[T] Rêve éveillée.

Quatrième fiction. Ca commence à faire beaucoup.
On s'en fout : pour le plaisir. En espérant ne pas vous décevoir.

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J’absorbe chaque minute de bonheur. Je m’enivre avec, me voilà saoule de joie. Ils ne le savent même pas mais ils m’ont rendu ivre de leur musique. Sur le chemin du retour, si les flics m’arrêtent, ils seront seuls responsables de mon alcotest positif.
Je ne connais personne ici, à part eux sur cette scène. L’un s’amuse avec ses baguettes comme un enfant jouerait d’une sucette, l’autre se penche en arrière prêt à tomber de jouissance mais résiste à l’attraction terrestre. Le troisième rugit tel un lion dans ce micro, les mains en l’air. « Adulez moi ! » voilà ce qu’il doit se dire. Et elles le font les sautes. Ecrans de portables et appareils photo éclairent leur visage. Des milliers de petits chanteurs. Je vois des milliers de petits chanteurs dans de petits écrans, dont deux sur chaque côté de la scène, beaucoup plus volumineux. Ils les dominent tous, prenez vous ça. Le quatrième arrive au bord de la scène et positionne sa Gibson comme une femme qu’il empalerait, ni plus ni moins. Il se balance d’avant en arrière et elles mouillent ces petites cochonnes. Elles le bavent et blasphèment en le prenant pour un Dieu. Connerie née. Je suis une de celles qui ont une barrière enfoncée dans le ventre, seule conséquence de leur mouvement de foule. Foule féminine principalement. Il est en face de moi et je souris. Je souris de le voir accomplir cet acte, car faute de ne pas avoir de vraies femmes dans son lit, il se contente de sa Gibson. Son frère du coin de l’œil l’observe. Il sourit lui aussi, et continue à chanter. Cet être en face de moi se nomme Tom et ces filles scandent son nom. « Tom Tom Tom » comme une hymne que l’on clamerait. Comme. Mais n’est pas en réalité. Du moins pas pour moi. Celui aux cheveux longs nommé Georg prend sa place et se penche encore. J’ai envie d’aller aux toilettes soudainement, toutes les larmes ne sortant pas sur mes joues s’accumulent dans mon corps. Je me retiens, ils en valent la peine.
Mes yeux sont en manque, en manque éternel de voir de si belles choses. Leurs sourires se figent dans mes pupilles. Je prends des milliards de photos à la seconde rien qu’avec mes yeux. Plus rapide qu’un appareil, mais tant pis j’enclenche ce bouton qu’elles actionnent toutes. Clic. Il est dans ma carte mémoire. Clic de nouveau, lui aussi. Et je continue à cliquer, autant avec mes yeux qu’avec mes doigts pour avoir ne serait-ce qu’une fois la chance de me souvenir d’eux. Les souvenirs, ça m’attriste en y pensant. Rien à foutre. Comme le dit le plus étrange des quatre, je vis la seconde. Cette seconde. Ma seconde.
Une paillette vient se nicher et se coller entre mes seins. Ils la fixent tous. Leurs regards sur ma poitrine s’accentuent. Je l’enlève et Tom lèche son piercing, infâme morfale. J’ai faim moi aussi. « Du bist nicht alleine. » La fin est là, elles crient et pleurent, petites connes. Elles croient avoir la chance d’être une seule fois en leur compagnie, elles rêvent. Je ne rêve pas de ça non. Pas moi. Leur musique me suffit, leur concert aussi. Concert qui s’achève sous nos acclamations, nos remerciements. Clic. Une dernière.

Ouw ! Déjà des messages, j'ai le sourire accroché aux lèvres.
Ma droguée : merci d'être de retour ( halelujah xD ).
En espérant que cette fiction vous plaira ..

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Dehors il fait ni chaud ni froid. La fraîcheur de l’air se mêle à la chaleur de mon corps. Je ferme les yeux, oubliant la foule autour de moi. Ces photos, je les revois, toutes. Pas une n’échappe à ma mémoire. Je souris niaisement. J’ouvre mes pupilles et vois ces filles se ruer vers la sortie des loges pour pouvoir les apercevoir une fraction de seconde, naïves. Je ne suis pas de ces filles là non. Je commence à marcher, tout droit. La rue est parsemée de quelques personnes, certaines rient, d’autres pleurent. Moi je souris à pleines dents. Des paillettes dans la main je marche, un pied devant l’autre. Je fais attention à ce que mes jambes soient coordonnées, toute cette euphorie me faisant perdre la tête. Sur mon lit dans ce petit studio que je paye avec mes propres moyens, je repense à cette soirée. Je finirai ridée par ce sourire qui ne se décroche plus de mes lèvres humides.
L’eau fraîche perle ma peau. Une falaise se forme à chaque courbe prononcée de mon corps. La soirée continue. Enveloppée dans une serviette blanche, je mouille le sol de mes pas. Détective, suis moi et je te guiderai vers le bonheur. Ou pas. Vêtements sur ma peau, je me mets en valeur sans trop en faire. Mes affaires sont en vrac sur le lit, misérable lit qui me fait perdre tout sens de réalité le soir venu.

J’entre dans cet amas de fumée et de musique. Je connais bien cette boîte. La nuit éveillée et la journée endormie, une chouette géante. Je m’assois sur un tabouret et observe les gens. J’aime observer, observer cette joie éphémère et cette folie passagère. La musique m’emporte, se glisse dans mes tympans. Boum boum boum. Mon cœur bat au rythme de la mélodie. Mes jambes me traînent sur cette piste et me voilà parmi eux, ces fous. Je suis folle moi aussi. Certains s’approchent, je les repousse. Je ne suis pas Madame Frivole. J’aime profiter, mais seulement des bonnes choses, eux n’en sont pas. Le souffle court je me repose un instant et l’aperçois. Son étoile filante me perce les yeux. Elle vole jusqu’à mes iris et me les brûle de joie. Il se tourne et j’aperçois ses ailes. Un ange né pour ne jamais mourir. Je le dévisage, j’aime jouer de mon regard et il le sent sur lui. Démasquée sans avoir de masque, Venise se nomme à présent Berlin. Il sourit et je fais de même. Vint son ami, ils sont tous là. Les quatre réunis pour oublier la scène et se faire oublier du monde, de ces hystériques. Je commande une boisson sans alcool, pour me faire bien voir sans doute. Maligne de nature, tendre blessure. Il pose son regard sur moi comme il l’a fait au concert. Ses dreads sont disposées de telle sorte que l’on aurait pu croire à une pause mannequinât, gueule d’ange qu’il est.
Je vais de nouveau sur la piste, lui aussi. Je danse et il fait de même. Il se rapproche et je m’éloigne. On joue à chats, ça me plait. Je ne bouge plus et la distance nous séparant se fait minime. Je le repousse, comme tous les autres. Le nom de Kaulitz ne lui donne aucun droit, aucun pass VIP dans mes loges. Il semble troublé. Il n’a certainement pas pour habitude d’essuyer un refus, il faudra qu’il fasse avec. Pauvre minou, je viens de lui briser les pattes, il atterri sur le dos et s’en brise la colonne vertébrale. Il sourit pourtant et repart vers son frère et ses deux amis. Chat troublé mais pas mort pour autant. Bill rigole, il se fout de sa gueule. Tom Kaulitz roi des dépuceleurs à perdu une dame. Il le pousse tout en rigolant lui aussi et voilà que le bassiste se marre à son tour. Le batteur fait de même, il est grillé, rôti par ma volonté.

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Hi t'es venue ! T'inquiètes pas je sais que tu ls : merci (L).
Bon et bien, l'envie d'écrire est là, vos messages aussi. Pourquoi attendre ?

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Je m’assois essoufflée. Il me regarde, je sens son regard incandescent sur ma peau prêt à s’enflammer au moindre coup d’œil de ma part. Telle une allumette que l’on aurait gratté sans être parvenu à la faire s’embraser. Je me fais désirer, bordel que j’aime ça. Moi qui suis timide et n’osant pas me dévoiler à n’importe qui, moi qui généralement se cache et aime ne pas se faire voir ; ce soir je suis libertine mais sans trop. Séductrice voilà tout. Je me tourne face au comptoir et commande un verre de citronnade. J’apporte la tranche acide à mes lèvres et me les lèche. Mes papilles sont agressées par cette acidité, je souris. Du coin de l’œil je jette un rapide coup vers lui, il se lèche les lèvres à s’en faire couler la salive, presque. Je me réjouis de l’effet que je produis. Je me questionne, devrais-je arrêter ce jeu ou le faire durer à lui en faire durcir le sexe ? La question trottine dans ma tête et s’arrête. Je me calme mais finis tout de même ma tranche de citron vert. Les heures sont passées assez vite je trouve, déjà trois heures du matin, mes yeux fatiguent, je me rends comme une voleuse aux flics. La fatigue l’emporte et je perds devant cette chouette. J’esquisse un sourire au serveur, charmant serveur que je connais assez bien. « A bientôt » me balance-t-il. Il a raison, je reviendrais dans peu de temps sans doute. Je récupère ma veste et sors dans l’air froid. Il me rafraîchit les doigts, les dernières phalanges plus précisément. Je glisse mes mains dans mes poches. Quelle soirée. Ce concert et cette vision, ce charme et ce refus. Mes lèvres en rient toutes seules.

Un bras attrape le mien et me stoppe nette dans ma marche silencieuse. C’est lui. Décidément, une proie est une proie et personne ne peut la remplacer. Je reste immobile face à son visage. Moi qui faisais la belle à le repousser, à le séduire en ne lui laissant aucune chance, me voilà prise au piège à mon propre jeu. Les images du concert défilent dans mes yeux, je suis troublée à en perdre mes mots. Il sourit, tout simplement. Adulé de toutes, son corps se tient devant moi, qui aurait pu croire que ce soir, cet être se tiendrait tout sourire face à mon corps glacé de peur. Peur de paraître stupide ou autre, peu importe.

TOM : Laisse moi au moins savoir ton nom.
MOI : Mégane. Je m’appelle Mégane.
TOM : Moi c’est Tom.
MOI : Comme si je ne le savais pas.
TOM : Pourquoi tu le saurais ?

Je lui glisse un regard qui veut tout dire, il baisse le sien et rigole. « C’est vrai » me dit-il. Pas si bête que ça le Kaulitz.

TOM : Alors même en sachant qui je suis tu ne veux pas de moi ?
MOI : C’est justement parce que je sais qui tu es que je ne veux pas de toi.

Il est troublé, ne sait plus quoi répondre. Bouche cousue, je me réjouis à l’idée de faire un nœud. Son nom est crié, son visage se refroidit tel l’air qui caresse nos peaux rosées. Il me tire le bras et me fait mal. Pas le temps pour la douleur, il me ramène à l’intérieur sans me demander nos avis. Des filles accourrent, trop tard. Les chéries devront attendre dans le froid.

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Ich_mag a écrit:

TOM : Alors même en sachant qui je suis tu ne veux pas de moi ?
MOI : C’est justement parce que je sais qui tu es que je ne veux pas de toi.

Il est troublé, ne sait plus quoi répondre. Bouche cousue, je me réjouis à l’idée de faire un nœud. Son nom est crié, son visage se refroidit tel l’air qui caresse nos peaux rosées. Il me tire le bras et me fait mal. Pas le temps pour la douleur, il me ramène à l’intérieur sans me demander nos avis. Des filles accourrent, trop tard. Les chéries devront attendre dans le froid.

Coucou toi ,
Alala , cest un vrai plaisir de se réveiller , de venir sur le fo' et de voir que tu as posté encore un autre écrit .
Voir que ton inspiration est là , que nos messages te donnent envie d'écrire , sa me donne envie de t'écrire des pages et des pages .
Mais je ne le ferai pas , je ne voudrais pas polluer ton topic avec mes messages qui ressemblent à des pavés ^^

Bon bref , parlons un peu du morceau de l'histoire que tu nous as posté .
Il était juste p.a.r.f.a.i.t
Oui , oui , parfait .
En particulier le passage que j'ai repris .Les quelques mots qu'ils ont échangés , des mots simples , des mots clairs , des mots à la Mag !
Mais des mots qui font que l'on arrive à se mettre à la place des personnages , des mots qui font que toutes les émotions que tu fait passer , et bien on les reçoit sans aucun problème.
Déjà , rien que la phrase de Mégane : "C'est justement parce que je sais qui tu es que je ne veux pas de toi " .
(L)
Sa peut paraitre bête mais cette phrase est très importante à mes yeux , parce que grâce à elle on la cerne bien .
Oui , c'est pas une fille comme les autres , le fait que se soit Tom Kaulitz ne change rien .Oui c'est LE guitariste que toutes les filles s'arrachent mais elle , elle s'en fiche du guitariste , qu'il soit connu .
Elle est réaliste , lucide ,différente et raisonnable , elle ne se laisse pas tomber dans ses bras comme toutes les autres .
Bon moi je le ressent comme ça , après tu ne seras peut être pas d'accord avec moi mais pour moi ,Mégane ressemble à ça .

Et puis là , je me rends compte que ce que j'aime dans tes écrits , c'est qu'il n'y a pas beaucoup de dialogue .Moi , sa me permet de ne pas me perdre .C'est pour ça aussi que tes histoires sont différentes .
Exit les dialogues qui font des kilomètres .

Bon pour finir , je suis contente de m'être réveillée avec un de tes écrit sous les yeux .Les étoiles se sont aussitôt emparées de mes yeux , le sourire est venu s'accrocher sur mes lèvres .

Je te donne tout mes sourires , toutes mes étoiles pour te montrer un minimum comme tes mots sont importants pour moi .
(L)

Je me sens nulle de faire des longs messages .
J'ai l'impression qu'il ne veulent rien dire à côté de ce que peuvent écrire les autres lectrices ...

Bref , c'est pas grave , tout ce que je te dis , c'est parce que j'ai besoin de te le dire, je ne peux pas m'en empêcher
(L)

Suite !

Voici pour vous. Le sourire aux lèvres.

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Son regard flamboyait, une lueur de lassitude flottait dans ses iris. Il regarda ses pieds d’un air blasé. Je fus surprise de sa réaction face à ces furies bien fournies par la nature. Lui, séducteur ambulant, courir pour leur échapper ? Connerie. Je le questionne à ce propos, par curiosité. Il me répond que ce n’est pas la première fois qu’il les voyait. Je comprends à présent, des grandes habituées de la cavale à la recherche de ce groupe. Des accros en fait. Je lève le regard pour me plonger dans le sien et il joue de ses yeux. Me fait un regard charmeur, un de ceux qui ferait fondre une glace durant un jour nuageux. Pas besoin de soleil. Pourtant, je ne sens pas mes jambes s’affaler ni mes joues rougir. Je n’ai que faire de ses yeux, j’ai menti. Il a une belle gueule il faut l’avouer.

MOI : Je rentre chez moi, tu vas devoir trouver une autre proie.
TOM : C’est toi qui le regretteras tu verras.

Il me sourit et je fais de même, non pas parce que je suis charmée, mais simplement parce que sa bêtise me fait rire. « Soit » fut le seul mot sortit de ma bouche en guise de réponse. En sortant, ces filles sont encore là impatientes de les voir franchir la porte. Elles me questionnent, forcément elles m’ont vu avec le guitariste. Je sens la jalousie s’emparer de leur corps. J’avais presque envie de les narguer. Presque. Je leur demande d’arrêter de les traquer. Ils ne sont pas du gibier. L’une d’entre elles pleure, elle est pathétique et je rigole devant son nez. Elle se vexe, normal. Une explication s’impose.

MOI : Vous savez pourquoi il est rentré si subitement ? Parce qu’il sait qui vous êtes et il est lassé de vous. Vous les voulez ? Comportez vous normalement, pas comme une bande d’hystériques. Ils vous apprécieront peut-être davantage ainsi.

Toc. Je souris et m’en vais. Elles aussi, elles m’accompagnent à quelques mètres derrière moi. Comme cinq filles ayant vu leur messie. J’étais ce messie. A croire que je leur avais révélé la recette miracle pour attirer un des Tokio Hotel dans leur lit. Ce qu’elles ne savaient pas, c’est qu’il n’en était rien. Arrivée chez moi, je me retourne et leur lance un « Bonne nuit les filles ». Gamines qu’elles sont. L’aînée doit effleurer les quinze ans. Effleurer est peut-être un grand mot. Frôler serait plus exact en fait.
Mon lit m’attend, ma couverture froide s’empare de moi et non l’inverse. Je n’ai plus de force, anéantie par les mouvements de foule du concert et mes jambes n’ont guère apprécié le fait que je sois allée danser après ça. Les bras de Morphée s’ouvrent et je les enlace.

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Ich_mag a écrit:

MOI : Vous savez pourquoi il est rentré si subitement ? Parce qu’il sait qui vous êtes et il est lassé de vous. Vous les voulez ? Comportez vous normalement, pas comme une bande d’hystériques. Ils vous apprécieront peut-être davantage ainsi.

Tu nous poste ton écrit avec le sourire aux lèvres , et moi c'est avec le sourire aux lèvres que je t'écris ce message.
Dès le matin , tu as le don pour me mettre de bonne humeur , tu as le don d'amener un rayon de soleil réchauffer mon coeur.
Plus le temps passe et moins je sais quoi te dire .
Mes mots de toute façon ne signifient rien à côté des tiens .Je n'arrive pas à trouver les mots exacts pour te faire comprendre ce que tu m'apporte en écrivant .
Mais en même temps , je ne peux pas me contenter d'un simple mot comme "suite" .
Ton histoire est différente ,unique et marquer seulement le mot "suite" sans aucun avis , c'est la considérer comme banale , c'est la regrouper avec toutes les autres histoires qui se ressemblent toutes à un moment ou à un autre .

Bon pour en revenir à l'histoire , juste cette phrase là que j'ai citer , je l'aime .Elle m'a fait sourire quand je l'ai vu .
C'est dit simplement , cruement mais c'est réaliste !
C'est ça que j'aime dans ton écriture , tout ce que tu nous raconte est vrai .On se dit que sa peut arriver , que ce n'est pas des "conneries" (dsl du mot )
Ton histoire , tes mots ne sont pas tirés par les cheveux et c'est sa qui fait toute la différence.Tu as du talent Mag , oui du talent pour nous faire croire que tout est réel , tu as du talent pour nous emmener voyager dans ton monde .
Ton talent dépose après chaque mot une poussière d'étoiles .Au fur et à mesure , elles viennent s'accrocher à mes yeux et ne s'échappent plus .

Rien que pour tout ça , tu as toute ma reconnaissance Mag
Ta droguée qui commence à ne plus savoir quoi dire ^^
(L)