[T] Lies

j'aime tellement que je suis prête à prendre sur moi et à patienter le temps qu'il faudra ^^

MAIS JE LA VEUX CETTE SUITE

Voilà la suite


Les garçons n'eurent pas autant chance en boîte, niveau anonymat. On aurait dit que toutes les groupies de TH d'Allemagne s'étaient donné rendez-vous à la discothèque. Dès notre entrée, Georg me conseilla se s'éloigner d'eux pour le moment, que dans le cas contraire je risquais de mourir dans d'atroces conditions. J'allais donc prendre un verre au bar. Au bout d'une heure de séances d'autographes pour eux et de vodka coquelicot pour moi, je commençais à perdre patience. Je me relevais de ma chaise haute en titubant et allais voir les garçons.
-On peut passer notre soirée d'adieux ensemble, peut-être? Leur proposais-je.
Tom, qui était en train de se faire prendre une photo avec une blondasse accrochée à lui, me lança un sourire.
-Tu as raison. Dit-il.
Ils vinrent avec moi à une table libre. Tom ne lâcha cependant pas son écrevisse blonde. Elle s'assit sur lui lorsque nous nous installâmes. Je ne les lâchais pas des yeux.
-Tu es encore malade, Freya? Me demanda Gustav. T'es genre hyper flippante là...
Je ne lui répondis pas.
-Tu veux danser Freya? Me demanda Georg.
Il n'attendit pas ma réponse et m'attrapa le poignet pour m'éloigner des autres. Il me glissa à l'oreille:
-Qu'est-ce que t'as? Tu connais Tom, non? C'est pas la première fille ni la dernière.
-Je savais. Mais pas à ce point.
-Ah...
Je me décidais enfin à poser mon regard autre part. Je me rendis compte que nous étions sur la piste et que je dansais machinalement avec Georg. Je passais mes bras autour de son cou et me laisser aller. Il me rapprocha de lui et nicha son visage dans mon cou. Je fermais les yeux pour savourer. Jusqu'à ce que...
-Je peux te parler Freya?!
Tom se tenait à côté de nous, droit comme un piquet, le regard très froid. Là encore, il n'attendit pas que je répondes et m'entraîna vers l'extérieur. Puisqu'il y avait une queue monstre, il m'emmena sur le parking désert.
-J'aimerais bien avoir le temps de répondre de temps en temps!
-Tu devrais faire gaffe à Georg. Me dit Tom simplement, en ignorant ma remarque.
-Oh. Pourquoi?
-Il est du genre chaud lapin, tu vois... Donc...
-Donc, toi tu peux me sauter, mais pas lui c'est ça?
-Pourquoi tu le prends comme ça? Je pensais qu'on avait décidé d'oublier.
-T'es ridicule Tom. C'est toi qui dit ça alors que tu n'arrêtes pas de m'emmerder.
-Je te demande pardon?
-Tes câlins. T'es possessif, t'es jaloux... Sors avec moi si tu veux pas que je couche avec Georg!
-Je ne peux pas.
-D'accord. Salut.
Je suis partie. En courant, les larmes s'échappant de mes yeux, les pieds douloureux, le coeur déchiré, l'esprit épuisé. Je me souviens vaguement d'être arrivée chez moi et de m'être allongée encore habillée sur mon lit. Je fus réveillée le lendemain par les rayons du soleil. J'avais un goût d'alcool dans la bouche. Des brides de la soirée de la veille me revinrent immédiatement en mémoire. Ainsi que le fait que les garçons devaient partirent dans la matinée. Un choix s'imposa alors à moi; Il était neuf heure et demi du matin, je pouvais donc aller décuver en cours même si j'avais loupé les deux premières heures de littérature, avec une gueule de bois monstrueuse. Ou bien, courir chez les Kaulitz, me jeter dans les bras de Tom et lui qu'il était devenu peu à peu ma raison de vivre. Ouais, un peu cucul. Mais j'allais y aller, ne serait-ce pour ne pas se quitter dans de mauvaises conditions. Je fis un tour rapide dans la salle de bain pour me brosser les dents et sortis tel quel de chez moi, en ignorant les exclamations étonnés de mes parents qui étaient en train de prendre leur petit-déjeuner et qui pensaient jusque là que j'étais au lycée. Avec un peu de chance, le groupe ne partirait qu'à dix heure et je pourrais leur dire au revoir.
Et je me suis totalement plantée. Lorsque je suis arrivée en sueur à la maison de Tom et Bill, leurs parents m'ont annoncé avec un regret évident que leurs bus étaient partis à huit heures.
Pas mal comme adieux.

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Je continue?

XD il est culotté le Tom pour venir dire que Georg c'est un "chaud lapin"...Il s'est regardé lui??!^^

Mais ouiii je veux que tu continues

J'aime beaucoup ta fiction !! Elle est très bien écrite et la relation entre Freya et Tom est passionnante !!

J'ai hâte de lire la suite

Contente que cela plaise toujours
Je vais changer le titre dans les jours à venir car celui-là ne convient pas vraiment. Je vous le ferais savoir

Donc le titre sera LIES. Je le changerais définitivement lorsque vous en aurez toutes pris connaissance. Voilà la suite, en espérant que l’ellipse ne soit pas trop brutale et que cela vous plaira


Chapter 5: « There's a big, a big hard sun » [Hard Sun - Eddie Vedder]

2 mois plus tard. J'avais obtenu mon Bac avec mention « Bien ». Deux mois de repos bien mérités s'offraient à moi. Je n'avais pas eu de nouvelles directes des TH depuis leur brutal départ, car nous n'avions pas eu le temps d'échanger nos numéros. Mais je me renseignais tous les jours sur le net, histoire d'avoir un semblant de connexion avec leur monde. Les photos de Tom avec une fille différente chaque semaine hantaient mon esprit et mes songes. Mais je ne pouvais m'empêcher de me faire du mal en allant les détailler à chaque fois que j'en avais l'occasion. Ne serait-ce que pour m'imaginer à la place de la blonde platine, aux seins siliconés et aux cuisses fines. Beauté artificielle qui avait tendance à plaire de plus en plus. Et je le sentais presque près de moi, ses mains chaudes sur ma peau, me couvant de son regard froid et protecteur qui me donnait l'impression d'être unique... Si seulement. Je ne savais pas quand je les reverrais mais j'avais l'espoir qu'ils viennent visiter leurs parents durant l'été. Et j'ai attendu. J'en avais même oublié mes projets d'aller à Cuba. Je ne voyais que lui. Je l'entendais siffler lorsque je jouais de la guitare, je sentais la chaleur de son corps lorsque je rêvais pour ensuite me réveiller brutalement enroulée dans mes draps froids de vide. Je ne pensais qu'à lui, inlassablement.
Pendant ce temps, mes parents avaient le soucis de me trouver un studio pas trop cher dans le centre de Berlin. Moi, je me disais que j'avais jusqu'à septembre et que ce n'était pas ma priorité.
La première semaine de juillet, je me rendis tous les matins au lac histoire d'entretenir mon bronzage au soleil et mes muscles dans l'eau. Je n'avais pas d'amis avec qui passer mes vacances. Je vivais uniquement avec les fantômes des membres d'un groupe adulé à travers toute l'Europe.

Mais le vendredi après midi, mon rêve se réalisa plus tôt que je ne l'avais prévu. Ce jour-là, ayant fini de remplir des documents et n'ayant plus de courses à faire, j'avais décidé de rester la journée entière au bord de l'eau.
Vers quatorze heures, j'entendis du bruit à quelques mètres. Des pas qui se rapprochaient. J'ouvris les yeux et ôtais mes lunettes de soleil. Lorsque je les reconnus, je me redressais vivement sur ma serviette.
-Vous... Je... Balbutiais-je, un peu perturbée.
-Félicitations pour ton bac! Me lança Bill en me faisant la bise.
-Oui bravo. Reprit Tom.
Il m'embrassa également les deux joues en effleurant ma hanche de ses longs doigts. Il souriait, ce qui me donnait bon espoir. Apparemment notre accrochage n'était plus qu'un mauvais souvenir.
-Comment savez-vous?
-On est passé chez toi avant de venir ici. On te cherchait. Nous avons discuté avec ta mère et voilà. Me répondit Bill.
-Vous êtes rentré quand? Demandais-je aussitôt.
-Hier soir. Dit Tom. J'ai failli venir chez toi mais Bill a pensé que tu devais sûrement dormir à une heure du matin.
-Ça ne m'aurait pas dérangé...
Bill, qui devait être au courant de la situation, s'éloigna en direction de l'eau, son portable à la main, nous laissant seuls. Tom s'assit à côté de moi. J'étais dans un tel état que j'aurais pu me pincer pour être sûre que l'odeur émanant de lui n'était une autre de ces hallucinations que j'avais dernièrement. Il me caressa timidement la main de la sienne. Je ne savais qu'en penser mais je le laissais faire.
-Tu m'as vraiment manqué, Freya. Et je tiens à m'excuser. J'ai été con. Tu fais ce que tu veux de ta vie, après tout.
-Oui... Murmurais-je.
Ma joie s'évanouit quelque peu. Ce n'était pas ce que j'avais espéré entendre. Qu'est-ce que tu dirais Tom, si je te répondais que ma vie s'était réduite petit à petit à toi? Je devenais pathétique.
Il se leva, abandonnant ma main.
-Ce soir, grosse soirée hein! Me lança-t-il avec entrain.
-Ah?
-Bah ouais, pour fêter tout ça!
J'essayais vainement de lui rendre son sourire.
-Avec Georg et Gustav? Demandais-je finalement.
-Oh non, ils sont en vacances quelque part... Euh...
-Gustav est à Augsbourg avec ses parents et sa soeur, pour voir le reste de sa famille qui y habite. Et Georg s'est offert une semaine sur la côte californienne. Le coupa Bill en revenant vers nous. Je viens de les avoir au téléphone d'ailleurs. Ils te passent le bonjour!
-D'accord.

Lorsque je suis rentrée chez moi en fin de journée pour me changer, j'ai fondu en larmes. J'ai ouvert la bouche pour en laisser sortir un hurlement silencieux. Je me suis recroquevillée sur mon lit, le temps que mes hoquets passent.
Je mis un t-shirt Long Clothing sur des bas résilles et une de mes Dr Marten's. Je me mis du vernis noir, de l'eyeliner et du mascara avant de sortir de chez moi. Les jumeaux étaient déjà là, en train de fumer un clope sur le trottoir, adossés sur la berline noire de Tom. Ce dernier me regarda de haut en bas, en fronçant les sourcils et en se grattant l'arrière du crâne. Après ce qui semblait être une intense réflexion, il me dit:
-C'est pas un peu court?
-Non. Y'a pire.
-Et?
Je lui répondis par un petit sourire en coin et montais à l'arrière de sa voiture.
-T'es sexy. Me fit Bill avec un ton encourageant et un clin d'oeil.
Tom démarra en trombe et nous emmena au centre de la ville.

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Alors? Suite?

J'aime toujours autant, ouiii suiiiite !! Et j'ai personnellement bien pris connaissances du nouveau titre ^^

Lies??!? mhmmm intéressant ^^

J'adore

L'ellipse ne me dérange pas du tout, au contraire on rentre vite dans le vif du sujet : le retour du groupe !!

Vivement la prochaine suite ^^

Je n'ai pas le temps de me relire, donc j'espère qu'il n'y a pas trop de fautes. Voici la suite:


Chapter 6: « Can you hear me? Can you feel me in your arms? » [My Last Breath - Evanescence]

Ce fut à la fin de cette soirée que le cauchemar démarra. J'aurais dû me libérer de ses liens plus tôt. Mais en fin de compte, je n'en avais pas du tout envie. J'aimais sûrement la façon de mon coeur se déchirait à chaque fois.
Nous avons mangé dans un restaurant assez chic. Je me sentis gênée pour Bill qui devait avoir l'impression de tenir la chandelle. Je n'avais moi-même pas du tout prévu cela. Tom qui ne me quittait pas des yeux, qui m'attrapait la main à chaque fois que je la posais un peu trop près de la sienne, qui collait sa jambe à la mienne. Si c'est pas du rentre dedans ça. Mon pauvre petit coeur n'en avait pas fini avec les palpitations, et mon estomac avec les tiraillements. J'avais du mal à me concentrer sur mon poulet. Finalement, au bout d'une heure interminable, et d'énormes fondants au chocolat, nous reprîmes le volant pour aller en boîte. Il ne devait pas y avoir encore beaucoup de monde à cette heure-ci. Enfin, à part la centaine de groupies et les quelques paparazzis qui attendaient notre arrivée à l'entrée.
-Comment ils ont su?! M'écriais-je, en me cachant comme je pus entre la banquette arrière et le siège avant.
-Nos fans sont pleines de ressources. Me répondit Bill, pas du tout surpris.
-Tu parles de fans... Marmonnais-je.
Tom alla néanmoins se garer sur le parking.
-Attends, on y va quand même? Dis-je, sans sortir de ma cachette.
-Ben ouais... T'inquiète on a l'habitude.
-Qu'est-ce que je suis rassurée...
-Ecoute, on va y aller d'abord, je te file les clés et tu nous rejoins lorsque la foule sera éparpillée, ok?
-Avant la semaine prochaine si possible. Ironisais-je.
Tom me glissa discrètement les clés, alors que les fans étaient déjà collées aux vitres tintées de sa luxueuse voiture. Ils sortirent très rapidement et commencèrent à jour des coudes pour entraîner les fans loin de la berline, et loin de moi par la même occasion. Je m'installais le plus confortablement possible sur la moquette de la voiture et attendis. De temps en temps, je jetais quelques coups d'oeil à travers la fenêtre pour m'apercevoir avec désespoir que la foule s'épaississait de nouvelles arrivées. Pour passer le temps, je me mis à détailler l'intérieur dans lequel j'étais piégée. Dans l'ensemble, c'était assez propre malgré quelques paquets de bouffe vides et une ou deux paires de chaussures qui traînaient. Mon regard se posa alors sur l'espace entre les deux sièges avant. Un des deux frères avaient oublié son portable. La curiosité l'emportant sur la raison, je m'emparais du Backberry noir. Je m'aperçus qu'il s'agissait de celui de Tom. Sans plus attendre, j'allais directement dans la section Messages. Il y en avait beaucoup mais à mon soulagement, seule une petite dizaine était adressé à des filles et ils n'étaient pas réellement joviaux. Le reste avait pour destinataires sa mère, Georg, Gustav et un certain Andreas. Je me rendis compte que beaucoup de ceux qui étaient adressés au dernier cité avait pour sujet principal... Moi. Celui-ci daté d'une semaine:
Tom: « Hé, mec! Dans une semaine, on rentre à Magdebourg. Il faudra qu'on se voit cette fois! J'espère que tu seras là. Je te présenterais Freya, tu sais la fille dont je t'ai parlé y'a pas longtemps. Elle est réellement génial. J'ai hâte de la voir. Bon, je dois bosser! Prends soin de toi, man. »
La réponse d'Andréas: « Freya, c'est ta copine ou un plan cul? J'arrive plus à suivre... Ouais je serais là fin juillet normalement. Tu restes tout l'été? »
Tom: « Ni l'un ni l'autre. Je ne sais pas vraiment comment je dois la considérer... C'est une amie mais tellement plus, en fait... On en parlera quand on se verra. Ouais, on reste tout l'été. On fera peut-être quelques sauts à Berlin mais je m'arrangerais pour qu'on soit là fin juillet. A bientôt alors, mec! »
Je restais interdite devant ces mots. Je ne savais réellement plus quoi penser de nous. Il disait que j'étais plus qu'une amie à celui qui semblait être son meilleur ami et je me plaisais à le croire. Cependant les images récentes des magazines à scandales le présentant avec plusieurs filles me revenaient systématiquement en tête...
Au bout de quelques minutes, je décidais de reposer le portable à l'endroit où je l'avais trouvé et je jetais un regard au dehors. Apparemment les garçons avaient réussi à entrer. Je me relevais tant bien que mal et sortis de la voiture rapidement. A l'intérieur, les jumeaux étaient encore sollicités. J'allais m'asseoir au fond de la salle, en commandant au passage une vodka orange. J'étais hors du temps. Je ne voyais pas les minutes passer. Je gardais mon regard fixé sur Tom, en train de signé des autographes encore et encore. Lorsqu'il me rejoignit discrètement, laissant Bill s'occuper des fans, j'avais toujours ce regard vide d'émotions.
-Tu vas bien, Freya? Me demanda-t-il.
-Allons nous-en... S'il te plaît...
A mon grand étonnement, et ce fut la chose qui me fit enfin réagir, il hocha la tête et m'attrapa la main. Nous sortîmes très vite, en courant presque. Reprenant mes esprits, alors que nous montions dans la voiture, je lui dis:
-Et Bill?
-Ne t'inquiète pas. Il comprendra. Je vais lui envoyer quelqu'un pour le ramener à la maison.
Durant le trajet, nous ne prononçâmes aucun mot. Il fit un geste pour poser sa main sur ma cuisse à moitié dénudée mais se ravisa. Nous arrivâmes devant chez lui. Il passa un coup de fil à un de ses chauffeurs. Puis le silence. Je n'osais pas le regarder. Allions-nous de nouveau commettre l'irréparable? Oui. C'était ce dont j'avais envie.
-Tom... Dis-je misérablement, en me tournant timidement vers lui.
Il ne me laissa pas finir et se pencha vers moi pour m'embrasser. C'était indescriptible. Electrisant. C'était ce que j'attendais depuis deux mois maintenant. Et je ne reculerais pas. Il interrompit son baiser pour sortir de sa voiture et venir m'ouvrir. Il m'emmena dans sa maison, puis dans sa chambre. Je pensais, que si ce moment arrivait, j'aurais l'impression d'être la énième fille à entrer de cette manière chez lui. Mais finalement, lorsqu'il posa ses lèvres sur mon cou, lorsque je me mit à repenser aux messages sur son portable, je me sentis unique. Lorsqu'il m'enleva délicatement ma robe et qu'il m'embrassa le corps, lorsqu'il me fit l'amour en me regardant dans les yeux, en me caressant le visage, je me sentis unique.
Mais combien de filles ont déjà dormi entre ses draps? Dans ce lit?
-Personne. Me répondit-il, en m'enlaçant tendrement.
Si c'était un mensonge, j'étais prête à le croire.

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Bien? Suite?

J'adore !!!! Leur relation est très spéciale et c'est ce que j'aime dans ta fiction mais bon j'espère que Tom ne va pas non plus lui faire trop de mal.

J'ai hâte de lire ta prochaine suite

Moi aussi j'aime beaucoup et je suis intriguée par leur relation, pour l'instant encore assez énigmatique ^^

Suiteuuu

Je vous mets la suite soit ce soir, et il n'y en aura pas demain, soit je vous la met demain. Cela dépendra de l'avance que j'aurais pris dans la soirée.
Si il y a des choses qui vous gênent, ou si vous avez des critiques constructives à me faire, je suis à votre écoute.

Je suis en parallèle en train d'écrire une seconde fiction que je posterais sûrement à la fin de celle-ci. Elle concernera également Tom x') et une jeune fille qui je qualifierais comme son homologue féminin. Une histoire qui cache un lourd secret et tout et tout. Mais je n'en dis pas plus car je n'ai moi-même pas encore décidé de la suite. Voilà

J'aime !
Mon premier post -avec ce compte- pour une fanfic qui me plait ♥
Franchement, j'ai hâte de lire la suite

Je suis flattée et contente que cela te plaise
Finalement je suis assez inspirée donc voici la suite et il y en aura peut-être une demain


Chapter 7: « It's a damn cold night, trying to figure out this life... » [With You - Avril Lavigne]

-Ah Freya, tu es là! Nous avons peut-être trouvé la perle rare!
Je venais en effet tout juste de rentrer de chez Tom. Cette fois-ci, c'était moi qui l'avait abandonné alors qu'il sommeillait paisiblement. En vérité, j'avais passé la nuit les yeux ouverts à hésiter entre rester près de lui ou m'enfuir. J'avais la tête là où vous savez, des cernes se dessinaient sous mes yeux vitreux et mes épaules voûtées témoignaient de mon immense fatigue. Mais mes parents avaient décidé de me prendre la tête avec leur fichu studio de mes deux!
-Ah oui? Dis-je en baillant.
-Oui! Huit-cent cinquante euros par mois de loyer et il se trouve, tiens-toi bien, juste en face de ton Ecole. N'est-ce pas merveilleux? Me répondit ma mère, un grand sourire aux lèvres.
-Si, ça m'a l'air parfait.
-Bon, tu as le temps de prendre une douche et nous partons le visiter ensuite. Fit mon père.
-Euh... Plaît-il?
-Dépêches-toi! Nous avons près deux heures de route à faire!
Histoire d'éviter les foudres de mon père dès le matin, j'allais sans plus discuter me laver et enfiler des vieux vêtements qui traînaient au fond de mon armoire. Je remis mes Dr Martens et rejoignis mes parents dans la voiture.
La route vers Berlin me parut interminable. Je gardais mon regard fixé sur l'écran de mon portable, attendant désespérément un message de Tom. Nous arrivâmes vers midi dans le centre de Berlin. Nous avions rendez-vous à treize heure avec l'agence immobilière. Nous avons donc eut le temps de manger dans un petit restaurant pas loin de mon futur studio. Mes parents étaient très excités. Sans même avoir vu l'endroit, ils pensaient que ce serait le bon. Et ils avaient raison.
Il était au deuxième étage d'un somptueux immeuble. Il comportait deux pièces, c'est à dire la relativement grande pièce centrale et la salle de bain/WC. Il y avait une cuisine américaine aménagée et de grandes baies vitrées éclairés la salle. Un petit balcon surplombé la place centrale. Quant à l'immeuble en lui-même, il était propre et les anciens locataires et le voisinage ne signalaient aucuns problèmes.
-On le prend! Il est fantastique, non? Freya? M'interpella ma mère.
-Oui oui, génial, merci...
Mon portable venait de vibrer. Fausse joie. C'était seulement Bill:
« Dommage pour hier soir. J'espère qu'on le se reverra dans l'après-midi. Par contre je ne sais pas où est passé Tom. Il est parti depuis midi. Je vais essayer de le trouver et je te recontacte. Bisous, ma belle. »
Je ne pris pas la peine de répondre. De toute façon, mes mains tremblantes m'en empêchaient. J'avais le coeur au bord des lèvres. Et ce n'était rien en comparaison à ce qui allait suivre.
Après avoir signé les papiers et toutes les conneries concernant le studio, nous rentrâmes à Magdebourg. Il était presque seize heure lorsque j'arrivais chez les Kaulitz. J'avais rapidement enfilé un jean plus convenable et un t-shirt de Kurt Cobain avant de venir.
Bill vient m'ouvrir:
-Ah, Freya! J'attendais ta réponse! Où étais-tu?
-A Berlin. Tu as retrouvé Tom?
-Euh...
Le teint de Bill devint rouge et il baissa les yeux avec gêne.
-C'est à dire que... Enfin il était au lac et puis il est revenu.
-Mais encore? Dis-je, en entrant sans avoir été invité.
La maison était vide. Ses parents devaient probablement travailler. Et Tom?
-Il n'est pas seul, en fait. Dit finalement Bill, piteusement.
-Oh.
Les bras m'en tombèrent. Le monde autour de moi s'effondra. Mon coeur eut un raté lorsque j'entendis un rire féminin dans l'escalier suivit de la voix du tressé. Je n'avais aucune envie de voir cela. Je bousculais Bill pour sortir, les larmes rendant ma vue floue. Arrivée au bout de la rue, sentant une présence, cela dit peut-être imaginée, derrière moi, je me mis à courir. Je courus comme je ne l'avais jamais fais, la peur au ventre. Mais la colère bourdonnant à mes oreilles. J'arrivais finalement au l'endroit où tout avait commencé. Je m'effondrais sur le sable. Je l'attendais. Je voulais qu'il vienne. Je voulais lui faire comprendre qu'il ne pouvait pas me faire ça. Si seulement j'en étais moi-même persuadée...
-Freya!
Enfin.
-Où t'étais cet après-midi?
-Ca n'a pas eu l'air de te perturber tant que ça de ne pas savoir où j'étais. Lui dis-je froidement.
Tom se stoppa à quelques pas de moi. Il devint livide.
-J'étais venu au lac, pour te voir. Répondit-il d'une voix blanche. Mais tu n'étais pas là et...
-Je m'en contrefous, Tom.
-Freya, hier soir ce n'était pas...
Je ne le laissais pas finir. Je me suis jetée sur lui, le projetant au sol. Mes larmes se mirent à couler tandis que mes mains étaient incontrôlables sur son visage. Puis mes poings. Il m'attrapa les poignets et me plaqua à son tour sur le sol, reprenant le dessus.
-Je suis désolé. Me dit-il. Mais je n'ai rien fait de mal. Hier soir n'était pas différent de notre première nuit ensemble!
Je ne bougeais plus. Il me regardait dans les yeux. Mes larmes cessèrent aussitôt. Je me dégageais de son étreinte et me levais. Puis, sans un regard, je partis. Il ne chercha pas à me suivre. Je me mis à marcher. Durant une heure, peut être deux, peut-être trois, j'errais dans la ville. Les gens que je croisais me jetais des regards furtifs. Je devais avoir l'air d'une morte-vivante, effectivement. Les yeux gonflés, mais le visage blême d'une nuit blanche et d'une bataille qui se déroulait dans mon esprit. Je finis par croire que tout était de ma faute. Si j'avais été là, il n'aurait jamais couché avec cette fille. Dans sa chambre! Je n'arrivais pas y croire. Seulement quelques heures après que nous ayons fait l'amour et qu'il m'ait affirmé que j'étais la seule fille à être entré dans sa chambre, il en invite une autre dans ladite chambre. Mais tout était de ma faute, oui.
Je ne m'étais pas aperçue que l'air s'était refroidi et que la nuit était tombée. Il devait vraiment être tard. Je pris le chemin de chez moi, en me disant que demain serait un autre jour et que nous ferions comme si il ne s'était rien passé. Oh, oui. Ce serait exactement ça.

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Suite?

Mais ce mec est trop con, ma parole c'est pas possible !!!!!

Je veux savoir la suite pleaaaaaaaaaase !!!!!!

Pouah il est vraiment irrécupérable ce mec ! Mdr
Une suite ! ♥

Chapter 8: « You know you're a cute little heartbreaker » [Foxy Lady - Jimi Hendrix]

En réalité, le lendemain je n'eus aucune nouvelle d'eux. Pas plus le jour d'après. Commençant à m'inquiéter des coups que je lui avais administré et de son absence, le mardi je décidais de l'appeler. Je tombais systématiquement le répondeur. J'enchaînais les SMS du style: « Je suis désolé... » ou « J'ai envie de te voir. ». Mais il restait silencieux à mes appels au secours. Finalement à cours de ressources, j'appelais Bill.
-Je n'ai pas plus de chance que toi. Me dit-il, lorsque je lui parlais du refus de Tom à répondre à mes coups de téléphones réguliers. J'ai du le voir deux fois ces deux derniers jours. Il est soit enfermé dans sa chambre à jouer et il sort tard le soir et rentre dans la nuit. J'ai un peu peur pour lui, j'ai remarqué un coquard. J'espère qu'il...
-Oh t'inquiète pas pour ça, c'est moi qui... Enfin j'étais énervée et...
-Hein?! Tu as frappé mon frère?!!
-Oh! J'avais mes raisons. Il est vraiment con quand il veut.
-Hum... C'est pas faux. Admit Bill.
-Bon tant pis, désolé pour le dérangement Bill. A plus tard, bisous.
-Ne t'inquiète pas. Tu peux me rappeler quand tu veux, voire même venir. Bisous.
Avec un soupir de désespoir, je reposais mon portable. Que faire? Je n'allais quand même pas passé le reste des vacances à envoyer des messages dans le vide et à me morfondre en l'imaginant se taper d'innombrables filles. J'eus alors une idée. Si il tenait un minimum à moi, il serait obligé de me répondre. Je composais son numéro pour la énième fois de la journée et, comme toujours, tombais sur son répondeur. Je dis alors:
-Ecoute Tom, j'en ai ras-le-bol, pour rester polie. Je suis prête à tout oublier pour que tout redevienne comme avant. On fera comme tu veux. Mais si tu ne réponds pas à ce message, je me barre. Je vais à Berlin. J'ai juste à faire mes bagages alors à toi de jouer, maintenant.
Après cela, les minutes me semblèrent des heures. J'avais un besoin pressant de l'entendre. Il le fallait. Car s'il ne me rappelait pas, je mettrais mes paroles à exécution. Car j'avais l'espoir stupide qu'il finirait par me suivre. Mais en premier, j'espérais qu'il m'aime assez pour me retenir.
Vibration. « Tom »
-Allô?! Dis-je, en décrochant à la première sonnerie.
-Viens chez moi, Freya. Moi aussi je veux te voir. Viens.
Il ne dit rien de plus et raccrocha. Toujours en pyjama, je sautais le jean que j'avais porté deux jours auparavant, je pris un débardeur noir dans le linge à repasser et mon Converses noires et je sortis en trombe de chez moi.
-Où est-ce qu'elle court encore? Entendis-je mon père dire.
-Les Kaulitz, Richard... Les Kaulitz. Fit ma mère, sans lever le nez de son livre à l'eau de rose.
Je traversais les deux pâtés de maison qui nous séparait en courant sans m'arrêter. Une fois devant leur porte d'entrée, je pris une seconde pour reprendre mon souffle. Tom m'ouvrit sans que j'eus le temps de sonner.
-Rentre. Viens, on va dans ma chambre.
Oh, non. Pas encore... Mais je le suivais malgré mes réticences. Il ne m'avait pas dis bonjour, il avait pris précaution à ne pas me toucher, il ne m'avait pas regarder dans les yeux. Culpabilité? Honte? Ou exaspération? J'avais tout de même remarquer qu'il lui restait un léger bleu sous l'oeil. Je mre repassais alors en boucle les raisons pour lesquelles je l'avais frapper et des larmes de rage montèrent à mes yeux. Mais je n'étais pas venue pour ça, au contraire. Il s'assit sur son lit et m'invita à venir à ses côtés.
-Tu ne m'as pas raté. Fit-il avec un petit sourire.
-Je...
Il tourna son visage vers moi. Et là, c'était son sourire. C'était ses yeux chocolats qui m'imploraient presque. Du moins, c'est ce que je pensais. C'était sa peau qui m'attirait vers lui, et qui me faisait oublier tout ce pourquoi nous ne nous parlions plus depuis deux jours. Ses mains sur ma taille, sur mes hanches... Son sourire, dont les lèvres irrésistibles me quémandaient un baiser. Nous n'en finirions jamais. Je voulais le posséder mais c'est lui qui me dominait et qui me contrôlait à souhait. Depuis combien de temps l'avait-il compris? Et je songeais que le seul moyen d'être avec lui était de supporter ses débauches, de ne rien dire. C'était l'unique façon d'obtenir un semblant de tendresse.

Fin juillet arriva et j'étais devenue l'objet de Tom, malgré moi. Je dépendais entièrement de lui.
Lorsqu'il me faisait l'amour, il pensait déjà à la prochaine fille qu'il pourrait se faire par la suite.

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Suite?

Qu'est ce qu'on ne serait pas prête à accepter par amour !? >.<
Ça me rappel d'affreux souvenir ça... j'espère que ça finira mieux pour elle =/
Envie de connaitre la suite ! ♥

J'en reste sans voix !! Je ne crois pas que je pourrai accepter ça, même par amour !!

Je pense que chacun est différent
J'ai fais de Freya un personnage fragile, se retrouvant sans repères et sans vie d'un coup. Tom a été sa seule attache. Après je ne dis pas que c'est sa roue de secours ou rien. Elle l'aime vraiment. Mais compte tenu des antécédents, elle est devenue prête à tout pour ne pas se retrouver de nouveau seule et arrachée à ce à quoi elle tient le plus.
Elle est aveuglée par l'amour en fait (fallait que je le sorte xD) mais ne vous en faite pas, ça va changer

moi jdis que c'est un gros cerclie vicieux tout ça...

SUITE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Chapter 9: « You're gonna cry, cry, cry and you'll want me there, It'll hurt when you think of the fool you've been. You're gonna cry, cry, cry. » Part 1 [Cry, Cry, Cry - Johnny Cash]

En général, Tom et moi nous comportions comme un vrai couple. Je passais le plus clair de mon temps a squatter chez lui, en l'invitant de temps à autre chez moi, malgré le mécontentement de mes parents. Il me tenait par la main lorsque nous nous promenions, il m'embrassait devant ses amis et sa famille. Mais je me rendais compte que tout ça n'était qu'apparence lorsqu'il sortait en boîte tout seul, et que, même si j'avais beau le harceler, il ne répondait ni à mes messages ni à mes appels. La nuit qui suivait, je ne dormais pas. Plusieurs fois, j'ai été tenté d'aller chez lui. Mais je me disais que si je le faisais, il ne me parlerait probablement plus jamais. Donc je restais dans mon lit, à me ronger les sangs.
Mais il y eut une fois où, cependant, la tentation fut trop forte. Vers trois heures du matin, j'avais enfilé un gilet par dessous mon pyjama-short, j'avais mis mes Dr Martens et j'étais sorti discrètement de chez moi pour aller chez les Kaulitz. Devant chez eux, je n'eus pas le cran d'appeler Tom pour qu'il vienne m'ouvrir. A la place, j'envoyais un message à Bill.
« Je suis devant chez toi. Tu dors? Tu peux venir? »
J'avais très peu d'espoir, évidemment. Mais une minute après, la porte s'ouvrit sur un Bill, encore habillé mais aux yeux fatigués.
-Qu'est-ce que tu fais encore debout? Demandais-je.
-Je répondais à des lettres de fans. Toi, tu viens voir Tom j'imagine... Rien ne t'arrête apparemment.
Il me fit un sourire triste.
-Il est dans sa chambre. Dit-il.
-Il devait aller en boîte ce soir... Est-ce qu'il est...
-Seul? Oui. En fait, il rentre toujours seul.
-Ouais, enfin sauf...
Je n'eus pas le temps de finir ma phrase. Tom venait d'arriver dans le salon, vêtu d'un caleçon. Il me dévisagea bizarrement, puis finit par me tendre la main.
-On va dormir? Me proposa-t-il.
Je le suivis jusque dans son lit, où nous nous sommes allongés sans un mot. Puis il m'a enlacé avant de s'endormir de nouveau.

Le lundi 25 juillet, Andreas arriva à Magdebourg, comme prévu. Bien que j'ai déjà été au courant bien avant ça, Tom me l'avait annoncé la semaine précédente. Il devait venir avec un ami à lui, de l'université où il étudiait. Les jumeaux étaient intenables à l'idée de revoir leur meilleur ami.
Tom me réveilla tôt le matin de leur arrivée. J'étais chez les Kaulitz depuis trois jours déjà. De toute façon, je n'avais rien à faire chez moi, mes parents étaient en voyage.
-On va chez Andreas dans une heure. Tu viens toujours hein? Me demanda-t-il, en me caressant les cheveux.
-Oui, bien sûr.
Je repoussais sa main, attrapais un de ses gilets et m'enroulais dedans. J'étais de plus en plus agacée par ces manifestations affectives. Sauf quand nous étions au lit, je me tenais le plus éloigné de lui. Je pris une robe d'été dans mon sac et des sous vêtements propres, et je m'enfermais dans la salle de bain pour me laver. En sortant, je mis la paire de spartiates que Tom m'avait offert la veille. Je rejoignis les jumeaux en bas. Ils étaient en pleine discussion avec quelqu'un au téléphone.
-Je viens à Magdebourg à la fin de la semaine. Gustav aussi. Ensuite, David veut qu'on retourne bosser je crois. Dit la voix qui venait du combiné mit en haut-parleur.
-C'est hallucinant! On n'a même pas le droit à des vacances entières! S'exclama Tom.
-On essayera de négocier. Peut-être qu'on pourra s'arranger pour revenir fin août... Fit Bill, conciliant.
-Ouais. Bon, je vous laisse les mecs. Bonne journée avec Andreas!
Je reconnus enfin la voix de Georg. Les garçons raccrochèrent et Tom s'aperçut de ma présence.
-Tu as entendu? Demanda-t-il.
Il me regarda des pieds à la tête. Je pensais au début qu'il appréciait la vue. Mais j'avais compris qu'il se souciait surtout du regard des autres si jamais je portais une robe trop courte. Car lui pouvait s'envoyer la terre entière, mais moi je devais l'attendre sagement et prétendre être sainte comme une vierge.
-Ouais.
Nous ne dîmes rien de plus. Il me prit la main et nous sortîmes, accompagnés de Bill. Andreas n'habitait pas très loin, et les rues étaient désertes. Nous arrivâmes avec un peu d'avance, mais les deux garçons étaient déjà là, à nous attendre. Tom resserra un peu plus autour des mes doigts. Andreas était un garçon au visage rayonnant et il nous fit un sourire radieux tout en nous disant bonjour.
-Ah, la fameuse Freya! S'exclama Andreas, en me faisant un clin d'oeil amical et en m'embrassant sur les deux joues.
Le garçon qui se trouvait à ses côtés était plus réservé mais ses yeux brillaient, cependant. Il serra la main des jumeaux, et quand il arriva à moi, son regard s'attarda sur mon léger décolleté. Puis il plongea ses yeux dans les miens.
-Je suis Zac. Me dit-il.
-Freya. Répondis-je, en fuyant son regard.

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Suite?