[terminer]Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

[PDV externe]

Les sushis, Tom n’aime pas vraiment sa donc il n’y a pas touché. Par contre il a bien fait chier Mistig, mais bien sur, elle n’a toujours pas donné sa réponse.

Elle se lève du canapé, où elle c’était installer quelque temps après. Elle sort du salon et se dirige vers sa chambre pour si réfugié.

Bill quitte le salon et se dirige vers la chambre de Mistig.

[PDV de Val]

[PDV de Mistig]

Je suis adossé contre ma porte, pourquoi veut-il que je chante ? Si je n’avais pas chanté le jours où va et revenu, il ne m’aurait jamais entendu.

Quelqu’un frappe. Je ne bouge pas, je ne réponds pas. Les deux mains poser de chaque côté de mon corps, comme si sa aller empêcher la porte de bouger. Je sans un papier contre ma main. Je le prends et le lis.

Je me lève et ouvre la porte. Je ne lui laisse pas le temps de faire un geste que j’entours mes bras autour de son coup.

Je desserre mes bras de son coup. Et retourne dans ma chambre, il me suit de près.

J’entends un crayon glisser délicatement contre un papier. Je me retourne vers Bill qui continu d’écrire.

Après m’avoir fait lire se simple mot, il ferme la porte et s’assoie en tailleurs par terre, juste devant la porte.

[PDV de Bill]

Je suis assis là, devant cette porte, assis en tailleur à la regarder, à attendre qu’un simple mot sorte de sa bouche. Je veux savoir le pourquoi du comment.

Elle s’assoie juste en face, dans cette position que peut de personne peut avoir, la position du bouddha.

Je lui réponds d’un simple oui.

Tout se que je veux c’est retrouver ma voix, faire plaisir à mon frère, de nouveau chanter pour lui. Chanter pour elles*. (Il n’y a pas d’erreur c’est normal que ‘’ elles ‘’ soit au pluriel).

J’écris sur un bout de papier une question.

Malgré, qu’elle ne me donne pas de réponse, je connais déjà la réponse, je sais qu’un frère peut manquer. Je me lève et la prends dans mes bras. Je pose une de mes mains dans sa chevelure.

J’aimerais lui dire que si elle veut pleurer, elle peut.

Je sans deux mains se poser sur mon thorax, elle me pousse.

[PDV de Mistig]

Il se retrouve les fesses au sol, les deux mains qui soutiennent son corps pour arrête cette tomber.

Je me lève et me dirige vers la fenêtre. Je ne l’ouvre pas, je ne la regarde pas, je vois seulement le noir de mes yeux qui se sont fermer pour empêcher que cette tristesse ne sorte.

J’attends quelque minute après avoir entendu la porte se fermer. Et fait couler mes larmes le long de mes joues.

A vrai dire, ça fait peut-être cinq ans qu’ils ne sont plus de se monde, mais au fond de moi, je n’ai pas encore fait le deuil.

Je ne peux pas expliquer pourquoi. Je ne sais pas pourquoi ma sœur à réussi à le faire et pas moi.

J’entends frapper à la porte, je ne bouge pas, je ne dis pas d’entré. Mais pourtant, la porte s’ouvre. Quelque seconde se sont écouler, personne ne parle, mes des bras ont entouré mon corps. Je veux en sortir, mais malgré moi, je n’y arrive pas.

Je le retourne vers elle et la prend dans mes bras.

Quand elle a dit ces mots, j’ai senti des larmes couler dans mon coup, je l’ai donc sérer plus contre moi.

Dans son coup des mercis presque muets sorte de ma bouche.

[Deux jours plus tard]

Les deux nuit qui viennent de passer, nous les avons passé dans le parc à regarder les étoiles, j’ai raconté à Val ce que Tom m’avais dit quand il est venu mie rejoindre la nuit où nous avons dormi chez eux.

Là, nous sommes de nouveau dans le parc, dans cette nuit où seules les étoiles nous illuminent.

Mes yeux qui sont toujours dans les étoiles, se dévient vers ma sœur qui me regarde.

Je me lève du banc, mets ma capuche et mets mes mains dans les poches de mon pull. A peine ceci fait je laisse Val sur le banc et sors du parc. Je me dirige vers chez tout en passant devant notre enseigne maison, toujours dans le même état que la dernière fois, toujours brûler, le toit n’existant plus.

Je regarde encore quelque seconde cette maison, avec un air de tristesse dans les yeux et repars sur mon chemin.