[terminer]Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

[PDV de Tom]

La nuit est tombée, il ne reste plus qu’à attendre.

Allonger dans l’herbe fraiche du soir, je réfléchis à se que je pourrais lui dire, à ce que je pourrais faire quand je la verrais.

[PDV externe]

Une jeune fille habiller d’un slim noir, une mini jupe noir et blanche par-dessus, et une veste en cuire recouvrant un marcel à tête de mort. Son visage maquillé pour masquer ces défauts, ces cheveux d’un lise presque parfait. D’un pas sur d’elle, elle ne peut se douter qu’une personne l’attend non loin de là.

Elle s’installe non trop loin de ce jeune homme n’aillant pas remarquer la présence de cette personne. La personne qu’il attend depuis presqu’une journée.

[PDV de Tom]

Je me relève, je ne connais pas cette voix. Je tourne mon visage vers elle.

Cette fille tourne le visage vers moi.

Ces yeux, ce bleu, cette forme de visage ; ça ne peut être qu’elle.

[PDV de Mistig]

Je me lève, aillant remarquer, qu’il m’avait reconnu. Je ne veux pas lui pardonner, pas maintenant, je montrerais ma faiblesse. Une main me retient par le bras.

Je me retourne vers lui. D’une violence qui m’était encore inconnu, je lui donne une gifle.

Mon bras dégageais de ça main, je me retourne et reprends ma route. Je ne veux pas montré ma faiblesse, je ne veux pas pleurer devant lui.

[PDV externe]

Le vent fait voler les cheveux noir de Mistig qui s’éloigne du tresser. Il la regarde s’éloigner laissant des larmes glisser avec délicatesse sur ces joues. Il ne savait quoi faire, il ne savait comment réagir.

Dans la poche de Tom son portable vibre, cette appelle provient de son frère. Tom prend le portable dans ces mains, regarde le destinataire de cette appelle, il veut répondre, mais il ne veut pas parler. Il se tourne pour être cette fois si, en face de l’arbre, une cinquième vibrassions entre ces mains, la dernière ce fera contre cette arbre qui n’a pas fait de mal.

Mistig arrive devant chez elle, la porte ouverte, et maintenant refermer derrière elle. Elle dépose son dos contre la porte et glisse le long de la porte. Et les larmes dévalent de nouveau ces joues pour lui.

[PDV de Tom]

Malgré mon baggy beaucoup trop large, je cours. Je veux la rattraper, la retrouver, je ne veux pas partir comme la dernière fois, je veux réparer cette erreur.

J’arrive devant la maison qui me rappelle tellement de chose. Aucune lumière ne filtre des fenêtres. Je me précipite vers la porte et frape de toutes mes forces tout en lui demandant de m’ouvrir.

Aucune réponse, aucun bruit.

Je tape encore de toutes mes forces.

Dans sa voix, je peux entendre de la tristesse. Je ne veux pas qu’elle soit triste.

J’arrête de frapper contre la porte, je m’assoie sur les quelque marche qui monte jusqu’à la porte d’entré, ramène mes genoux contre mon torse. Même si je ne peux pas la voir, je veux rester près d’elle, même si je ne peux pas la protéger, ni même la consoler.

Je sans des goutes salée couler le long de mes joues. Je les essuie d’un revers de manche. Je n’aurais jamais penser pleurer pour une fille, mais tout est possible dans une vie.

Mistig, ouvre-moi s’il te plaît

[…]

Je ne sais pas combien de temps je suis resté là, combien de temps je resterais là. Les étoiles brillent dans le ciel.

Je me lève, me retourne, et recommence à frapper sur la porte, je frappe doucement, d’une petite voix je lui demande de m’ouvrir.

[PDV de Mistig]

Ça fait tellement longtemps qu’il frappe contre la porte, qu’il me demande d’ouvrir, qu’il me demande de le pardonner.

Je veux lui pardonner, bien sur, mais comment effacer toute ces larmes qui on coulait quand il est parti, comment effacer les blessures que j’ai en moi.

La tristesse dans sa voix.

Je me lève, déclenche le verrou de la porte et l’ouvre. Il ne me laisse pas le temps de dire quoi que se soit et me saute dans les bras pour ensuite poser ces lèvres douce et sucré sur les miennes. Ces lèvres que je voulais à tout pris contre les miennes. Je mets fin à se baiser qui se fessait seulement en surface.

Il pose de nouveau ces lèvres sur les miennes, mais cette fois si, il ne reste pas en surface. Je pris plus d’assurance et demande l’accès à sa langue qui ne demande que ça. Elles s’évitent, se touchent, dansent ensemble.