[T]BaD G!r{ : Le Dawua Chez les Sœurs

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Chapitre 14 : Coupure



Les filles étaient en train de chercher des cachets qu’on avait pas encore essayé, moi j’était dans le grenier en train de chercher la vielle table de Ouija, que ma mère gardait dans un coffre. Lorsque subitement, la vielle ampoule du grenier s’éteignis. J’entendis alors un grand cris perçant raisonner dans toute la maison. Le cris se répercuta sous les combles, le déformant en une plainte on ne peut plus flipante. Je me rapprocha doucement de l’endroit où était censé se trouver l’échelle afin de redescendre et parcoura les marches à moitié assise, pour ne pas tomber. Je continua à tâtons jusqu’à la salle de bain de ma mère en appelant les filles. Mais elle ne répondait pas. Je vis par la fenêtre que la panne de courant était générale, même les réverbères de la rue étaient éteints. Je pris alors la lampe de poche qui était dans la table de nuit de ma mère, et poussa la porte de sa salle de bain, les filles ne répondant toujours pas. En ouvrant je vis que la clarté de la lune qui filtrait par la fenêtre, se reflétait sur une substance répandus sur l’évier. Je dirigea le faisceaux de ma lampe dessus, et me rendit compte que le liquide était rouge, rouge sang…


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WOUAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

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Je sursauta en me retournant, et vis Christ’ et Lus’ debout dans la baignoire, plié en deux.

Moi : Mais pu**** qu’es que vous avez foutu ! Vous m’avez trop fait flipper !
Elles eurent du mal à répondre, vu le cris qu'elles venaient d'émettre
Christ’ : Ah ! Ah ! T’aurais vu ta tête trop marrant !
Moi : C’est quoi ce truc dans l’évier ?
Lus’ : C’est Christ’, elle a sursauté quand y a eu la panne de courant et elle s’est blessé avec une lame de rasoir, c’est rien.
Moi : Oh mais vous êtes trop c*****


PAAAM


Elle s’arrêtèrent nette de rigoler, un énorme bruit, comme si quelqu’un essayait de défoncer une porte, venait d’en bas.

Christ’ : C’était quoi ça ?
Moi : Aucune idée
Lus’ : Si c’est pour te venger c’est n’importe quoi !
Moi : Mais je suis là, comment tu veux que je fasse le bruit ?


A la queue leu leu, on descendit les escalier, pour se retrouver face à la porte d’entrée. Un orage d’été grondait dehors, l’air était moite, et chaud, et la tension palpable. Prudemment, on avançât jusqu’au bord de la dernière marche. Des fenêtre était placé sur les côté de la porte, sur toute sa longueur, et nous pouvions voir des ombres se mouvoir derrière la porte. J’était la première, et Lus’ me donna un coup de coude pour me demander d’aller voir, aucune de nous n’osait parler, tétanisé par la peur. Je les interrogeais du regard, j’était moi aussi morte de trouille. Christ’ me susurra un « allez !» implorant. Je me retourna vers la porte, et posa alors mon pieds sur le sol du rez-de-chaussée. Sans la quitter des yeux, je fit les quelques mètres qui me séparait de la porte. Je m’avança près de la porte, et mis mon œil dans le petit trou qui permet de voir l’extérieur… Surprise, je laissais s’exprimer un cris étouffé.

Christ : Qui c’est ?
Lus’ : Lola vite dis nous !
Moi : Je vois pas bien, je vais sortir, attendez moi.

J’ouvris doucement la porte, et me faufila de manière à ce que les filles ne voient pas ce qu’il se passait sur le palier de ma maison.

Point de vue externe :

Lus’ et Christ’ attendait morte d’inquiétude, le retour de leur amie, au bout de longues minutes, elles entendirent un hurlement, et se précipitèrent dehors. A peine passé la porte, elle s’arrêtèrent, choqué par le spectacle qui s’offrait à elle…