[terminer]Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

je présice l'histoire est une histoire vais pour la brulure sur le visage (visage d'un pote à moi) mais ces parents sont en pleinne forme.
sinon la prochaine suite
quand j'aurais son avie sur se que j'ai écrit.
voilà
kis
Mistig

ok ma sadique ^^

la suite ma sadique ^^

j'attends la tienne avant ^^

mdr ^^

ma sadique

val a écrit:

ma sadique

présente

Mistig : C’est vrai tu ne m’en veux pas ?
Moi : Oui c’est vrai. Aller lève toi, on va rentrer.
… : Non, rester. On veut apprendre à vous connaître.

Je me retourne brusquement, étonner par la voix qu’il vient de retentir, et par ces dire.



Sous la demande de Tom, et les yeux de Bill, nous sommes restés. Bill, nous a parlé sur papier. Tom, lui parler quelque peut français avec un accent à faire fondre toute fille, sinon c’était tout en Allemand.

Là, je suis dans une des chambres d’ami de leurs maison, malgré le peut de distance qui s’épare nos deux maisons, Tom nous a pratiquement ordonner à rester dormir. Nous n’avons pas dit oui, ni même non, mais nous sommes quand même resté.

Par contre, malgré mon envie de rentré chez moi, j’ai également envie de faire mon escale habituelle dans le parc, de regarder les étoiles, de leurs parler dans un silence que même moi je ne peux le briser.

Je tourne en rond dans la chambre, dans cette chambre qui ne connaît pas encore ma présence. Mais malgré, le peut de temps je connais déjà chaque recoin de cette chambre.

Après avoir fait les cent pas dans la chambre, j’en sors et descends chaque marche de l’escalier qui me sépare de l’entré. J’arrive au niveau de la porte d’entré quand une voix se fait entendre.

… : Tu vas où ?

Je me retourne précipitamment et découvre Tom, mais pas un Tom habillé, un Tom en caleçon.

Par gène, je baisse la tête, ainsi que mes yeux et fixe chaque détaille que peut avoir le carrelage de leurs entré.

Moi : Je … Je pars.

Je lève mon regard, hésitant, en remarquant qu’il ne me répondait pas.

Je le vois s’approcher de moi, d’un pas léger. Sa main préparant déjà le trajet qu’elle termine sur ma joue droite. Ces doigts caressant ma peau. Mes yeux regardent chaque détaille de son visage. Chaque détaille, chaque très passe sous mon regard.

Sa main restant sur ma joue, ma main droite rejoignant cette main. J’enlève sa main de mon visage et la fait descendre le long de son corps.

Tom : Tu vas au parc, c’est ça ?

Je le regarde, mais ne réponds pas. Je mets ma capuche, laissant mes cheveux sortir de celle-ci et recouvrir un peut plus mon visage déjà beaucoup recouvert. Je me retourne vers la porte, l’ouvre et sors de cette maison.

D’un pas non assurer, de peur de faire un mauvais pas où même de tomber. Je continue mon ascension vers se parc où je peux être seul, où presque.



Tom est resté dans l’entré, repensant à la peau douce de Mistig, il ne cherche ni les défauts, ni même les qualités, tout se qu’il sait c’est la douceur de cette peau. Se rappelant le bleu trop clair pour être réelle, mais tout de même existant sur cette personne au mystère encore énorme.

Mistig est dans le parc, regardant le ciel étoiler. Se demandant comme à chaque fois si ils vont bien, s’ils lui en veulent.

Bill est près de la chambre d’ami que Val occupe par sa présence déjà endormi. Il y rentre, sans faire le moindre bruit, ne voulant pas réveiller cet ange dormant. Il s’assoie sur ce sol froid, se recouvrant de la fine couverture qui avait dans les mains, et reste ainsi à contempler cet ange endormi.

Suite s'il te plait =).

c'est vrai je suis en ange mais qui bave en dormant lol

mdr ^^
mais tu es un ange tellement mignonne ^^

^^ arreter je vais rougir ^^

quand tu rougis tu es encore plus belle
(je dis ça, je dis rien, se son mes doigts qui écrivent tout seul)

ho O.o

tu fais bien des trucs des doigts en plus tout seuls lol

la suite ma sadique ^^

lol ^^
la suite
Euh ... quand je l'aurais écrite.

Les yeux rivés sur les étoiles scintillants par millier dans ce ciel noir. J’ai l’impression de les revoir vivre, de les voir de nouveau à côté de moi.

Les larmes coulent le long de mes joues. J’ai envie de les serrés dans mes bras, de dire à ma sœur qu’ils sont toujours en vie, de les ramener à la maison. J’ai envie de reprendre la vie d’avant.

Je me rappelle encore la nuit où je suis rentré dans la maison en feu, je me rappelle de chaque détaille que je n’ai pas pu décrire à qui que se soit. Je me rappelle de leurs corps.

Je sans une main se poser sur mon épaule.

Sans savoir qui pouvais être cette personne, j’entours mes bras autour de son coup, son odeur noix de coco. Mes larmes coulant sur mes joues, suivant leurs chemins dans se T-shirt.

Je lève mon visage vers cette personne et découvre avec surprise se visage au très fin, se visage que j’ai toujours aimé regarder, se guitariste. Mes larmes coulant toujours sur mes joues.

Moi : Ils sont morts à causse de moi.

Il passe son pousse sur ma joue droite pour en effacer les larmes passé. Il dépose ces douces lèvres sur mon front.

Moi : Mon frère nous consolait en me fessant de doux bisous sur nos front où quand nous allions nous coucher.
Tom : Qui te dit qu’il ne le fait plus. Je suis sur qu’il est toujours à vos côtés.
Moi : Qu’est ce qui te fait dire ça ?

Il se détache de moi et va se mettre au niveau de la petit rivière qui traverse avec légèreté et douceur se parc

Tom : Un jour, quand nous avons perdu une personne qui était cher pour nous, pour mon frère et moi, ma mère nous à dit : ‘’ Quand tu pleures, il est triste avec toi. Quand tu chantes, il chante avec toi. Quand tu aimes, il aime avec toi. Quand tu souris, son sourire devient une étoile, comme celle là. ‘’

Il lève le doigt vers le ciel et m’indique une étoile qui brille plus que les autres. Elle est tellement belle.

Tom tout en gardant le doigt diriger vers cette étoile : Quand je vois l’une d’elle scintille comme ça, je me dis qu’il est heureux. Même si, moi-même je ne le suis pas toujours, je sais que lui, où il est, il est heureux. Donc je me dis, que je dois être heureux aussi.

Je me dirige vers lui et regarde son visage, des larmes on coulait sur ces joues, mais les étoiles sont tout de même présente dans ces yeux. Il baisse son bras.

Moi : Alors ils sont heureux ?
Tom : Regarde les étoiles, elles sont heureuses là-haut, donc oui, ils sont tous heureux.

J’espère qu’il a raison.



Ils sont tout les deux, là, sur le rebord de cette rivière franchisant chaque obstacle. Ils se sont assis. Les yeux examinant les étoiles, avec beaucoup de passion.

Dans la maison. Val s’est réveiller et a découvert le regard de Bill. Au bout de quelque minute, elle la invité dans ce lit déjà imprégner de cette odeur de vanille.

suite please!

la suite ma sadique please j'adore lol

magnifique...et troooooooooop mignon!!!
et aussi bien écrite que ta dernière fic...
suite stp?

je suis contente qu'elle te plaise (c'est pour tom,mon ange)
je suis également contente qu'elle plaise à mes autre lectirse bien sur
pour la prochaine suite
euh ...
demain dans la journée quand je serais descendu du train et rentré chez moi
la je suis chez un pote à Paris
et puis bah, j'ai pas mes suite sous la main
kis Mistig

ok ma sadique ^^

bon elle est pas super la suite
mais ma diablesse ma presser de l'écrire
donc bah voilà quoi

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Mistig et Tom étaient restés assis dans cette herbe fraiche du soir. Tom en avait appris beaucoup sur Mistig et Mistig en avait appris également beaucoup sur Tom.

Mistig n’avait pas dormi de la nuit, par de là sa fenêtre, elle regardait les étoiles et la pleine lune. Elle aurait aimé la toucher du bout du doigt. La musique rock, leurs musiques, résonnait dans ces écouteurs, les paroles sortaient par morceau de sa bouche.

Bill et Val s’étaient rendormis.

Le jour commence à se lever, les nuages apparaissent peut à peut.



La nous sommes prête à rentré. Nous sommes en fin d’après-midi. Gustav et Georg nous on rejoint au debut. Nous avons parlé de tout et de rien. Tom sortait des conneries à deux balles. Tom a voulu jouer pour me faire chanter, sauf que bah, je n’ai pas chanté, je ne voulais pas. Gustav et Georg sont trop sympa. Ils nous ont fait promettre de revenir demain, tom à bien sur préciser ‘’ demain soir ‘’.

Nous sortons dans la nuit tombante et rentrons à la maison.



Une semaine que nous voyons Bill et Tom. Gustav et Georg ont du retourner en Allemagne pour retrouver vers leurs copines.

Je ne sais pas trop se qui se passe, à vraie dire, je crois que je ressens quelque chose pour Tom, enfin je crois, je ne sais pas, je ne sais plus.

La je suis dans la chambre de ma sœur avec elle bien évidement.

Val me sortant de mes pensés : Tu penses à quoi ?

Je me retourne vers elle, elle sait très bien à quoi je pense.

Moi : À Tom. Et toi ?

Pour tout dire, ça fait une heure que je suis dans sa chambre et elle n’a pas parler, moi non plus d’ailleurs.

Val : À Bill.

J’en étais également sur. Je peux lire en elle comme dans un livre ouvert. Je vais m’installer à côté d’elle, qui est allonger sur le matelas recouvert de son odeur de vanille.

Val : Tu as peur de quelque chose ?

Je lui réponds d’un oui de la tête. Elle me prend dans les bras.

Val : Ne t’inquiète pas.

J’entours mes bras autours de sa taille et nous restons ainsi pendant quelque temps.

la suite ma sadique

viens que je t'enlace avec mes gros muscles lol

la suite please

suite please!

Dans l’autre maison, non loin de celle des filles, se trouve deux garçons. L’un découvre peut à peut un sentiment qu’il ne connaît pas encore et l’autre découvre un sentiment qu’il a perdu il y a tellement longtemps qu’il penser ne plus l’avoir en lui.

Leurs yeux, à tout les quatre, déambulent sur le plafond. Les yeux se ferment peut à peut pour laisser place pays des rêve où tout est possible après plusieurs heure de contemplation.


Le lendemain, le soleil était lever depuis peut, mais déjà la musique était présente dans les deux maisons. Des musiques Rock, hip hop, pop … tous les styles se mélangent dans cette aire frais qui recouvre la ville.

Tom bien décider à aller voir Mistig et de lui demander pour chanter pour son frère, car oui, son frère a pris, le soir juste avant que la nuit tombe, la décision de rechanter pour les fans qui ne les avaient pas oublié.

Bill, lui pendant que son frère s’habiller le mieux qu’il le peut de ces vêtement XXL, se prélasse sous l’eau chaude qui couler sur son corps fin et fragile. Lavant au passage la coloration fait plutôt dans la mâtiner. Une chevelure noire retrouvé avec bonheur.

Mistig, dans la cuisine préparant le repas avec sa sœur, un repas japonais qu’elle préparer avec délicatesse.

La sonnette, de la maison des filles, retentit. Mistig va ouvrir et découvre Tom devant elle.



La porte s’ouvre et laisse apparaître Mistig.

Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas se qui m’arrive, je n’arrive plus à enlever mes yeux des siens. Je n’arrive plus à parler malgré l’envie de lui dire juste un mot. Je suis comme paralyser devant elle.

Je n’avais jamais vraiment détaillé son visage, je n’avais pas remarqué se piercing qui avait pris place sur la droite de sa lèvre inferieure. Ces lèvres brillant avec le peut de lumière que nous donne cette journée. Son visage, une ange tombé du ciel. Ces yeux bleus toujours maquillé de noir avec beauté.

Elle passe sa main manucurée de noir et blanc devant mes yeux pour me faire sortir de mes rêveries.

Mistig : Tu rentres, où tu veux rester là ?
Moi : Je … @&/’}

N’aillant moi-même pas compris se que j’avais pus dire dans cette phrase déjà achet. Je ne pue faire un drôle de tête vu que Mistig se mie à rire.

Mistig arrêtant de rire : Je ne parle pas vraiment cette langue, mais je tant pris rentre.

En disant ces derniers mots, elle s’écarte de l’encadrement de la porte pour me laisser entrer. Je rentre dans la maison découvrant petit à petit la beauté de cette intérieur, les murs blanc, avec plusieurs meubles bleus.

Je m’arrête après quelque pas dans le hall pour me retourner vers Mistig.

Moi : Je suis venu pour te demander si tu voulais bien chanter pour mon frère.
Mistig en passant devant moi : Et pourquoi je devrais le faire ?

Je me retourne pour pouvoir suivre chaque mouvement et la suis dans la cuisine.

Moi : Salut Val.
Val se retournant vers moi un couteau à la main : Salut.
Moi : Il veut reparler, et il veut aussi que tu chante pour lui, sinon il ne veut pas rechanter.
Mistig continuant à faire se qu’elle fait : Je ne dis pas oui, mais je ne dis pas non. Mais si je dis oui, sa se passera où ?
Moi anxieux : Où tu veux.
Mistig se retournant vers moi avec une assiette remplit dans je ne sais quoi : Je vais réfléchir.