[terminer]Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

[2 jours plus tard]

[PDV de Mistig]

Dans cette nuit noire, dans ce parc inonder de ce noir, écoutant l’eau couler, regardant la pleine lune. La je peux enfin réfléchir, penser à se que je veux.

Première question : Puis-je vraiment faire le deuil de ma famille perdu ?
La réponse bien évidement je ne l’ai pas.
Mon souvenir d’eux, j’en ai beaucoup. Les moments heureux, les moments où j’étais sur scène avec mon frère et ma sœur, et nos parents qui nous attendaient, non loin de là. Les moments de câlin collectif avec toute ma famille. Il me manque bien sur, comme chaque jour qui on passer depuis cinq ans.

Deuxième question : Pourquoi j’aime tant les étoiles ?
La réponse, je l’ai, enfin je crois.
Les étoiles, c’est le ciel, le ciel, c’est leur maison. Je regarde les étoiles parce que j’ai l’impression d’être avec eux.

Troisième question : Qu’est ce que j’ai vue dans la maison il y a cinq ans ?
La réponse est pourtant simple.
Je les ai vue eux, gisant sur le sol, plusieurs poutres tombaient sur les corps déjà mort. Les yeux marron de mon frère ouvert me regardant. J’avais l’impression qu’il me demander de l’aider et de le sortir d’où il était, j’ai voulu, j’ai essayé, mais les flammes l’on tuer avant, j’ai posé ma joue sur son visage, comme pour lui demander pardon, et je me suis bruler.

…

Dixième question : Eux ?
Eux, ce sont les Tokio Hotel. Dés qu’ils sont arrivé en France, j’ai de nouveau un peux plus exister. J’ai eu tout leurs albums, sauf ceux en Anglais. Je ne suis jamais allé les voir en concert, je préférer écouter leurs musiques, que j’ai toujours aimé. Sinon dans ma chambre, j’ai seulement tout le groupe sur chaque poster, il n’y a pas que Bill, ni que Tom, ils sont seulement tout les quatre.

…

Centième et dernière question : Chanterais-je pour Bill ?
Personnellement, je ne sais pas, je pense que je pourrais le faire, mais, je ne sais pas, j’ai peur.

Je suis resté tellement longtemps sur ce banc, que les rayon du soleil commence déjà a se lever. Je mets ma capuche et rentre chez moi en grande enjamber.

Arriver, presque à destination, je me rentre dans quelqu’un. Je regarde cette personne qui ne mets pas inconnu. Il met ces mains sur mes épaules et me regarde.

J’enlève ces mains de mes épaules tout en fessant bouger quelque peut mes épaules.

Je me retourne vers lui et le regarde avec des questions plein les yeux.

Il s’avance vers moi, prend ma main dans la sienne et me demande de le suivre. Même si je ne voulais pas le suivre, j’aurais été obligé de le suivre.

Nous retournons sur les pas que je venais de faire, qui venaient d’être imprimer dans le temps. Je demande à Tom de me lâcher, car j’ai envie de rentré chez moi, mais il ne répond rien et continu son chemin.

Nous arrivons devant mon en sienne maison. Il nous fait arrêter devant le portail, dénuder de couleur.

Il ne répond rien, mais nous fait rentré dans le petit jardin, où je n’ais pas poser le pied depuis tellement longtemps. Chaque brindille d’herbe nous arrive aux genoux. Il avance d’un pas sur vers la maison encore bruler, j’ai l’impression de voire de nouveau les flammes la brulant. J’ai beau essayer d’arrêter Tom, mais il continu tout en m’emportant avec lui.

Il pousse la porte encore noircie par le feu, la fessant grincer à chaque millimètre parcouru par celle-ci. Dans le hall, les trace de brulure, les poutres toujours tombé sur le sol, le souvenir de leurs corps dessiné sur le sol.

Les larmes ont commencé à brouiller ma vu. Ma main ne pouvant pas quitter celle de Tom, je m’empresse de la serait.

Il nous fait passer dans ce qui été bien avant le feu, le salon. Les barres du canapé montrent son emplacement, les cadres de photo, brûlé, continent les photos n’existant plus. La télé, toujours positionner dans son coin, laisse voire les dégâts à l’intérieure d’elle.

La cuisine n’excite plus. Nous continuons notre chemin vers les chambres se trouvant à l’étage l’escalier grince à chaque pas fait dessus, comme avant, comme il y a cinq ans, nous l’avions gardé parce qu’on aimait le bruit qu’il fait.

La première chambre, celle des parents, le toit qui est tombé sur les meubles qui peuvent exciter que dans le passé. La deuxième, celle de ma sœur, dans le même état que la première. Celle d’à côté, c’était la mienne. Avant qu’il puisse entrer, je l’en empêche tout en m’arrêtant au milieu du couloir. La salle de bain, et les toilette suivi de la chambre de mon frère, où le feu n’a pas fait trop de dégât.

La porte aillant déjà grincé pendant son ouverture, nous laissant voire la chambre encore presque intacte. Cette chambre a gardé le style que mon frère lui a donné. Je me retourne pour regarder le mur, avec la porte au centre, elle-même entouré de poster qui on commencer à brûler. Vers la droite, un autre mur, lui-même un peut brûler, son armoire aillant laisser ces vêtements intacts, les casquettes exposé sur le mur juste à côté d’elle. Les deux derniers murs, tagués par le soin de mon frère, ou plein de photo son accrocher, ma famille, ces amis. Son lit, sa guitare juste à côté de celui-ci. Et la fenêtre où les pompiers sont rentrés, laisse passer des brises fraîches du matin.

[PDV externe]

Tom a ensuite consoler Mistig du mieux qu’il le pouvait. Elle pleure toute les larmes qui veulent bien sortir de ces yeux. Tom fait perdre ces mains dans son dos. Et dire que Tom ne voulait pas faire que ça, il voulait également …

[2 mois plus tard]

[PDV de Mistig]

Ça fait maintenant deux mois, deux mois qu’ils sont parti, sans nous dire en revoir. Ils sont parti là nuit, le soir où normalement Tom devait venir me voir pour me dire quelque chose. Quoi ? Je ne sais toujours pas. Pour tout dire, ils me manquent, ils manquent aussi à Val, ils sont tellement gentil.

A oui depuis ces deux mois, j’ai décidé de reprendre mes études. Bien évidement j’essaie de cacher mon visage le plus possible, mes cheveux sont toujours aussi long, à pars que maintenant sous les fesses. Mon style, je n’en ai pas vraiment, je prends dans mon placard le matin, je mets pour la journée, et le soir même c’est dans le panier à linge salle. Et le lendemain, je c’est un autre style que j’ai.

Pour mes cours, j’ai pris décoration d’intérieure. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme ça. Dans le lycée, j’y suis depuis un mois, mais je ne parle à personne, je reste juste là dans un coin à écouter la musique.

Val, elle a décidé de faire un voyage au USA. Tous les jours elle m’appelle pour me décrire comment c’est là bas. Je serais en face d’elle, je verrais des étoiles dans ces yeux. Je suis heureuse pour elle. Quand elle m’en parle j’ai l’impression d’être avec elle, juste à côté.

Là on est le soir, je suis toute seul dans la maison, donc j’ai pris la décision de me diriger vers le parc, où je vais maintenant seulement tout les deux jours, pour cause, je dois travailler pour rattraper tout mon retard.

Là je suis sur le banc, imaginant les étoiles inexistantes se soir, imaginant également la lune cacher derrière les nuages eux même noir. Le vent qui souffle avec légèreté, est doux, très doux, ni trop chaud, ni trop froid, juste parfait. Je ferme les yeux, pour approfondir le plaisir de sentir cette douceur sur mon visage maintenant plus cacher.

Je sans des mains se poser sur mon visage, plus précisément sur mes yeux. Des mains douces. Je ne bouge pas, espérant qu’elle ne s’enlève pas. Quelque minute, elles sont restées sur mes yeux quelque minute.

Elles glissent délicatement pour découvrir mes yeux, mais je les arrête, j’en arrête surtout une pour qu’elle reste où elle est.

Cette voix, je pourrais reconnaître cette voix entre mille. Mais d’un côté ce n’est pas possible, ça ne peut être lui, il est bien trop loin, il est parti bien trop loin pour revenir si vite.

Il est bien là devant moi, c’est yeux chocolat.

[Flash Back]

Il est parti, sans rien me dire, juste en me laissant une lettre, une simple lettre. Il m’avait dit qu’il viendrait me rejoindre au parc, mais il n’est pas venu. Aujourd’hui, se matin, je suis allé chercher le courrier, comme chaque matin avant de déjeuner. Et j’ai trouvé entre les factures, deux lettres, une pour ma sœur, et une pour moi.

Je me suis installé sur le canapé à attendre ma sœur avec les lettres entre les mains. Elle est descendu peut de temps après. Je lui ai donné la lettre, juste après qu’elle est déposée un bisou sur ma joue.

Nous avons ouvert les lettres ensemble.

[Fin du Flash Back]

Jamais je n’aurais pensé qu’il reviendrait. Je me lève du banc et entours mes bras autour de son coup. Son odeur, se contacte, tout m’avais tellement manqué. Je me sépare que très peut de lui, mais cette séparation ne dure que quelque seconde. Je ne pus m’empêcher de coller mes lèvres sur les siennes.

Il ne me repousse pas. Nous restons ainsi quelque seconde, seulement en surface.

Je me recule précipitamment de lui et me retourne.

Je me retourne vers lui, mon regard, maintenant dans le sien. Je ne peux quitter ces yeux chocolat.

Il se rapproche de moi. Toujours les yeux dans les yeux. Je ne peux quitter cet océan de chocolat. Il est tellement près de moi, qu’il ne peut plus faire un pas. Il penche son visage pour diriger ses lèvres vers mon oreille droite. De ces doigts, il pouce, les quelque mèches de cheveux qui cache encore mon oreille.

Sur ces mots, je sans le rouge me monter aux joues. Son visage est de nouveau en face du mien. Cet océan de chocolat.

Il pose sa main gauche son le côté droit de mon visage et de l’autre main il dégage ma mèche de cheveux cachant la gauche de mon visage. Il y dépose ça main, mais d’un geste, je lui enlève la main.

Je regarde son visage, pour voir si je pouvais y déceler simplement un très d’inquiétude, que je trouve sans trop de difficulté. Son visage est tellement beau, mais l’inquiétude est présente, elle est là, dans ces yeux.

Pour couper mes dires, il pose son indexe sur mes lèvres.

Pendant tout se temps, Tom avait gardé son doigt sur mes lèvres. Mais là, maintenant il l’enlève, pour y passer son pouce. Je ne bouge pas sous cette douceur.

Aillant terminer de toucher mon visage, il ne bouge plus.

Malgré ma voix pratiquement sourde, il me regarde. Je pris sa pour un oui.

Je me retourne.

Je me retourne, il est tellement près de moi, que son souffle vient frôler délicatement mon visage.

Je ne pue m’empêcher de regarder ces yeux qui me fixe. Il y a dans ces yeux, une lueur d’espoir.

Cette demande si simple et pourtant si importante. Tom ne me donne aucune réponse à la question, comme seul réponse j’eu le droit de rentré dans ces bras. Je ne sus comment réagir à ce geste.

Mon souffle se dépose sur son T-shirt. Une de ces mains se trouve dans mes cheveux, et l’autre c’est perdu dans mon dos. Mes bras, ne sachant pas quoi en faire, reste le long de mon corps.

Après plusieurs minutes passées dans cette position, il se décolle de moi et se penche. Ces lèvres se collent avec douceur sur les miennes. Son piercing fait le contraste entre le froid de cet objet et la chaleur de ces lèvres douce. Mes yeux se ferme pour apprécier se contacte.

Se moment doux, du prendre fin.

[PDV externe]

Pendant qu’un couple se forme, un autre, bien loin d’ici, se retrouve.