[T] Lies

Je sens qu'il va y avoir de l'action à cette soirée !!!!!! J'adore

La suite !!!!!!!!!!!!!

Chapter 17 : « Love is fire. Burns down all that it sees. Burns down everything. Everything you think will burn everything you say. » Part 2 [Just a car crash away - Marilyn Manson]

Je pense que si il n'y avait pas eu Liam à cette soirée, tout se serait passé autrement. Je me serais enfuie, réfugiée dans mon studio pour y rester enfermée des jours et des jours. Je ne serais sortie que pour aller en cours. J'aurais tenté de tuer petit à petit mes souvenirs. Ou peut-être que je serais resté à la soirée, à essayer de joindre Bill, Gustav ou Georg. Cela aurait été plus sensé. Ou bien, peut être qu'avait toute la vodka que j'avais dans le sang, je serais allé par la fenêtre de l'appartement de Lola. Qui se trouve au cinquième étage.
Mais Liam était là. Et ce qui se passa fut bien pire que tout ce que je viens d'énumérer. Depuis que Tom était parti, je cherchais la moindre petite chose pour lui faire des reproches. J'inventais toutes sortes d'histoires, certaines étant à dormir debout. Je ne sais pas pourquoi je m'efforçais de faire renaître le conflit à chaque fois. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris d'envenimer les choses ce soir-là...

Je suis arrivé vers vingt et une heure chez Lola. La fête battait déjà son plein. La plupart des personnes présentes m'étaient inconnu. Je m'étais trop longtemps absenté. Mon amie, qui était en train de se servir au bar, m'aperçut et vint aussitôt à ma rencontre. Elle se jeta dans mes bras, m'envoyant ses cheveux dorés me chatouiller le visage.
-Je suis contente que tu sois venue !
Je ne trouvais rien à répondre. Déjà, mon regard s'était posé sur le fond de la pièce. Je croisais le regard émeraude de mon ex-petit ami. Il était assis sur un des petits canapés en cuir noir du salon. Ils avaient été repoussé contre mur, pour faire plus de place au centre. Liam me détailla sans gêne.
-Lola... Tu as invité Liam ?
-Euh et bien... Oui. Enfin il reste mon ami quoi...
Elle parut paniquée durant une seconde. Je lui fis un petit sourire rassurant et me dirigeais vers le bar, la blonde sur mes talons. Elle se pencha au dessus du comptoir et murmura quelque chose à l'oreille du barman. Il acquiesça. Je l'interrogeais du regard.
-Je vais te remettre d'aplomb. Fit-il avec un clin d'oeil.
Le barman revint avec un plateau sur lequel étaient disposés dix verres de petites tailles. Shooters. Dans chacun, il mit une dose de sirop, en variant les couleurs. Après cela, il finit de remplir les verres avec de la vodka. Lola en prit un. Je fis de même.
-Nasdrovia ! Fit-elle en trinquant avec moi.
Un. Cul sec. Deux. Cul sec. Trois. Cul sec. Quatre. Cul sec. Cinq. Cul sec. Lola commanda un nouveau mètre, alors que mon portable se mit à vibrer. « Tom ».
-Allo ? Dis-je d'une voix un peu euphorique.
Aucune réponse. Juste une rire affreusement féminin. Des mots bafouillés en américain avec un accent horriblement allemand. Je raccrochais, le coeur battant à tout rompre.
-C'était qui ? Demanda Lola.
-Oh Tom. Il a dut appeler sans faire exprès... Ca lui arrive...
Ma voix était rauque. Je pris les nouveaux shooters et les but l'un après l'autre sans attendre mon amie. Après ça, je me levais en titubant de ma chaise haute. Le monde tournait autour de moi. Je sais plus si c'était dû à l'alcool ou à cet appel. Je faufilais dans la foule, sur la piste de danse et me laissais aller au rythme de la musique. Les pensées se bousculaient dans ma tête. Mais je dansais sans m'arrêter. Les minutes passaient, ma peau se couvrait de sueur, je fermais les yeux. Il fallait que je sache. Je repérais rapidement la porte d'entrée et y parvenais tant bien que mal.
Dernier appel. Rappeler.
-Allo ? Répondit Tom, un rire dans la voix. Allo ?!
-C'est qui, Tom ?
La même voix. Il n'était pas seul. Encore une fois, je raccrochais sans avoir dit un mot. Une bouffée de panique me prit, tandis que je balançais mon téléphone sur le sol du couloir désert. Cette fois, il n'a pas survécu. Une phrase tournait sournoisement dans mon esprit ; « Mais tu ne viendras pas pleurer quand ce connard te tromperas avec la première venue. » Liam avait raison. Comment j'avais pu croire une seule seconde qu'il tenait à moi ? Je pris une profonde inspiration et pénétais de nouveau dans l'appartement bruyant. Lola avait disparu. Mais pas lui. Il était toujours assis. Il me regardait toujours. Sans hésiter, j'allais m'asseoir à son côté.
-Bonsoir, Freya. Comment vas-tu ?
-Super. Et toi ?
-Ouais ouais. Toujours avec Tom ? Demanda-t-il sans parvenir à masquer sa curiosité.
-Oh, non.
Il me dévisagea. Je soutenais son regard. Je ne sais pas comment, mais la seconde qui suivit mes lèvres avaient pris possession des siennes et mes bras le serraient contre moi.

J'espère pour elle que Tom était vraiment en train de la tromper avec cette fille sinon elle est trop dans la merde !!!!

Une autre suite

J'espère que l'histoire vous plait toujours. Il va donc y avoir, vous vous en doutez, une dernière complication mais on se rapproche de la fin. Déjà, oui. M'enfin je dirais qu'il reste encore quatre, cinq suites sur deux trois chapitres et peut-être un épilogue.

La suite ce week end PEUT-ETRE. Mais encore et toujours les révisions. Demain j'ai mon oral d'italien. TOUT VA BIEN. Aucune pression. *dead*

Autrement, si vous avez une quelconque remarque à faire, je suis à votre écoute.

De la fin, tu veux dire? Bah ouais Ce genre d'histoire, j'aime pas les faire traîner en longueur. Peut-être qu'à la fin, j'en posterais une autre, plus longue.
Pour le moment, je suis en plein bac donc pas de suite avant le 22/23. Sais pas encore.

Suite!!!

Chapter 18 : « It's too late to apologize, it's too late. I said it's too late to apologize, it's too late... » Part 1 [Apologize – One Republic]

Je me réveillai avec un douleur lancinante au sommet du crâne et la bouche pâteuse. J'étais dans un lit d'où l'odeur qui émanait n'était pas la mienne. Un mélange floral et sucré. J'ouvris difficilement les yeux et me retrouvait nez à nez avec Lola. Elle dormait encore, et l'on pouvait voir ses yeux remuer sous ses paupières closes. Je ne voulais pas me remémorer la veille. J'en viendrais forcément à me souvenir d'instants désagréables. Je me levai, en constatant que je portais toujours me robe en cuir, et me dirigeais vers la cuisine où un bon nombre de personne comattait sur les canapés, dans les fauteuils ou à même le sol. Liam n'était plus là.
Je pris dans le frigo une petite bouteille d'eau et la vidait d'un trait. Depuis mon réveil, j'éprouvais une sorte de manque, sans pouvoir mettre le doigt dessus. C'est en fouillant dans mon sac, que je compris. J'ouvris la porte de l'appartement et y découvrit mon portable en plusieurs morceaux. Je ne pouvais plus résister à l'afflux d'images et de sons qui me revenaient. La rire haut perché et les mots anglophones prononcés à l'américaine. Et le rire de... Son rire. A lui, celui que j'aimais plus que tout au monde mais qui n'était pas en écho au mien, cette fois. Liam. Notre baiser. La panique qui m'avait alors submergé, sans que je puisse stopper notre échanger sensuel. Si Lola n'avait pas été là, je me demande jusqu'où Liam aurait profité de mon ivresse. Elle m'a vu, dès que mes lèvres se sont posées sur celle de mon ex-petit ami, quelque peu alcoolisé aussi. Une fois Liam viré de son appartement, elle avait pris soin de m'enfermer dans sa chambre afin de limiter mes bêtises. J'en avais assez fait.
Je pris une profonde inspiration, ravalant le sanglot qui menaçait d'exploser. Je ramassais les débris de mon portable, pris l'ascenseur et descendit. L'air frais me fit du bien. Je me rendis vers le centre de la ville et attendis qu'un taxi se montre.

Une fois revenue chez moi, après une longue douche, je décidais qu'il était temps de mettre les choses au clair. Armée de mon ancien et antique téléphone, je composai le numéro de Bill. Une tonalité. Deux tonalités. Trois tonal...
-Oui ? Freya ! Bon sang, mais...
-Je ne veux pas parler à Tom. Alors évite de crier comme ça. Sinon, tout le continent américain saura avec qui tu es au téléphone !
-Bon... Soit. Que se passe-t-il ?
-Résumons. Tom m'a accidentellement appelé hier soir, alors qu'il était en compagnie d'une... Fille. (Un autre mot voulait sortir mais je retins ma colère). Je l'ai rappelé et il n'était visiblement toujours pas seul. J'ai détruit mon portable. Etant chez Lola, j'avais bu. Liam était là. On s'est embrassé.
Une silence suivit mes aveux.
-Tom était avec une fille hier soir ? Demanda finalement Bill, d'une voix tremblante.
-Oui. De toute évidence.
-Merde...
Il paraissait triste, un peu irrité, un peu embêté. Mais pas le moins du monde étonné.
-Bill ? Qu'est-ce qu'il y a ?
-Ecoute... Il ne t'a pas trompé. Je peux te l'assurer, étant donné que nos murs sont fins et qu'il rentre tous les soirs seul. La plupart du temps nous sommes avec lui. Et c'est vrai qu'il a tendance à... Comment dire ça ?
-Comment dire quoi ? Criais-je presque, une boule au ventre.
-Ca doit être dans ses gênes, mais il ne peut pas s'empêcher de... Flirter. Sans aller plus loin. C'est tout...
-C'est tout ?! Tu te rends compte de que tu dis ?!
-Oh ! Je n'y suis pour rien. Et je n'amoindris pas ses gestes. Tout comme les tiens. Il me semble t'avoir entendu dire que tu avais embrassé ton ex hier.
-...
Il n'avait pas tort. Comment pourrais-je en vouloir à Tom après avoir fait ce que j'avais fais ? Bien que mon geste n'ait pas été prémédité, mais provoqué par les voix unies de mon amour et de son... Amie.
-Tu es sur qu'il n'a rien fait d'autre avec cette poufiasse ?
Je n'avais pas pu retenir les insultes plus longtemps.
-Certain. Je ne sais pas qui elle était mais lui et moi avons passé la soirée ensemble. Donc il a dû lui parler avant que je ne sois là. Et il était avec Georg. Si il s'était passé quelque chose, crois-moi que...
-Ouais, ouais. D'accord. Je pense qu'il faut que nous en parlions, dans ce cas.
Après quelques mots sans importance, nous raccrochâmes. Le plus difficile était à venir. Je portais de nouveau mon téléphone à mon oreille, attendant que le frère jumeau de mon précédent correspondant décroche.

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Suite?

I love!!!! Je veux une photo!!!

suite bitte j'aime trop

Chapter 18 : « It's too late to apologize, it's too late. I said it's too late to apologize, it's too late... » Part 2 [Apologize – One Republic]

J'attendais dans le grand hall de l'aéroport de Berlin. Toutes les minutes, je voyais une personne émerger du couloir de débarquement et lorsque je la voyais rejoindre quelqu'un d'autre que moi, je portais mes ongles à ma bouche. Au bout d'un quart d'heure interminable, je vis un homme relativement bronzé, les cheveux noirs corbeau tressés sur son crâne recouvert par un bonnet noir, un grosse paire de lunettes sur le nez, bien que l'absence de soleil n'en nécessitait pas le besoin. De plus, il était parfaitement reconnaissable. Mais comme son arrivée sur le sol allemand n'était pas prévue avant des mois, il n'y avait pratiquement pas de fans. Juste deux ou trois qui le ralentirent un peu plus. Lorsqu'il releva la tête vers moi, il afficha un sourire. Je tentai de lui retourner. Il n'était pas encore au courant du pourquoi de son retour précipité. Lorsque je l'avais eu au téléphone, une semaine plus tôt, je n'avais pas eu la force de lui parler de nos débauches respectives. Je l'avais seulement supplier de venir. Il avait tout de suite accepté, à mon plus grand étonnement. Etant donné l'expression ravie de son visage, j'en concluais que son frère ne lui avait rien dévoilé. Je le remerciais intérieurement.
-Freya, mon amour. Fit-il, en me lâchant son bagage et en me prenant tout contre lui.
Il embrassa le sommet de mon crâne, en soupirant de doux mots qui me serrèrent le coeur. Je parvenais de moins en moins à me souvenir de ce que nous devions aborder. Je m'écartais légèrement de lui et pris son visage entre mes mains. Il déposa ses lèvres sur les miennes. Je l'attirais à moi, en passant mes bras derrière sa nuque. Lorsque je demandais l'accès à sa bouche, les larmes au bord des yeux, il relâcha en souriant. Je cachais mon visage.
-Et si on allait chez toi ? Me proposa-t-il.
J'acquiesçai. Je ne pouvais décemment pas m'exprimer à haute voix. Il aurait perçu mon tremblement. Le trajet se fit en silence. Nous étions à l'arrière d'un taxi, mais cela n'empêcha pas Tom de m'embrasser à pleine bouche de temps en temps, ou de déposer quelques baisers partout sur mon visage. De me faire me sentir coupable.
Une fois à l'appartement, il me jeta sur mon lit, le porte à peine fermée, et se mit au dessus de moi, sans cesser de m'embrasser. Très lentement, des mains parcoururent mon corps, glissant sous mes vêtements, me déshabillant, me faisant gémir. Je ne pouvais retenir les miennes de redécouvrir la peau de celui que j'aimais plus que tout. Jusqu'à ce que le flot de larmes me submerge enfin. Je craquais. Car les pensées fourmillaient dans mon esprit dans le même temps. J'avais tant envie de lui. Mais je ne pouvais pas faire ça.
-Que se passe-t-il ?! Me demanda-t-il, inquiet.
Il se releva. Me yeux s'attardèrent sur son torse nu, tandis que je remettais mon t-shirt.
-Et bien, je pense que nous devrions parler. C'est la raison pour laquelle je t'ai fais venir.
-Ah bon ? Je t'écoute alors...
Une pointe d'angoisse trahissait son visage impassible. Il caressa ma joue du doigt, m'encourageant à poursuivre.
-Je vais pas y aller par quatre chemin... Il y a une semaine, j'ai été à la soirée de Lola. Tu m'as appelé, malgré toi, et... Je t'ai entendu avec une fille.
Son visage se décomposa. Il ne dit rien.
-Je... Je ne savais pas quoi penser. Bafouillais-je, en me tordant les doigts. J'étais persuadé que tu... Il y avait Liam à la soirée... Je... Nous...
Je fis une pause pour reprendre mon souffle. Les hoquets m'empêchaient de parler correctement.
-Tu as couché avec lui ? Me demanda Tom, la voix tremblante.
Cela ressemblait plus à une affirmation qu'à une question. Je relevais subitement la tête vers lui, les yeux arrondis.
-Non ! Jamais ! Je l'ai... Embrassé.
Je baissais la tête en prononçant le dernier mot. Je ne supporterais pas de voir la haine sur son beau visage. Le tristesse causée par ma faute.
-Je n'ai rien fais avec cette fille tu sais. Je te jure que je ne t'ai pas trompé...
Je risquais un coup d'oeil. Ses yeux brillaient, me suppliaient.
-Je sais, Bill m'a dit... Le lendemain...
-Je ne t'en veux pas Freya.
-Pardon ?
Il avait l'air sérieux.
-Non , je t'en veux pas du tout. C'est à moi que j'en veux.

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Suite?

Bah encore heureux qu'il lui en veut pas, c'est quand même un peu sa faute tout ça !!!

J'aime beaucoup cette suite et je suis contente qu'aucun des deux n'ai fait de conneries.

Une autre suite

J'aime suite bitte

Désolé pour l'attente. Je ne suis même pas sûre d'avoir encore des lectrices mais bon... Voici la suite!


Chapter 19 : « When you go, would you even turn to say 'I don't love you, like I did yesterday' » [I Don't Love You – My Chemical Romance]

Je ne compris pas le sens de savoir. Il ne m'éclaira pas. Au lieu de cela, il prit son visage entre ses mains et se laissa tomber en arrière. Il resta ainsi quelques minutes. Je n'osais pas bouger, je ne savais que penser de notre échange. Qu'est-ce que tout cela signifiait ? Je lui en avais voulu, sur le moment. A présent, tout ce que je voulais, c'était qu'il me prenne dans ses bras et qu'il me rassure. Qu'il me dise que rien de plus ne se produirait, qu'il m'aimait, qu'il viendrait plus souvent. Aussi souvent que j'en aurais envie. Je voulais tout oublier. Je n'aurais jamais du l'appelait. Je n'aurais pas du en parler. Je n'aurais pas du tout gâcher. C'était trop tard. Je l'avais déçu. C'était ce que je pensais. Mais ce qui tourmentait Tom à ce moment était loin de ce que je pouvais imaginer. C'était pire que tout.
Ne supportant plus cette distance entre nous, je m'allongeais à ses côtés et me collait contre lui, passant ma main sur son torse, de son ventre, caressant ses abdos, remontant sur son torse. Il baissa son regard vers moi, l'air torturé. Je me redressais vers son visage et déposais mes lèvres sur les siennes. Je pressais doucement ma bouche sur la sienne et attendit une réponse. Il enfouit son visage dans mon cou, y laissa un dernier baiser et se leva. Je m'assis.
-Je vais à mon appartement. On se voit plus tard, ok ?
-Attends Tom... Je..
-Plus tard, Freya.
Il hésita, tendit la main vers moi et la laissa retomber, en soupirant. Puis il m'abandonna là. Avec mes questions. Je ramenais mes genoux contre ma poitrine et me balança d'avant en arrière, tentant de ravaler mes larmes. Mon portable mit fin à ma transe.
-Oui ? Dis-je d'une voix étouffée.
-Freya, c'est Bill. Alors ?
-Je ne sais pas.
-Comment ça ?
-Il est reparti. Je dois le voir plus tard. C'est ce qu'il a dit.
-Ah...
-Excuse-moi, Bill mais je vais te laisser...
-Non je comprends... Tiens-moi au courant...
-Ouais.
Je posais violemment mon portable sur la table basse face à moi et me relevais. Je me mis à faire les cent pas. Il allait rompre. C'était certain. Je le connaissais mieux que quiconque. Mis à part Bill, bien sûr. Je me sentis soudain nauséeuse. Si il me lâchait maintenant, je ne m'en remettrais pas. C'était bien pire que l'année dernière. J'avais eu des espoirs. Je l'aimais plus que tout. Je ne pouvais plus vivre sans lui. Non...
Mon portable vibra m'annonçant un message. Un message, bon sang.
« Viens chez moi ce soir, vers 18h. Il faut qu'on parle. Tom »
Le fameux « Il faut qu'on parle ». Je n'avais même pas envie d'y aller, car je connaissais l'issue de cette soirée. Elle ne durerait pas plus d'une heure. Pas plus d'un baiser. Mais de ce baiser, j'en avais besoin, pour la dernière fois.
Je pris un soin considérable à me préparer. Comme si cela pourrait changer quelque chose. Je mis une petite robe verte qu'il m'avait offerte avant son départ. Je m'appliquais un maquillage assorti et mis des chaussures satinées à talons aiguillés. Avant de sortir, j'enfilai une veste en velours noir et pris mon sac à main.

-Entre, Freya.
L'entendre prononcer mon nom me déclencha des frissons. Je pénétrai dans le salon. Aucune odeur provenant de la cuisine. Il ne me proposerait même pas de dîner. Il me débarrassa de ma veste et l'accrocha. Après cela, il se mit dernière moi et déposa des dizaines de baisers dans ma nuque et sur mes épaules. Pourquoi ? Il inspira profondément et m'invita à m'asseoir. Il en fit de même.
-Je suis vraiment désolée Freya.
-Pour ?
-Tu sais...
-On parle de quoi alors ? Fis-je en l'ignorant.
-De... Nous.
Je plongeais mon regard dans le sien, tentant de déceler quelque chose qui pourrait m'aider à le comprendre. Il l'air de quelqu'un qui allait rompre. Mais ce qu'il avait fait précédemment laissant prétendre autre chose.
-Tu voulais dire quoi tout à l'heure, quand tu as dis que tu t'en voulais à toi ? Demandais-je la voix tremblante.
-Je m'en veux de t'avoir fait.. Espérer.
-Pardon ?
-Tu as du penser que nous deux... C'était possible. Or je me suis rendu compte que ce n'était pas le cas.
-Pardon ? Répétais-je, la voix vide.
-On aurait pas du se mettre ensemble. Je... Je ne veux plus.
Aucun son ne pouvait plus sortir de ma bouche maintenant. Il rompait. Pire. Il me laissait entendre que...
-Je ne t'aime pas, Freya. Oublie-moi.
-Mais...
-Et je suis désolé pour tout.

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Alors? Suite?

Mais le salaup !!!!!!!!!!! C'est pas possible, il peut pas dire ça !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Tu peux pas t'arrêter là, je veux la suite s'il te plait !!!

non pourquoi tu a couper la je veux la suite bitte !!!!