire par les mot
enfin je n'ai qu'une envie c'(est de savoir la suite hihi

bisoussss

Ich_mag a écrit:: Bienvenue à Moimanon.
Merci pour ce commentaire.
La lave est entrain de me bouffer le coeur de reconnaissance envers vous.
Mille merci, mille meere .. on s'en fout : 1000 c'est tout.

Merci.
<33

_______________________________

Un garde s’approche tout se chamboule. Les filles hurlent de colère, je vais derrière et pas elles. J’aimerais rester dans la salle avec elles pour ne pas avoir à supporter ces critiques. Je n’aime pas les critiques. Je veux qu’on m’aime. Pure égoïste, sale mioche que je suis. Je m’en fous, qu’elles aillent se faire foutre. Par qui elles veulent sauf par eux. L’homme aux épaules plus larges que mes hanches me parle, me confit qu’ils sont épuisés. L’acoustique, c’est pas aussi tonique que l’électrique, mais ils ont tout donné. Je les vois assis sur leur fauteuil. Gustav s’étire les mollets tandis que Georg tient sa tête entre ses mains. Bill est excité et bouge ses jambes, enfin Tom tête en arrière souffle à grands poumons. Ils ne disent rien. Leurs soufflent ralentissent. Leur sueur goutte. Mes yeux gorgés de souvenirs.

GUSTAV : Tu es venue tout compte fait.
MOI : Vous en doutiez ?
GUSTAV : Pour tout te dire, oui.
MOI : Tadam.

Un rire berce le vide de la pièce. Je prend place sur une chaise à côté d’eux et les regarde. Je ne fais que ça, suffisance extrême. Georg me demande si j’ai aimé et je réponds que j’ai adoré. Ils sont satisfaits. Bill prend la parole et me dit que finalement il avait eu raison de me demander si je venais ou pas. Moi comme une niaise, j’acquiesce. Il est tout fier tel un enfant de huit ans ayant trouvé un maxi Kinder surprise. Maxi, rien que le mot me fait sourire. Ils sont le jouet de ce Kinder que moi-même j’ai trouvé dans un jardin inconnu. Le jardin secret.
Ce soir, ils sortent. Encore. Ils me proposent de venir mais je refuse, les cours l’emportent haut la main. Une prochaine fois.

TOM : Il y aura donc une prochaine fois.
MOI : Gagné.
TOM : Comme toujours.
MOI : Tu en es sûr ?

Il réfléchit et ne répond rien, il baisse la tête sourire aux coins de ses lèvres et des miennes par la même occasion. Nous restons là à papoter de tout et de rien. Ils me décrivent leurs concerts et je décris ceux que j’ai vus dans ma vie. Je leur dis que c’est le seul dans lequel il y avait une telle euphorie, ils sourient, pas moi. Toute cette euphorie étouffe. Les filles tombant dans les pommes tombent en réalité dans une compote écrasée par les pas de ces autres folles à leur côté. Leurs sourires s’effacent peu à peu, je les blesse. A peine. Ils ne veulent pas de ces évanouissements, menteurs. La discussion se poursuit et j’enchaîne avec le fait qu’ils deviennent trop commerciaux. Ils me répondent « Ce n’est pas nôtre faute. » Celle du pape alors, quelle conne, j’aurais du y penser plus tôt au pape. Le ton s’élève, je leur tiens tête. Exemple les coussins les couettes et autres conneries du genre. Finalement, le tout s’achève sous un ton des plus hauts. Messieurs n’ont pas pour habitude d’être confrontés à quelqu’un qui leur balance la réalité commerciale à la gueule. Messieurs n’ont pas pour habitude de parler à quelqu’un qui leur tient tête. Que messieurs aillent au diable, je ne regrette en rien ce que je leur ai dit. Je pars, aucun numéro, aucune adresse. Je pars seulement. A bon entendeur, salut.

_________________________________

=D
Super & J'aime énormément.
Suiite.

au j'adore
sa semble si vrais
comme toujours quoi
et le fait d'avoir parler de la commercialisation et tout
sa redonne du piment
ha j'ai qu'une envie
c'ets de savoir la suite

bisouss miss

j'aime ta fiction franchement

je vais me répéter comme tjrs mdrr

Oh ma stich ins gluck =)
Je pense le mot , je pense le mot .. !!

C'est juste un vrai plaisir après avoir travaillé toute la journée de revenir à la maison et de voir tes mots .
Il arrive un moment ou je ne sais plus quoi te dire parce que j'ai tellement de mots qui me viennent à l'esprit que je ne peut plus les écrire ..
J'ai l'impression de ne plus avoir d'inspiration et j'ai peur de te décevoir dans un de tes messages .
J'me dis qu'à un moment , mes massages ne te plairont plus ..
Je ne veux pas en faire trop mais j'ai peur de ne pas en faire assez .
C'est vraiment contradictoire cette histoire .

Bon , bref , comme toujours mes yeux ont brillée , c'est pas des petites étoiles là ,c'est des étoiles filantes qui me traversent les yeux sans jamais s'arrêter .
Mon coeur est transpercé , foudroyé .
Mes lèvres sont couvertes de sourires qui se battent pour savoir lequel sera le plus grand .

J'aime la façon dont elle leur dit exactement ce qu'elle pense .
Elle est superbe cette fille , j'aime les gens qui disent ce que les autres pensent tout bas .
Elle est particulière , unique comme toi en fait et je crois que c'est ça qui me plait le plus dans sa personnalité .

Gros bisous de ta droguée qui va finir par aire une overdose .. =)
(L)
Ps : je suis triste mon message n'est pas réussi ..c'est pas grave , même si je ne t'ai pas tout dit , je pense tout ce qui peut exister de plus gentil et de plus beau =)

J'adore
C'est vraiment magnifique
Suite sitoplé

Suiteuuhhh ???????????????????????

Ma stich ins gluck ...
Tes mots .. tes mots me manquent , il me faut ma dose de bonheur , il faut que mon sourire revienne

Bisous
ta droguée
(L)

Suiteuhhhhhhhhhhhh

Désolée pour ce moment d'attente.

______________________________

Réveil matinal comme toujours. En cours, seule contrainte : les limites du désir. Allez dessiner quelque chose qui ne les dépasse pas, facile à dire. Moins à faire. Machinalement je dessine une bouche, un bout de fer, deux boules qui referme ce cercle d’acier. Merde. Je dessine le guitariste… je gomme tout et déchire la feuille. Qu’il dégage de mon esprit ! Je le dégage à coups de talons au derrière, il crie de douleur, de peine. Mon crayon se décide à dessiner autre chose et mon imagination fuse au fur et à mesure que le carbone tâche ma feuille. L’une des filles qui ne me supportent pas s’approche de moi en me souriant. Pauvre conne au sourire figé. Je souris. Elle me dit que ce que je gribouille est original. Je suis choquée et intriguée.

MOI : Qu’est-ce que tu veux ?
JESS : Comment ça ?
MOI : Balances, tu me fais perdre mon temps.

Elle me regarde d’un air hésitant, se tourne vers ses amies et soupire légèrement. « Quelle plaie cette fille » devait-elle penser. J’en pense autant d’elle, ça tombe bien.

JESS : Ok, apparemment tu connais les Tokio Hotel.
MOI : Je mets les choses au clair. Je ne te dirais rien sur ça.
JESS : Et pourquoi ça ?
MOI : Parce que ta petite gueule d’hypocrite me donne la gerbe.

Je lui donne un sourire de faux cul comme elle les aime tant et rend ma feuille. Je sors, le cours est finit. Je marche dans la rue en direction du tabac. J’achète un paquet. Je sors. L’ouvre. Tic, le briquet prend feu. Boum ma cigarette explose et je me tue à petits feux. J’aspire. Souffle la fumée, tout en marchant. La cendre tombe à terre. J’enfume tout le monde mais je m’en fous. Depuis que le monde l’a tué, je me tue aussi. Pourquoi pas ? Huit ans qu’elle m’a laissé contre sa volonté. Une larme perle ma joue. Je l’efface. Pas de faiblesse, je paraîtrais fragile. Je me rends chez le perceur, aujourd’hui une douce jolie enfantine me prend et m’emporte. Mon nombril sera transpercé d’une aiguille. J’entre et salue la vendeuse. Joli look, extravagant, il me plait. Elle me fait monter au premier étage. Stérilisation. Aiguille froide. Picotement. Je souris. Me voilà un anneau dans la peau. Je descends et le vois. Bordel. Je me fais suivre ou quoi ? Futilité. Je paye et demande quelques conseils, je suis enfin prête à quitter le lieu. Il me retient. Je tourne la tête vers lui. Mon sac accroché à l’épaule glisse jusqu’à mon coude. Il le suit du regard, quelle attraction. Il me demande si je l’évite et lui demande s’il me suit. Un « non » étonné vient couvrir ma voix. Le trouble vient perturber mon esprit. Je le tuerai de me troubler. Mais sa belle gueule me supplie de le laisser vivre, soit, qu’il vive.

TOM : Tu t’es faite percer ?
MOI : Oui.
TOM : Ou ça ?
MOI : Nombril.
TOM : Je peux voir ?
MOI : Tu le verras le jour où je serais dans ton lit, mais ce jour n’est pas prêt d’arriver.

Son regard blessé, je m'aperçois. Je suis odieuse, en fait.

_____________________________

La suite please!

new lectrice
j'aime beaucoup tes mots
suite stpppp

Le moment d'attente n'est pas important .
Le plus important est que tu écrives toujours pour ton plaisir et pour notre plaisir .
J'ai eu ma dose de bonheur , je vais povoir m'endormir sereinement ce soir .
Je vais pouvoir rejoindre le doux pays des rêves avec un des plus beaux sourires et des étoiles à en perdre la tête .

Plus le temps passe et plus je l'apprécie .Son caractère , sa façon de penser , de parler tout me plaît .
Et puis l'attitude avec laquelle elle parle à Tom ,elle est froide , distante crue mais réaliste ..
Tout ce qui me plait dans tes mots en fait .

Je ne peut pas faire de long commentaire ce soir , je n'ai pas la forme qu'il faut pour ça .Mais sache que même si je ne dis rien de plus , ce n'est pas pour autant que je n'aime pas .
Au contraire , je suis toujours ta droguée , et je continue de prendre ma dose de bonheur parce que oui tu es mon ptit bonheur , tu me le donnes sans rien demander en retour .

Tu es généreus Mag , oui oui ,très généreuse .
Rien que pour ça , on devrait te donner tout ce qu'il y a de plus beau au monde .

Bisous
ta droguée qui "pense le mot"
(L)

Pauvre Tomichou il s'en prend plein la gueule =)
Suitouille !!!

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