[terminer]Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

[PDV externe]

Le soleil se lève doucement, ils sont restés assez longtemps dans le parc à regarder les étoiles, à parler, à rire. Depuis peut ils sont rentré. Ils sont tous dans le salon. Le téléphone de Bill sonne, il le prend entre ces mains et regarde le destinataire de cet appelle.

Il met le haut-parleur et pose son portable sur la table basse.

Georg prend Gustav dans ces bras.

On se met tous à rigoler, ils sont immense tout les deux.

C’est vrai, nous sommes bientôt le premier septembre, je n’y penser plus.

Instinctivement, le visage de Tom et Bill e tournèrent vers Val et Mistig. Le visage de Mistig, qui était heureux, ne montre plus aucune expression.

Elle se lève et monte dans sa chambre.

Il se lève à son tour et par rejoindre Mistig dans la chambre.

[…]

[PDV de Mistig]

Le 31Août, un jour avant l’anniversaire, cet anniversaire, un anniversaire que j’ai toujours voulu fêter avec lui.

Je regarde, cette silhouette allonger à côté de moi, lui à côté de moi. Je le regarde, je l’espionne comme chaque matin, quand je me réveille plus tôt que lui.

Une question me trotte dans la tête.

Qu’est-ce que je pourrais lui offrir ?

Un cadeau ?

Mais qu’elle cadeau ?

Un bracelet ? Il n’en porte jamais. Un collier ? Pareil que le bracelet, il n’en porte jamais. Une casquette ? Il les a déjà tous. Un ordinateur ? Ce n’est pas un cadeau que l’on peut faire à la personne que l’on aime, en plus il en a déjà un tout neuf. Une voiture ? Euh … trop chère.

Je sans une main remonter le long de ma jambe. Je remonte alors mes jambes pour les plier contre mon buste. Une tête avec des tresses noires, un visage d’ange encore endormi passe de dessous la couette pour apparaitre devant moi.

Je le regarde dans les yeux.

Je sans une main se poser sous mon menton, m’obligeant à relever la tête vers lui.

Je sans, tout d’un coup, mes joues prendre feu. Ce n’est peut-être pas la première fois qu’il me le dit, mais, sa façon de le dire, cette façon qu’on entend une seul fois dans notre vie, cette façon qui montre qu’il m’aime, une façon qu’il vient d’apprendre malgré lui.

J’approche mon visage du sien et l’embrasse, juste en surface.

La c’est pire que tout à l’heure, je bas même les tomates.

[…]

Enfin, j’ai trouvé ce que j’allais lui offrir. Je veux bien avouer de ma sœur ma beaucoup aider. Elle ma juste dit :

‘’ Offre lui quelque chose qui te plait à toi, ça lui plairas forcément. ‘’

Ce qui me plairait à moi, se serait … Un bracelet. Oui je sais c’est nul, mais j’ai toujours rêvé d’avoir, un bracelet qui peut me rappeler beaucoup de chose, qui peut être tout simplement offert par la personne qui vous est importante.

Là, je sors de la bijouterie. Il ne ma pas couter chez, il est simple, il est tout simplement beau. Je garde la petite boîte bleue dans mes mains et rentre chez moi.

[…]

Sur la route, je regarde un peut partout.

Mon regard croise, cette chevelure blonde, cette chevelure que je me souviendrais toute ma vie, maintenant mécher de noir, cette taille, bien plus petite que moi, cette fille qui était et sera toujours ma meilleur amie, elle est aussi celle de Val.

Je m’approche d’elle, je reconnaitrais se rire cristalline entre mille. Je suis derrière elle. Quelque pas encore et je serais à son niveau, quelque pas que je ne veux pas faire.

A cet instant, j’aurais aimé être transparente, ou ne pas être là. Tout les regards son sur moi, tout ces visage si … parfait son tournée vers le mien si … imparfait.

D’un geste, que je connais presque trop bien, je mets ma capuche, cette capuche que je ne connais trop bien.

Je me retourne, tout en regardant mes pieds, j’avance, mais ne recule pas.

[…]

J’arrive devant chez moi, tout le long du chemin, je me suis promis de ne pas repenser à ce que cette fille avait dit, de ne pas rejeter ceux qui m’entours, de continuer comme avant, avant que j’entende cette phrase.

Je monte vite les marches qui me séparent de ma chambre, pour cacher le cadeau de Tom, et le cadeau de Bill, je lui ai acheté tout simplement une bague, que je pense qu’il n’a pas, une petite boîte les rouges.

Je reste debout devant mon armoire, espérant que les cadeaux ne se voient pas. Je sans des bras entourer ma taille, des mains se pose sur mon ventre tout en relevant doucement mon T-shirt.

Je me retourne et le regarde.

Je ne réponds rien, à quoi bon si c’est pour lui mentir.