[OS] Quand les mots comblent la distance... (Recueil)

Arrête, sucette ça me fait trop penser à des choses perverses... mdr.

Bref, j'aviserai ^^

Bizzz
Milie

Putin c'est génia j'en suis bouche bés !!
j'aime !!!
vivement le prochain
hein ! milie lol
jv'adOore

Vous savez que je suis conne, mais alors d'une connerie inimaginable ?????????? ça fait des mois que je cherche comment faire des spoilers, histoire d'enrichir un peu ma culture informatique... et je trouvais pas le code, je le trouvais pas... Alors qu'il était JUSTE SOUS MON NEZ, entre barré et "Héberger une image" pas douée la fille

Brefouille, après cette parenthèse, passons à mon OS (je vous rassure, il n'y a pas de spoilers dedans XD.

Pluie + deuil - parapluie = amour ?

Pour une fois, Bill ne s'était pas maquillé. Cela n'aurait pas été bien vu étant donné les circonstances, et puis de toute façon, il avait les yeux tellement bouffis par les larmes que le maquillage n'y changerait pas grand chose.

Il sortit de sa chambre, et entra dans le salon. Tom n'avait pas vraiment meilleure mine, pas plus que sa mère, dont il voyait les cernes s'aggrandir depuis trois jours. Elle cachait son chagrin du mieux qu'elle le pouvait, mais Bill savait bien qu'il était et resterait là. C'était son frère cadet, son confident, son préféré avant que Bill et Tom ne prennent vie dans son ventre rond. Comment pourrait-elle ne pas déplorer sa mort?

Bill n'avait pas compris, quand sa mère l'avait appellé au beau milieu de la tournée, sanglotant dans le combiné. Il n'aurait jamais pu imaginer que son jeune oncle les quitterait à 30 ans, arrachés à sa famille à cause d'une voiture qui s'était violemment encastrée dans la sienne.

Il ne comprenait toujours pas, d'ailleurs, pourquoi le destin s'était acharné sur son oncle et pas sur un autre. C'était une réaction d'égoïste, il en était conscient, mais il savait aussi que toute sa famille partageait cet égoïsme. Et c'était normal.

Il secoua la tête. Il fallait qu'il arrête de penser. Si pour une fois, sa tête restait vide, cela lui ferait un grand bien.
- On part quand? arriva-t-il à demander d'une voix rauque.
- Dans une demi-heure, fit Tom.
Il y eut un bref silence.
- Vous repartez en tournée le soir-même? fit Simone, la voix lasse.
- Non. David nous as laissé un jour de plus, parce qu'il pense que ça nous fera du bien de rester en famille. On rattrappera les concerts annulés à la fin de la tournée.
Elle hocha la tête.

Un silence peiné s'installa de nouveau entre eux.

[...]

Il y avait une bonne cinquantaine de personnes au cimetière, toutes formant un cercle autour du cercueil noir. Une rose rouge était posée sur ce dernier. Elle contrastait fortement avec le reste du lieu, où tout était noir, terne, triste. Même le temps était gris.

En parlant du temps, la pluie se mit à tomber drue, forçant les gens à ouvrir leurs parapluies -noirs, évidemment-. Saleté de temps, pensa Bill.

Il n'écouta pas les mots du prêtre, pas plus qu'il ne semblait connecté à la réalité. Il était ailleurs. Dans un endroit qu'il imaginait avec son oncle bien vivant, aux côtés de sa femme, de sa fille, et du reste de la famille.

Son regard errait entre les personnes vêtues de noir, et les parapluies cachant complétement le ciel gris, comme la carapace d'une tortue.

C'est alors qu'il la vit. Cette jeune fille qui n'avait pas pris la peine d'ouvrir son parapluie -qui n'en avait pas, d'ailleurs- et qui laissait la pluie tomber sur ses mèches châtain, et sur ses vêtements. Elle paraissait malheureuse, comme tous, mais à la différence des autres, elle souriait. Et Bill s'accrochait à ce sourire dont il ne comprenait pas le sens, mais qui soulageait étrangement sa peine.

Elle remarqua qu'il la fixait, alors elle leva ses beaux yeux bleu-gris vers lui. Dans ces yeux doux, Bill vit une lueur, qu'il ne comprenait pas plus que le sourire de la jeune fille, mais qui lui redonnait des forces. Ses yeux pétillaient, encadrés par ses cheveux trempés. Il détourna le regard, ne pouvant plus supporter ce regard si porteur d'espoir.

Le prêtre finit de parler, et cela sembla être une délivrance pour le beau brun.

Le cercueil fut mis en terre, et chaque personne y mit une poignée de terre symbolique avant qu'il ne soit recouvert totalement. Bill voyait des larmes partout, et il luttait pour ne pas laisser remonter les siennes. Il voulait que son oncle garde de lui l'image d'un jeune garçon fort.

[...]

Les condoléances. Chacun passait devant la femme et la fille du mort, pour tenter de leur expliquer à quel point cette perte les touchait. Bill trouvait ça horrible, tant pour les gens que pour la famille, qui devait garder en plus de leur douleur celle des autres.

Il serra les mains délicates de sa tante, qui avait la trentaine bien avancée.
- T'as pas besoin de mes mots pour comprendre ce que je ressens, n'est-ce pas tatie?
Elle hocha la tête, les larmes aux yeux. Il la serra dans ses bras.
- Tiens bon Tatie. On sera là.

Il lança ensuite un regard à sa cousine, qui avait deux ans de moins que lui (ses parents l'avaient eue alors qu'ils étaient très jeunes). Elle pleurait dans les bras de la jeune fille au regard et au sourire si envoûtants.

La jeune fille regarda Bill, puis poussa doucement Adeline dans ses bras.
- Tu as plus besoin de lui que de moi je pense.
Bill ne pensait pas qu'Adeline avait entendu. Elle se serra néanmoins contre lui, et pleura sur son épaule. Il lui caressa tendrement les cheveux, et lui murmura des paroles réconfortantes à l'oreille, le genre de paroles que seuls les cousins se disaient entre eux.

Ils restèrent un long moment comme ça, puis Adeline se détacha finalement de lui.
- Merci Bill.
Il lui caressa la joue en faisant un petit sourire, puis s'éloigna, après lui avoir dit qu'elle pouvait l'appeler quand ça n'irait pas, même si c'était au beau milieu de la nuit.

Il chercha du regard la jeune fille inconnue. Elle était revenue à la tombe, et la contemplait gravement. Il s'approcha d'elle.
- Je ne vous ai jamais vu, dit-il finalement. Vous êtes une parente lointaine?
- Non. Juste la correspondante d'Adeline depuis des années.
Elle avait un accent français saisissant.
- Je m'appelle Estelle, continua-t-elle.
- Bill.
- Je sais. Même sans maquillage, on te reconnaît.

Il resta interdit un instant. Une fan qui ne lui sautait pas dessus, c'était une première. Il lui tendit son parapluie, tout en répétant dans sa tête les syllabes de son nom qu'il trouvait si mélodieux.
- Tu vas attrapper froid à rester ainsi sous la pluie glaciale, Estelle.
Elle refusa gentiment. Il insista. Alors, elle se mit sous le parapluie. Bill sentit la pluie tomber sur lui, mais elle ne le gênait plus.
- Tu restes chez Adeline ce soir? demanda-t-il.
- Non. J'ai préféré dormir à l'hôtel, pour vous laisser en famille. Je repars demain. D'ailleurs, je vais devoir y aller, il faut que je prépare ma valise.
- Je te raccompagne.
- Si tu veux.
Elle fit ses adieux à Adeline et à sa mère, puis ils sortirent du cimetière.

[...]

- Merci de m'avoir raccompagnée, dit-elle alors qu'elle se trouvait devant la porte de l'hôtel.
- De rien.
- On se reverra peut-être un de ces jours...
- Qui sait...
- En tout cas, j'ai été très heureuse de te rencontrer, Bill. Je parle de Bill, hein, le vrai, celui qui vit sa vie en essayant de rester normal, et pas de Bill Kaulitz le chanteur d'un groupe de rock que tout le monde connaît...
Il sourit faiblement.
- C'était un plaisir pour moi aussi.
Elle lui fit la bise, puis rentra dans l'immeuble. Bill avait l'impression de sentir encore ses lèvres fruitées sur sa peau lorsqu'il retourna chez sa tante.

[...]

Il n'arrivait pas à trouver le sommeil. Il ne pouvait pas dormir, tout simplement, il avait trop mal. Il se leva finalement, comme un somnanbule, et sortit de la maison. Il avait besoin de marcher, à une heure du matin, et alors? Il n'avait rien trouvé de mieux pour se calmer.

Ses pas, inconsciemment, l'avaient menés devant l'hôtel d'Estelle. Il ne comprit pas non plus comment il s'était retrouvé devant une chambre d'hôtel, mais il savait, il sentait que c'était la sienne.

Il toqua timidement à la porte. Elle ouvrit quelques minutes plus tard, les yeux rougis.
- Bill? Qu'est-ce que tu fais là?
- Je peux entrer?
Elle lui laissa la place.

Il soupira, puis la regarda dans les yeux.
- Pourquoi tu souriais à l'enterrement? Et pourquoi tes yeux avaient cette étincelle indéfinissable qui m'allégeait ma peine?
Il avait l'air troublé, et il l'était. Elle fit un petit sourire, avant de lui répondre.
- Je me disais que ton oncle, il était dans un monde meilleur, et qu'il nous attendait tous là-haut, en train de préparer des crêpes comme à son habitude. Je me disais aussi qu'il ne voulait pas qu'on soit tristes, parce que la mort, c'est qu'une étape qu'on doit tous franchir...

Bill fondit en larmes. Estelle le serra dans ses bras. Il pleura longtemps. Longtemps. Et quand il se calma, il la regarda à nouveau dans les yeux puis l'embrassa, sans comprendre non plus ce qui l'avait poussé à agir, lui d'habitude si farouche. Estelle, elle, avait compris qu'il avait besoin d'affection, de contact, d'amour. Et elle aussi en avait besoin, malgré ce qu'elle faisait paraître. C'est pourquoi elle ne le repoussa pas.

Ils passèrent une nuit pleine de tendresse et de douceur, bien que teintée de tristesse. Ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre, épuisés autant par leur nuit que par leur chagrin, et ne se réveillèrent que lorsque le réveil d'Estelle sonna.

Alors qu'elle tentait de sortir du lit, il la retint doucement. Elle le regarda, les yeux emplis de tristesse.
- Bill, il faut que j'y aille... Je dois retourner chez moi.
- En as-tu vraiment envie?
Elle ne répondit pas. Il plongea ses yeux chocolat dans les siens, si mystérieux.
- Non, tu n'en as pas envie. Reste, s'il-te-plait. J'ai besoin de toi. Mon coeur a besoin de toi. Je comprends plus rien depuis que mon oncle est mort, mais je sais que si tu pars, je vais dépérir. S'il-te-plait, ne laisse pas cette nuit rester unique par ton départ. Je ne sais pas si on peut parler déjà d'amour, sûrement pas, mais j'ai mortellement besoin de ta voix, j'ai besoin de ton regard, j'ai besoin de tes courbes, j'ai besoin de ton coeur qui bat contre le mien. Aie pitié du pauvre homme dépourvu de pensées rationnelles qui se trouve devant toi. Aie pitié, et appaise-le comme tu as su si bien le faire cette nuit.

Elle cessa de penser à se défaire de son emprise.
- Tu as parlé d'amour, Bill? Tu m'aimes donc?
Il rougit discrètement.
- Je te l'ai dit, je ne sais pas si on peut parler d'amour. Mais je ressens quelque chose de très fort pour toi, c'est certain, et je ne veux pas que tu t'en ailles...
Elle se remit sous les draps, s'appuya contre son torse et lui embrassa le bout du nez.
- ça veut dire quoi ça?
- ça veut dire "soyons fous, osons".
Il sourit, et s'empara de ses lèvres fraiches.


FIN
__________________
Je sais Stern, j'ai changé toute l'histoire XD tu m'en veux?

Bizzzzzzz
Milie

OH putain de bordel de chiotte !
Bien sûr que non !
Et je sais que ce sujet te tiens à coeur =)
Félicitations d'avoir replongé dans tes souvenirs <3 T'es courageuse ma Docki.

si j'ai attrapé un rhume à refuser son parapluie

sauf que je suis pas si philosphe que ça x] tu m'honores.
j'ai adoooooooooooooré cet OS =D

J'ai les yeux bleus/gris ? Bleu c'est ma fierté x)
mais c'est pas graaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaff
c'était trop beau ooooooooooooooh <3

*copié/collé*

pour sucette, t'as qu'à faire la suite, ça marchera t'sey


jeux thèmes <3

putin c'est magnifique
j'en suis encore bouche bés !!
c'est un de tes meilleur !!
enfin tout se que tu fait c'est magnifique !!
<3

Une sucette ? Aïe...

Les garçons sortaient de leur salle d'échauffement. D'ici trois heures, ils seraient devant les fans déchaînés afin de partager avec eux leur musique, comme tous les soirs depuis trois mois.

Trois mois, cela faisait trois mois qu'ils n'avaient plus vu leurs familles. Et cela durerait encore trois bons mois.

Tom soupira, et s'affaissa dans un des fauteuils de leur loge. Il ferma les yeux un moment, le temps de se remettre les idées en place.

Lorsqu'il les rouvrit, Bill chantonnait. Georg lisait, et Gustav écoutait de la musique avec son énorme casque qui lui enserrait la tête. Comme il s'ennuyait, il prit son téléphone, et tapa un numéro bien précis. Leur parler lui ferait du bien.

Une sonnerie, puis deux. A la troisième, une fois féminine décrocha.
- Hallo?
- C'est moi.
- Oh, bonjour Tom. ça fait une semaine, tu sais?
- Je sais. Pardon. Je n'ai...
- ... pas eu le temps, je m'en doute.
- Comment vas-tu, ma chérie? demanda-t-il, se sentant un peu coupable.
- ça peut aller. Je me lève toutes les nuits pour aller gerber, et le médecin m'a forcé à me reposer parce qu'il me trouve trop mince pour une femme enceinte de sept mois, mais en dehors de ça, ça va. Ta fille sautille autour du téléphone pour te parler, je te la passe.
- Ok, je t'aime.
- Moi aussi.
- hallo paaapa ?
Il sourit en reconnaissant la voix de sa gamine, son premier enfant, celle qu'il avait faite avec celle qu'il aime un soir où ils s'étaient aimés plus que les autres nuits réunies.
- Bonjour ma puce. Comment ça va?
- Trèèès bien. Eh papa, il faut dire à maman d'arrêter de manger autant, elle a un gros ventre maintenant...
Il sourit.
- Mais c'est normal, elle est en train de te préparer un petit frère...
- Un petit frère? Mais je croyais que c'était la cigogne qui apportait les petits frères et soeurs !
- Et bien la cigogne lui a apporté le bébé, et en attendant il se repose bien au chaud dans son ventre avant d'être prêt à vivre avec nous.
- Mais... comment il a fait pour rentrer? Je comprends pas...
Il se retint d'éclater de rire.
- Et bien je t'expliquerai ça un jour, quand tu seras plus grande. C'est pas très compliqué.
Elle n'insista pas.
- Au fait ma petite princesse, ce soir je vais parler au père Noël. Il aimerait bien savoir ce que tu veux pour Noël.
- Tu seras là alors pour Noël? demanda la petite, soudain enthousiaste.
Il grimaça.
- Euh non ma puce, ça ne sera pas possible.
- Pourquoi ???
- Parce que je travaille, je serai encore en tournée le jour de Noël.
- Oh...
Il la sentait très triste, et ça lui faisait mal.
- Je suis désolé princesse.
- C'est pas grave. Bon, et bien tu diras au père Noël que je veux une sucette pour Noël.
- Une sucette? Tu sais qu'il peut t'offrir des cadeaux beaucoup plus jolis?
- Oui, je sais. Mais les cadeaux plus jolis, j'en veux pas... C'est mon papa que je voulais pour moi toute seule à Noël.
Il se sentit mal tout d'un coup. Très mal.
- Ma puce, tu sais que ce n'est pas possible...
- Oui, je sais. Et c'est pour ça que je demande juste une sucette au Père Noël.
Il sourit tristement.
- Alors je vais lui dire que tu veux une sucette. Et je vais lui demander s'il ne peut pas faire quelque chose pour que ton papa soit là pour toi à Noël.
- Il ne pourra rien faire, je le sais déjà. Mais essaie quand même, on ne sait jamais papa.
Il entendit des voix.
- Maman m'a appelée, on va goûter. Je dois te laisser. Gros bisous papa, je t'aime !
- Moi aussi je t'aime ma petite princesse.
Il raccrocha, le coeur lourd.

- Qu'est-ce qu'elle a dit, ma petite nièce? lui demanda finalement Bill, voyant que son frère n'allait pas bien.
- Qu'elle voulait juste une sucette à Noël, parce que son papa ne serait pas là pour la voir déballer ses cadeaux.
- Tom, tu sais que tu n'y peux rien, si tu es en tournée...
- Je sais, dit-il d'une voix éteinte. Mais Amandine n'a pas tort, je ne suis jamais là. Je n'étais pas là pour son anniversaire, je ne serai pas là pour Noël... Je ne serai même pas là pour la naissance de son petit frère ! Je suis un mauvais père, et un mauvais mari...
Georg posa son livre.
- Dis pas de conneries Tom, fit-il. T'es un bon père, seulement ton statut de guitariste du groupe t'oblige à t'éloigner souvent de ta petite famille, comme nous trois.
Tom baissa les yeux.
- Elles me manquent.
- Je te rassure, ma chère et tendre et mes fils me manquent aussi, dit Gustav.
- Pareil pour moi, continua Georg.
- De même, reprit Bill.
Tom ne répondit rien. Gustav s'assit à côté de lui.
- Ecoute Tom, on va faire le forcing pour que David nous accorde notre jour de Noël... Comme ça, tu pourras voir ta famille au milieu de la tournée, et nous la nôtre.
Il hocha la tête. Oui, ça semblait être la meilleure chose à faire.

Il tourna sa tête vers la fenêtre. La neige tombait dehors, et les fans les attendaient.

Avant de rentrer sur scène, Tom se dit qu'il fallait absolument qu'il trouve une sucette gigantesque, comme celles qu'on trouve parfois dans les fêtes forraines et qu'on n'arrive pas à mettre totalement en bouche. Comme ça, même s'ils n'arrivaient pas à obtenir un jour de congé, il pourrait offrir à sa fille un cadeau qui lui ferait tout de même très plaisir, et qu'elle pourrait classer parmi les cadeaux "jolis".

___________________________
Prochain mot : tube de dentifrice (Yeah, vive la sadicité Emilienne XD)

Ma Perv'EZ, comment vas-tu t'en sortir avec ça??? mdr

...

euh...

...

Merde, comment je vais m'en sortir moi aussi? ARGH, pause, on change !!!!!!!!!!!!!!! *Pause refusée, le mot a déjà été enregistré* MERDEUUUUUUUUUHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!

Bon bah...on va crever Estelle XD

Bizzzzz
Milie

- Oui, je sais. Mais les cadeaux plus jolis, j'en veux pas... C'est mon papa que je voulais pour moi toute seule à Noël.

Putain rien que ça ça me tue --'

Pour sucette j'ai une idée, et dentifrice oooooooooh au contraire, je suis trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès inspirée.
Ne parlons pas de perversité, vous voulez bien x]


Maintenant ma gueule, je retourne à mon article de journal et je ne reviendrai que quand j'aurai fini.

Vos OS étaient tout simplement magnifiques...

Encore.

EsTHelle a écrit:

OH putain de bordel de chiotte !
Bien sûr que non !
Et je sais que ce sujet te tiens à coeur =)
Félicitations d'avoir replongé dans tes souvenirs <3 T'es courageuse ma Docki.

Toute petite citation que j'avais envie d'éclaircir. J'ai pas vraiment replongé dans mes souvenirs, parce qu'il n'y a pas eu d'enterrement pour Flavien. Il a uniquement été incinéré.

Mais je me suis aidée, si l'on peut dire, d'un enterrement auquel j'ai assisté quand j'avais une douzaine d'années. Je ne connaissais pas la femme décédée, mais je connaissais ses enfants, qui vivaient avec leur père. Donc voilà, quand la maman est morte, j'y suis allée, et la tristesse de tous ceux qui la connaissaient m'a touché énormément, jusqu'à me donner les larmes aux yeux alors que je ne connaissais pas cette pauvre dame. J'ai depuis gardé les souvenirs de cet enterrement. La rose rouge, la terre déposée par les gens, un ami qui soutenait l'aînée des enfants, tout ça ça s'est passé à cet enterrement, je n'ai fait que le retranscrire.

Mais dans ce sens, t'as quand même raison, j'ai replongé dans mes souvenirs, même s'ils étaient moins tristes quand même parce que je n'étais pas directement touchée.

Brefouille, j'arrête mon blabla. Ma Perv'EZ, je veux voir le ray... *taggle* Euh, je veux dire, je veux voir ton OS avec sucette

Bizzzzzz
chtaime.
Milie

Ma Killeuz'
J'aime ton dernier OS
Jattends avec impatience celui d'EsTHelle
xDD

Han tous vos OS sont plus beaux les uns que les autres !
sérieux j'aime beaucoup ^^
au début , je veut dire quand j'ai vu que c'était des OS j'étais un chti peu déçu mais je me suis dit "aprés tout pourquoi pas" et puis j'ai lu et je ne suis pas déçu !
bien au contraire !
tout vos OS sont pleins d'émotions et j'adore ça .
J'ai beaucoup aimer les premiers avec les oiseaux
mais j'aime aussi tout les autres ^^

bref euh ba comme ici on dit pas suite et be je vais dire :

OS suivant please !!!!!! ^^

j'adOoreuh !!!
c'est trop mimi !
MDR
vous me faite tripé !!
aller Estelle a toi !!
bisous
jv'aime fOort <3

Sucette power --'.


Georg claqua la porte et descendit les marches de l'immeuble à toute vitesse. Y a des jours, putaiiiin ! Il entra dans sa voiture de luxe, fit vrombir le moteur et repartit chez lui en prenant garde à bien mettre la musique à fond. Oasis. Y a qu'ça d'vrai ! Il repensa à sa soirée. Il s'était amené chez sa copine et elle lui avait simplement annoncé qu'elle ne voulait plus de lui, "désolée hein mais c'était sympa merci". Fou de rage, il l'avait traîtée de tous les noms et avait juré que la prochaine fois, il prendrait un mec. Les paparazzis l'avaient entendu et Georg prévoyait déjà les gros titres du lendemain.

Alors que notre pauvre bassiste constatait avec désolation son changement de bord, Gustav lui se faisait mettre à la porte d'une jolie maison blanche dans une rue proprette bordée d'ifs bien taillés.

Il reprit son vélo et rentra à son tour, dans un état de semi-hébétitude. Il s'était présenté chez sa copine -oui il pensa "copine" exprès. Pas compagne, pas fiancée, pas promise, rien, nada, niete. Il s'était donc présenté chez sa copine, un peu plus exhalté que d'habitude. Sa veste rebondissait sur ses abdos avec le poids de l'écrin dans la poche droite. Il avait réservé une table dans le plus grand des restaurants d'Allemagne et avait même demandé une chambre d'hôtel pour qu'ils puissent être tranquilles et pas obligés de se rhabiller à la va-vite comme s'était hélas souvent le cas. Gustav pensa avec amertume qu'il n'aurait plus souvent l'occasion de le faire. Il était donc dans le salon de sa belle pour lui demander sa main. Ce qu'il n'avait pas prévu, c'était qu'elle lui rie au nez. Alors il s'était retrouvé comme un con dans l'allée quand elle avait reprit son sérieux et qu'elle avait sèchement déclaré "NON."
Y a des jours où on ferait mieux de rester couché ! dit-t-il au chien en rangeant son vélo.

Tom, lui, était allé dans un cabaret de strip-tease et s'en était pris plein la vue. Il avait dragué de tout, de la brune, de la bouclée, de la gros-nénés et de la hanches-de-portoricaine. Mais il avait jeté son dévolu -pour la nuit seulement hein, restons sérieux- sur une belle gazelle. Ils étaient monté dans la Cadillac et s'étaient rapidement déshabillé. Mais l'inattendu se produisit et en fait non, il ne se passa rien. Tom n'avait PAS ENVIE ! Si, vous lisez bien ! Il n'eut pas de réaction !
Le blondinet sentit les gouttes de sueur perler sur son front.
ça part en live, moi j'dis ! ça part en suceeeeette ! maugréa-t-il.
Il eut alors un réflexe : il ouvrit la portière, poussa la nénette qui tomba dans un petit cri aigu (au moins elle aura joui une fois, pensa-t-il sadiquement) et il démarra au quart de tour, le froc même pas remonté.

A cette heure, ils avaient retrouvé notre androgyne préféré dans la cuisine et ils lui avait raconté tous leurs malheurs.
Bill les regarda tous.
- C'est pas plus mal tout ça, avec tous les récits de vos existances merdiques, 1. j'ai de quoi faire des chansons 2. je ne m'ennuie pas et j'ai la suite directement, pas comme pour les feuilletons télé 3. j'oublie que moi j'ai jamais su aborder les femmes et que je suis aussi seul que le clochard qui habite sur le parking d'Aldi --'
Gus soupira.
- Que veux-tu ? C'est la vie je suppose.
Tom soupira.
- Ben c'est nul. J'ai même pas bandé !
Georg leva les yeux au ciel et soupira.
- Moi c'est pire tu crois pas ??
Avant qu'ils n'en viennent aux mains, Bill s'éclaircit la voix.
- Bon, je suppose que vous avez tous mérité une consolation ! Vous faites peur avec vos figures de clowns désespérés ! Qu'est-ce que je peux vous offrir pour vous aider à penser à autre chose qu'à ces rendez-vous qui finissent en sucette ?
Les trois musiciens désespérés se regardèrent.
- Un bonbon ?
- Ok ! J'ai acheté des sucettes hier ! Des belles bien rondes !
Tom regarda son frère avec de gros yeux :
- T'as vraiment le mot pour rire, toi !



____________________________________
Bon ben vouala x)
Je tiens à dire pardon à Georg -c'est uniquement pour le besoin de l'histoire que j'ai INVENTE ça- et si il passe par là je veux bien lui consacrer ma nuit pour me faire pardonner ! On jouera à ce qu'il voudra x]
(a) oh la punitiiiion !

Pour en revenir à "SUCETTE"
j'ai un peu contourné le sens mais pas graff' XD
Dentifrice je le fais demain.

XD nan, pas graff si t'as détourné le sens, un rayage de "bip!" ça l'aurait pas fait ici ^^.

T'inquiète, ton Georg tu l'auras pour toi toute seule xd (même qu'il va être jaloux hi hi hi... Sadique POWAH !!!!! )

Sinon, j'ai adoré cet OS, mais j'étais vraiment, vraiment trop dégoûtée pour Gustav...C'est le seul qui s'est pas plaint, et pourtant je sais que c'est celui qui a le plus souffert.

J'attends dentifrice avec impatience.
Bizzzzz
Milie

Trop mort d erire la fin de ton OS Estelle !!!


j'aime !!

Han c'était trop fort
Huhu

Encore.

genial !!
j'adore !!
bon bas maintenant je veux dentifrice !!
lol
jv'aime <3

Milietrom a écrit:

tomforever92 a écrit:

Waouh!
Merci beaucoup EsTHelle!
J'adore comment tu écris!
C'est vraiment trop beau ce que tu écris!
Milie a déjà fais les analyses à ce que je vois...^^
Et je suis d'accord avec elle...
Je sais que tu as une vie en dehors du fo!
Je m'excuse si je t'ai froissée...
MAis malgré ton niveau bas, t'écris super bien!!
Suite Milie stp! =)

Merci d'être d'accord avec moi XD

Sinon, quand tu parlais de "niveau bas", tu parlais de son moral c'est ça?

[je sais je répond seulement maintenant à tout, même si j'ai lu vos dernier OS dès leur "postage"^^]
Oui! Tu as tout à fait compris! =)
Je parlais de son moral...

Milie,
-pour ton OS sur le parapluie, tu l'as bien fait long *on voit bien que CERTAINES sont en vacances...^^* (tu es satisfaite? T'as eu le temps de bien mettre tout les détails et ne pas trop précipiter l'histoire?^^) et , même si l'endroit de l'histoire est sinistre, c'est une très belle histoire...
-ton OS sur la sucette est triste et réaliste (pas au sens de ce qu'ils sont maintenant, mais ce que ça pourrait être plus tard quand ils auront une famille...) Je me sentirais aussi mal à la place de Tom... J'ai bien aimé quand la fille demande comment est rentré le bébé...XD

EsTHelle,ton OS sur la sucette est comique pour celui ou celle à qui on raconte l'histoire mais pas du tout pour eux qui la subissent... Moi, je plains surtout Gustav... Le pauvre! J'imagine bien aussi la tête de Bill à la fin... Et comme l'a si bien dit Tom, il a toujours le mot pour rire... -_-

J'attend le prochain OS avec impatience!^^

Hum hum... Merci les filles pour vos coms.

Tomforever92, j'dirai que oui, j'ai eu le temps de rentrer un max dan,s l'histoire du parapluie, même que je l'ai trouvé un peu long quand je l'ai écrit ^^
Pour sucette, c'est vrai qu'il est triste. Je n'aimerai pas être non plus à la place de Tom (mon prochain OS, celui avec "tube de dentifrice", sera lui aussi "réaliste comme tu dis. Peut-être un peu moins, j'en sais rien. On verra ce que vous en pensez.)


Bref. Stern, je crois qu'on t'attend toutes xd termine vite tout ce que tu as à faire ce soir comme ça j'pourrais enchaîner ^^. Ou alors si tu peux vraiment pas, donne-moi juste le mot suivant, pour que je puisse imaginer mon OS. <3

Bizzzz
Milie