[T] Je ne demande pas d'aide, accepte seulement la mienne.

Ouaaa à Londres la chance
Allez je vous poste la suite. Pas tellement longue.
Navrée.

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Que je réfléchisse, avec plaisir, mais réfléchir à quoi ? Ces paroles me troublaient. Je savais anticiper sur ses pensées, avant. Je me rendis compte que je ne savais plus le faire. Peur de faire de fausses conclusions. Il me fallait être seule et de tout façon, je l'étais. Voilà qui tombait bien. Je ne savais ni le jour où il partait ni à quelle heure. Je rentra chez moi, enfin à la chambre qui me servait de chez moi. J'avais reçu ma paye et je décida donc d'aller m'acheter des habits. Pour l'impressionner sûrement. Je descendis mes escaliers et me dirigea vers un petit magasin de vêtements pas bien cher. J'y trouva un pantalon slim noir et l'esseya. Je tourna la tête et vis un t-shirt bleu turquoise. Un de ces bleus qui nous rappellent qu'on ne regarde pas assez le ciel pour le contempler. Je m'acheta une paire de boucles d'oreilles turquoise qui s'assortait à merveille avec mon haut. Apres ca, je rentra et resta allongée dans mon lit, la musique me faisant tout oublier.

Le lendemain arriva plus vite que je ne le pensais. J'alla au travail comme toujours. Quand il fût finit d'enfila quelque chose à moi et alla chez Tom. Un reflexe. Je toqua à sa porte et il vint m'ouvrir.

TOM : Qu'est ce que tu fais là ?
MOI : Je viens t'écouter jouer à la guitare.
TOM : Qui te dit que j'allais en jouer ?
MOI : Moi. Cette fois c'est à ton tour de poser les questions apparemment.

Il ouvrit sa porte en grand et je me faufila à l'intérieur. Je fis comme si c'était chez moi et m'installa en tailleur sur le canapé.

TOM : Si j'ai pas envie de jouer.
MOI : Moi j'ai envie de t'entendre.
TOM : Et alors ?
MOI : Tom, s'il te plait.

Il me regarda, expira assez fort et alla chercher sa guitare. Il s'assit en face de moi sur sa table et commença à jouer Geh. Il savait mes goûts. Une larme vint s'écraser au coin de ma bouche. Il souria et cette fois, il chanta. Chose qu'il n'avait jusqu'à présent jamais fait. Il avait une voix grave, plus grave que quand il parlait. Sa voix me transperçait le coeur de douceur. Quand il ne chantait pas et qu'il s'improvisait un solo de guitare, il faisait des mimiques avec sa bouche. Ca me faisait sourire et je ne cessais de le contempler. Non pas que je lui portais un culte, mais j'admirais sa beauté et sa douceur. Quand il eut finit je ne m'essuya même pas la joue.

TOM : Tu vas pleurer à chaque fois ?
MOI : Je pense oui.

Il souria. Il ne se moquait pas de moi non, ca lui faisait plaisir au contraire. Son portable sonna et il décrocha. ll se décalla pour parler. Pendant qu'il marchait dans la pièce, je me leva pour observer les allentours. Je tomba sur son billet d'avion. Alors c'était vrai, sûr et certain. Je me pencha un peu et le pris dans ma main droite. Il partait demain à 10h15 du matin, forcément. Je gardais ces informations en tête sans rien dire. Je revins m'asseoir sur le canapé. Il raccrocha.

TOM : C'était mon frère.
MOI : Comment va-t-il ?
TOM : Bien et d'ailleurs il te passe le bonjour.
MOI : Tu lui repassera.
TOM : C'est déjà fait.
MOI : Parfait.
TOM : Je dois préparer mes affaires.
MOI : Je t'en prie.

Je ne bougeais pas, j'avais envie de le voir encore quelques minutes ou quelques heures avant qu'il ne décolle demain.

TOM : Tu restes là ?
MOI : Oui, enfin si ca te dérange pas.
TOM : Du tout.
MOI : Merci.

Je le regardais faire et l'aider à plier ses affaires.

MOI : Qui va reprendre ton appart ?
TOM : J'ai trouvé quelqu'un, un homme avec sa femme.
MOI : Ah c'est bien.

Il me fit un clin d'oeil en guise de réponse et je lui souriais. Je lui demanda une feuille de papier et un stylo, ce qu'il me donna. Je débuta ma lettre par trois mots qui donnaient le thème de cette lettre. Il essayait d'entrevoir certains mots mais dès qu'il s'approchait je cachait la feuille, lui faisant un sourire pour qu'il parte. Je jouais avec le stylo quand je réfléchissais aux mots que j'allais écrire. J'essayais de trouver les bons mots. Pas trop simples, pas trop compliqués. Juste les bons. Cette lettre évidemment lui était destinée, et lui même le savait. Quand j'eus finit de l'écrire, je la mis dans la poche de mon jean pour m'assurer qu'il ne s'en emparerait pas. On poursuivit la soirée qui se passa très bien. Je me rendais de plus en plus compte qu'on s'énervait contre l'autre à longueur de temps et que quelques secondes après ca, tout redevenait comme s'il ne s'était rien passé. Je lui dis qu'il fallait que je parte, son portable affichait déjà 22h30. Je l'embrassa sur la joue et ouvris la porte. Je tourna une dernière fois la tête, il était debout sa gratte dans sa main gauche, son médiator dans l'autre. Le dernier mots que je lui glissa fut " merci ".

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Une suite pour today : )

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Je rentra chez moi saine et sauve, ne sait on jamais. Je me déshabilla et pris un bain chaud. La salle de bain était devenu sauna tellement la température était élevée. L'eau se condensait sur les miroirs et ruiselait jusqu'à atteindre le bord de l'étagère située en bas de la glace. Après mettre réchauffée le corps, je n'enfila qu'un boxer et alla sous la couette blanche qui enveloppait mon lit.

( Point de vue de Tom )
Elle ouvrit la porte et me dit timidement merci. Merci pour quoi ? Je n'en savais rien moi même, mais ca me plaisait. Je regarda ma table et vis la lettre qu'elle m'avait laissé. Elle m'avait fait promettre de ne pas l'ouvrir avant demain quand je serais dans l'avion, loin du sol. Pourtant j'avais envie de la lire et maintenant. Je ne fis rien pour respecter sa demande. Les minutes passaient et je finissais de rembaler toutes mes affaires. Tout était prévu : tous mes meubles allaient être revendus à des associations. J'ai bien assez d'argent pour en acheter d'autres et puis ca sera pour la bonne cause. La nuit était tombée depuis un moment déjà, je décida de me coucher.

Le lendemain arriva et les choses se précipitèrent. Je m'étais levé en retard, comme toujours. Je partis vite en direction de l'aéroport. J'arriva à temps, heureusement. Tout alla très vite et voilà que je me retrouvais dans l'avion. Après cinq bonnes minutes de vol, je glissa ma main dans la poche de mon baggy et en sortis la lettre. C'était une simple feuille, celle que je lui avais donné hier, pliée en quatre. Dessus était dessiné deux points dessus un arc qui formaient un visage souriant. A mon tour je souriais, comme un niais devant ce bout de papier. Je déplia la feuille, m'assis confortablement dans mon fauteuil et commença à lire. Elle était longue, tant mieux, j'aurais un peu plus de souvenirs d'elle.

" Je ne commencerais pas ma lettre par Cher Tom, beaucoup trop conventionnel à mon goût.

Je pensais la commencer par trois autres mots, ce sera pour une prochaine fois sans doute. Tu devras te contenter de cette unique phrase comme introduction.

Je me souviens notre rencontre. Quelle nuit étrange tout de même. Deux inconnus autant déprimés l'un que l'autre, l'autre tout de même plus conscient que l'un. Je ne sais pas trop par où commencer alors je poursuis, tu verras bien si ca s'enchaine avec le reste. Au pire tu remettras les phrases dans l'ordre pour t'y retrouver.

Tom, tu t'es confié à moi. Ca n'a pas était facile de te faire parler je l'avoue mais tu l'as quand même fait, et pour ca je te dis merci. En te cotoyant, j'ai compris que je ne voulais pas devenir comme ça, pas comme toi. Du moins, plus l'être. Je ne voulais plus être seule et triste, alors j'ai commencé à venir te voir et toi de même. Je pense que nous étions dans la même quête enfait. La quête de l'amitié. Amitié : mélange entre ami et pitié. Nous définirons ce mot ainsi car en ayant eut pitié de toi, un ami est entré dans ma vie. Le seul depuis longtemps. Pour ca aussi, je te dis merci.

Ces cours de guitare seront sûrement les seuls que j'aurais de ma vie, et je pense qu'aucun autre cours n'auraient pû me rendre plus heureuse. Tu joues bien, très bien. Que de compliments me diras tu. Profites en, ils seront les seuls que je te feraient. Revenons-en à la guitare. Ce morceau, Geh. Je regrette de ne pas avoir eût l'occasion de l'entendre joué par votre ancien groupe. Dans une autre vie en compagnie de mes parents et mon frère, avec la permission du tout puissant qu'on puisse un peu déranger son silence mortuaire par de la musique douce. Mais il acceptera j'en suis sûre, je lui demanderais cette permission dans peu de temps de toute façon. Je vois déjà ton sourire s'estomper pour laisser place à un visage blanc de peur. Rassures toi, je ne compte pas mourir. Pas maintenant.

Continuons. Voici venu le moment où nous sommes partis à Hamburg. Ce moment où tu as dû me haïr et je te comprends. Je t'ai poussé dans les bras de quelqu'un qui te détestait, sans te demander ton avis, bien que tu voulais lui reparler. Heureusement tout s'est bien finit. Je n'utiliserai bien évidemment pas l'expression " tout est bien qui finit bien " car cette histoire a commencé plus bas que terre alors le " tout est bien " est un peu mensonger je trouve. Je me rappelle encore la douceur de ta main quand tu m'as frappé. Je ne t'en veux pas tu sais, crois moi.

Cette lettre se fait longue mais je continue. J'ai prévu de tout te dire, alors je ne m'arrêterais pas avant d'avoir finit. Vient le moment où je suis rentré sans toi dans cette ville où nous nous sommes connus. La première semaine, j'ai espéré que tu reviennes, la deuxième j'espérais encore, la troisième le doute commençait à s'instaler et la quatrième à signer mon arrêt de mort, ou presque. Tu m'avais demandé de rester à Hamburg et j'ai refusé. Je n'aime pas aller chez des personnes, les obligeant à m'accepter. Tu as été le seul et tu seras le seul. Pardon de n'être pas restée. Je l'ai regretté quand je ne t'ai pas vu revenir. Au bout de sept semaines tu es enfin revenu. Sept semaines qui m'ont parut longues. Je pensais que tu m'avais oublié, rayé de ton existence car je n'ai eu aucune nouvelles. Mais quand Juli, la réceptionniste, m'a anoncé que tu été venu pour me voir, mon sourire a repris le dessus. Je ne s'aurais pas t'expliquer pourquoi, c'est ainsi voilà tout. Alors pour avoir voulu me voir, je te dis merci.
Un passage que je n'aime pas, mais qu'il va faloir que j'écrive car il est le passage qui m'a tout fait comprendre. Tu m'as annoncé que tu avais quelqu'un et je t'ai dis que j'étais contente pour toi. C'était faux. J'ai menti, comme toujours. Je t'ai haïs à ce moment précis, et elle aussi sans même la connaitre. Tu en as donc conclue que j'étais jalouse. Tu le sais mais je te le dis quand même. Tu avais raison. Ce n'est pas dans mon tempérament de l'être mais que veux tu, aucune explication plosible ne me parvient. Puis tu m'as dit de réfléchir et après avoir réfléchit, je comprendrais. J'ai réfléchis, je ne comprends pas. Je suis idiote, niaise et naïve, tout ça je le sais. J'espère qu'un jour je comprendrais. Un jour.

Enfin ce soir. Quand j'ai vu ton billet d'avion sur la table je n'avais qu'une envie, le déchirer mais je n'ai rien fait de tout cela par respect pour toi. Je me suis contentée de retenir l'heure à laquelle tu partais pour sans doute pleurer à ce moment. Oui c'est ca, pleurer à ce moment, ca me fera le plus grand bien.

Je n'ai pas finit tu t'en doutes bien. Je t'ai souvent dit que tu étais pitoyable et ca je ne le regrette pas car tu l'étais Tom. Tu étais pitoyable comme personne ne pouvait l'être. Seulement tu as changé et tu ne l'es plus. J'espère qu'en lisant cette lettre tu ne m'en voudras pas trop de ne t'avoir rien dit. Tu le savais de toute façon, ne me dis pas le contraire. Tu savais que je ne t'étais pas indifférente et tu n'as rien fait pour faire avancer les choses. Mes sentiments à ton égard sont plus forts que l'amitié, maheureusement. Je ne me serais jamais permise de t'approcher plus que ce que je suis approchée, de peur de ta réaction. Et puis j'étais là dans le seul but de t'aider, rien de plus. Du moins, c'est ce que je me disais.
Maintenant tu t'envoles pour les retrouver et j'en suis tellement heureuse. Vous avez reformés votre groupe et vous vous reparlez. Ma mission est achevée. Je ne t'oublierai pas Tom. Aussi pathétique que tu étais et aussi méchante que je l'étais, ce fut une belle rencontre qui m'a permise d'évoluer. Alors pour tout ca, je te le redis. Merci. "

Sa lettre était finit. Encore une fois elle finissait sur ce mot : merci.

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La suite.
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( Toujours du point de vue de Tom )
Pourquoi ne m'avait-elle rien dit ? Quoique je le savais, enfait. Ce qu'elle ne sait pas c'est que moi non plus je n'osais pas l'approcher, que j'avais peur de sa réaction, que j'aurais voulu tenter mais que ca m'était impossible. Maintenant je me trouvais dans cet avion à des kilomètres d'elle, en partance pour rejoindre mon frère, Georg et Gustav, mes amis. Ce qu'elle ne sait pas non plus c'est qu'aucune fille ne m'attend là-bas. Si elle avait suffisament réfléchit, elle aurait compris que je voulais voir sa réaction, rien d'autre. Je m'en voulais de ne pas lui avoir dit clairement. J'essayais de ne plus penser au passé, mais c'était difficile. Les heures passèrent et j'arrivais à Hamburg. Mon frère vint me chercher.

BILL : Enfin.
TOM : Oui.

Voila à quoi se résuma notre conversation avant de monter dans sa voiture.

BILL : Qu'est ce qu'il y a Tom ?
TOM : Rien de grave.
BILL : Je vais te croire.

Je ne disais rien mais je savais qu'il savait. On était jumeau. On arriva chez lui et je déposa mes affaires. Je lui tendis la lettre et il s'asseya pour la lire. Je monta à l'étage pour placer mes affaires quand Bill m'appela.

TOM : Quoi ?
BILL : J'ai une idée.
TOM : De quoi tu parles ?
BILL : Viens t'asseoir que je t'explique.
TOM : J'ai pas le moral pour.
BILL : Bon ben j'ai qu'à appeler à son hôtel alors.
TOM : Hors de question ! T'es fou ou quoi ?

Il me souria et je compris que je n'avais pas d'autre choix que de m'asseoir et l'écouter, ce que je fis.

( Retour au point de vue d'Agathe )
Les heures passaient et la lassitude ne faisait qu'augmenter. Je remonta dans ma chambre. Je m'allongea en espérant que le temps passe plus vite, mais il n'en fût rien. On aurait pû croire que quelqu'un s'amusait à passer cette scène au ralentit tellement les aiguilles bougeaient lentement. Je m'endormis et la sonnerie du téléphone me réveilla. J'avais dormi une heure et quart. Je décrocha. C'était Tom. Je le reconnu rien qu'en entendant " c'est moi ".

MOI : Tu es bien arrivé ?
TOM : Oui. Mais je t'appelle pas pour ca.
MOI : Pour quoi alors ?
TOM : Je voulais te dire que tu es naïve.
MOI : Tu ne m'apprends rien.

C'est comme si je l'entendais sourire. Il posa le combiné, à ce qu'il me dit.

TOM : Ecoutes.
MOI : Quoi donc ?
TOM : Tais toi et écoutes.

A ce moment là, le son de cette chanson fit surface. C'était Geh. Un autre instrument accompagné sa guitare, c'était une basse, oui c'était ca. C'est alors que j'entendis le son de baguettes se taper entre elles comme pour marquer un tempo et la voix d'une autre personne que Tom vint couvrir le tout. Elle était plus aigüe, sans aucun doute c'était Bill qui chantait. Une larme coula sur ma joue, comme toujours à l'entente de cette musique. Il avait pris la peine de m'appeler pour me faire écouter la chanson jouée par le groupe entier, c'était adorable, touchant. Quand ils eûrent finit, il reprit le combiné.

TOM : Tu l'as enfin entendu.
MOI : Tom pourquoi tu fais ça ?
TOM : Ca quoi ?
MOI : Tu m'appelles pour me faire écouter Geh jouée par votre groupe, alors que ..
TOM : Finis ta phrase.
MOI : Alors que rien. Oublies moi Tom.

Je raccrocha sans même avoir pris la peine de lui dire au revoir mais il le fallait. Il fallait que je l'oublie, et lui de même. Il avait sa copine ! Pourquoi est ce qu'il me faisait ca ? Si son but était de me rendre triste, il avait réussi. Il n'avait sans doute pas compris pourquoi je lui avais raccroché au nez, tanpis pour lui. Le téléphone sonna de nouveau, c'était probablement lui. Je décidais quand même de répondre.

MOI : Qu'est ce que tu veux ?
?? : C'est pas Tom mais Bill.
MOI : Ah pardon.
BILL : Ce n'était pas une idée de Tom mais de moi.
MOI : De me faire écouter Geh ?
BILL : Oui. Dans ta lettre tu as marqué que ..
MOI : Parce que tu l'a lu ?
BILL : Oui.
MOI : Je savais pas qu'elle ferait le tour ..
BILL : Ecoutes de toute façon je l'ai lu. Et j'ai vu que tu aurais voulu l'entendre jouée par tout le groupe, alors voila. Pourquoi tu as raccroché comme ca ?
MOI : Si tu as lu la lettre tu as dû comprendre que je .. enfin je ..
BILL : Que tu l'aimes.
MOI : Mmh. Et là il m'appelle. Il faut que je l'oublie et on dirait que lui ne veut pas que je l'oublie. Il a sa copine, qu'il me laisse.
BILL : Quelle copine ?
MOI : Ne me prends pas pour une imbécile.
BILL : Je ne le fais pas. Tom n'est pas avec moi, il est sortit mais je peux te dire qu'il n'a aucune copine !
MOI : Pourquoi est ce qu'il m'a dit qu'il .. mon Dieu j'ai compris.
BILL : Je suis censé suivre tout seul ?

Je lui expliqua alors la discution que nous avions eût Tom et moi. Ca y est, grâce à son frère j'avais enfin compris quand il me demandait de réfléchir un peu.

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