[T] Lies

nouvelle lectrice
et j'aimerai bien la suite

La suite ce soir, et après il n'en restera plus que deux et un épilogue!

Bon je la trouve pas terrible, vous m'en direz des nouvelles!


Chapter 20 : « Running over the same old ground. What have we found? The same old fears. Wish you were here. » Part 1 [Wish you were here – Pink Floyd]

(Point de vue omniscient/Tom)

« Tu mens. »
Cette phrase le hantait. Tout comme le visage de la personne qui l’avait prononcé. Elle avait dit cela dans un murmure avant de se pétrifier d’horreur dans le visage impassible de Tom.
Cela avait été les derniers mots qu’il avait entendu avant sa belle s’enfuie. Il avait toujours eu peur que leur relation à distance détruise tout ce qu’ils étaient parvenus à construire. Ses craintes s’étaient avérées fondées. Ils se faisaient du mal. Et il ne supportait pas de la voir vivre ainsi. Il aurait pu tout quitter pour elle. Tout et tout le monde. Excepté son frère. Il avait donc décidé de ne pas quitter les Etats-Unis. Il ne voulait pas non plus que Freya abandonne ses rêves pour lui. Il n’y avait qu’une solution. Celle qui briserait leurs cœurs mais qui, au fond, c’est ce qu’il pensait, était pour le mieux.
« Tu mens. »
Oui, il lui avait menti. Bien sur que oui. Comment pouvait-il ne pas l’aimer ? Elle était devenue la raison de son sourire et de vivre. Mais elle était partie malgré ses mots. Il avait pu voir sur son visage que ses pensées étaient en pleine contradiction avec ses paroles. Peut être qu’au fond d’elle, elle savait qu’il ne cesserait jamais de l’aimer. Mais ses peurs avaient repris le dessus. Il l’avait quitté. Il ne l’aimait pas. C’est ce qu’elle pensait désormais. Elle aurait pu lui arracher le cœur et le mettre en pièce sous ses yeux, cela aurait été beaucoup moins douloureux. Il aurait voulu répondre « Oui, je mens. » mais avant d’avoir eu le temps d’y songer, il avait compris qu’il était trop tard.
Elle n’avait rien tenté. Elle n’aurait même pas eu besoin de la supplier. Dès qu’elle avait quitté la pièce, il avait eut envie de la retenir.

Mais cela faisait maintenant presque deux mois qu’il n’avait pas entendu sa voix. Il n’avait pas essayé de l’appeler. Il n’en avait pas la force. Il passait ses journées allongé sur son lit, à fixer le plafond. Il n’était plus capable de rien. Il ne jouait plus, ne sortait plus, mangeait à peine. Son visage hantait ses journées et ses nuits.
Il y avait toutes ces photos sur le sol de sa chambre. Son odeur sur ses vêtements…
-Tom… Viens avec nous ce soir.
-Pas envie.
Bill pénétra dans la chambre sombre et s’assit sur le bord du lit. Il observa son frère qui ne quittait pas le plafond des yeux. Physiquement, Tom était présent. Mais ses pensées l’emmenaient ailleurs. Loin. Au-delà de l’océan, en Allemagne. Bill savait également que celle vers qui ses pensées allaient était aussi absente et seule que lui.
-Vous êtes aussi stupide l’un que l’autre ! Quoique toi, tu es vraiment pas mal. Un crétin fini ! S’exclama Bill, en se relevant.
Tom réagit. Une première depuis deux mois. C’était aussi la première fois que son frère évoquait ce sujet douloureux. Il s’étira et se leva.
-Elle n’y est pour rien. Il n’y a que moi.
-Freya ! Elle s’appelle Freya, bon sang ! A quoi ca te sert de faire comme si elle n’avait jamais existé alors que tu penses à elle sans arrêt ! Tu pourrais ne pas être là, ca reviendrait au même…
Tom plongea son regard dans celui de son frère, et celui-ci put y lire une peine immense. Sans attendre, Bill prit son frère dans ses bras.
-Je ne peux pas l’oublier.
-Appelle-la.
-Non. Je lui ai fais assez de mal…
-Elle n’attend que ça.
-Tu… Tu crois ?
- Sérieusement Tom, on ne cesse pas d’aimer quelqu’un comme elle t’aimait. Regarde-toi !
Il y eut un silence.
-Je sors avec vous ce soir.
-Bien. Et pour Freya ?
Tom ne répondit pas, se contentant de lâcher son frère. Bill soupira.
-Bon à plus tard…
Il sortit de la pièce, laissant son frère à ses songes. Ce dernier prit son portable et écrivit :
« J’aimerais être avec toi. »

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Alors?

Déjà la fin

J'aime beaucoup cette suite même si je trouve que c'est trop facile pour Tom, il lui brise le coeur et il espère qu'elle va lui pardonner comme ça !!!

J'ai hâte de lire la prochaine suite

alors que je débarque déjà la fin!!!
tant pis pour moi!!!
cette suite est très belle et c'est pour ça que je t'en demande une autre
SUITE STP!!!!

Voilà l'avant-avant dernière suite! J'espère qu'elle vous plaira...

Chapter 20 : « Running over the same old ground. What have we found? The same old fears. Wish you were here. » Part 2 [Wish you were here – Pink Floyd]

(Point de vue omniscient/Freya)

« J’aimerais être avec toi. »
Elle relu son message pour la énième fois de la soirée. Si seulement il était là, en face d’elle. Mais à quoi bon ? Tout était fini.
Freya se laissa tomber sur son petit lit. Elle venait d’arriver chez ses parents pour passer Noël avec eux. Lorsqu’elle avait reçu ce petit message quelques jours plutôt, elle avait tant espéré qu’ils rentreraient pour les vacances. Mais un texto de Bill l’avait aussitôt ramené sur Terre.
« Nous ne venons pas pour Noël. J’aurais tant aimé te voir. Il pense à toi sans arrêt. <3… »
Elle avait supprimé le message sans y répondre. A quoi bon ? Deux mois. Sans aucune nouvelle. Cela faisait deux mois qu’ils avaient rompu. Cette séparation avait été encore plus brutale que la première, un an auparavant. Ils avaient eu une relation concrète. De l’amour. Des sentiments. Enfin c’était ce qu’elle pensait.
-Freya, chérie, ta tante et ton oncle viennent d’arriver. Tu te prépares ?
La mère de la jeune fille pénétra dans la chambre sombre. Elle vit sa fille étendue sur son lit, secouée de sanglot. Elle s’approcha d’elle et s’allongea à son côté.
-Encore ce garçon ?
-Mmm…
Freya venait de s’apercevoir de ses larmes. Elle était devenue si insensible au monde qui l’entourait, à elle-même. Lui seul occupait ses pensées.
-Peut-être que le destin vous réunira. Ou autre chose. Ajouta-t-elle à vois basse.
-Maman, s’il te plait.
-Je l’ai tout de suite vu. La façon dont il te dévorait des yeux, le soir où on est allé dîner chez nos amis. Tu te souviens ?
-Comment pourrais-je oublier cette soirée… Le début de la fin.
-Oh, je t’en prie. Cesse de t’apitoyer sur ton sort. On ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve.
Freya leva ses yeux vides vers sa mère. Ce n’était pas son genre de sortir des phrases comme celles-ci. Qu’est-ce qu’elle cachait ?
-Cette année, nous avons innover pour Noël. Tu seras très surprise du cadeau que nous t’avons choisi.
Freya soupira. Chaque année, ses parents lui achetaient soit des chaussures, soit une robe qui valait une fortune. La plupart de ces cadeaux traînaient au fond de son armoire. Innover ? Peut-être lui avaient-ils acheté un gilet ou un pantalon hors de prix.
-Je prends une douche et je vous rejoins, maman. Ne t’inquiète pas pour moi, je vais très bien.
-Je ne m’inquiète pas. Fit sa mère en se levant et en se dirigeant vers la porte.
Elle jeta un dernier regard à sa fille et sortit, un petit sourire aux lèvres.
-D’accord… Murmura Freya.

(Point de vue omniscient/Tom)

-Tom ! On t’attend bon sang !
Bill rentra en trombe dans la chambre de son frère. Ce dernier sortait de la salle de bain, en caleçon.
-Tu permets Bill ? J’ai quand même le temps de m’habiller !
Il lui lança un t-shirt qui traînait par là.
-Maman a commencé à critiquer le salon, ne lui donne pas d’autres raisons d’être en rogne ! Grogna Bill.
-Tu m’étonnes, tu aurais pu au moins cacher tes fringues sous le canapé. Se moqua Tom.
-Ouais c’est ça. Allez, magne !
-Ouais, détends-toi !
Bill lui lança un dernier regard noir et sortit. Tom eut un sourire. Puis son cœur se serra lorsque son regard tomba sur son téléphone. Aucune réponse. Elle prit son visage entre ses mains et retint un cri. La soirée allait être longue.
Et elle fut interminable. Il ne fut pas mécontent de retrouver sa chambre. Ses parents avaient décidé d’attendre le lendemain pour la distribution des cadeaux.
Tom ne vivait le jour que pour mieux dormir la nuit. Lorsque ses rêves s’emparaient de son esprit, il se sentait bien. Il pouvait voir son visage souriant et son corps contre le sien. Il retenait ses larmes lorsque le réveil le ramenait à l’ordre.
Cette nuit-là, il revécut leur première nuit ensemble. Au bord du lac. Elle l’obsédait déjà tellement. Il sut qu’il l’aimait lorsqu’elle s’était abandonné à lui, toute entière. Mais elle fuyait, elle lui échappait, il la retenait, il s’agrippait à son image mais…
-Tom ! C’est l’heure des cadeaux !
-Dégage Bill, putain !
Il ramena la couette au dessus de sa tête et tenta de se rendormir. Mais elle était déjà partie. Au bout de quelques minutes, il émergea, déjà de mauvaise humeur.
-Tu as intérêt à t’être surpassé cette année, Bill. Car je te promets que…
-Oh ça va, des paroles, mais en attendant…
Tom se laissa tomber sur le canapé.
-Tu as bien dormi mon chéri ? Lui demanda sa mère, tout sourire.
-Superbement. Bon alors il vient ce cadeau, Bill ?
-En fait, tu ne l’aurais qu’au Nouvel An.
-Pardon ?

(Point de vue omniscient/Freya)

-Ton avion décolle le 30 à dix heure quarante-deux.

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Alors qu'en pensez vous?

mais tu peux pas nous laisser comme ça!!
vite la suite
je veux savoir si ils vont se retrouver!!!

Haha Le dernier chapitre est prêt mais je vais vous faire patienter encore un peu... x) Et je vais écrire l'épilogue

Après ça, j'ai bien envie d'en écrire une autre mais comme je m'en vais en Angleterre en Septembre, cela risque d'être compliqué. Mais bon, pourquoi pas?

Chapter 21 : « I hate you ! I hate you ! I swear to God I hate you ! Oh my God, I love you ! » [Kim – Eminem]

(Retour Point de vue interne/Freya)

Oui, mes parents avaient innové. Aucun vêtement cette année. J'aurais même pu me balader à poil toute ma vie pour ce cadeau. Un aller-simple pour Los Angeles. Un appartement acheté aux frais de mes parents et de Bill Kaulitz. Un transfert dans l'une des meilleures écoles de danse de la côté californienne. Bon, ce n'était pas Julliard mais tout de même. Comment pourrais-je me plaindre ? Je ne regretterai pas mon départ. Je pourrais rentrer pendant les vacances pour voir ma famille et Lola. Cette dernière m'avait accompagnée jusqu'à l'aéroport et s'était enfuie en sentant les sanglots lui monter aux yeux. Cela m'avait arraché un sourire. En vérité, je n'avais cessé de sourire depuis que mes parents m'avaient annoncé la nouvelle au matin du 25 décembre.
-Depuis cet été, nous nous démenons pour t'inscrire dans cette école. La semaine qui a suivi ta séparation avec Tom, Bill, qui était au courant de l'histoire, nous a ordonné de ne pas abandonner, qu'il était lui-même à la recherche d'un appartement. Nous avons reçu ta lettre d'admission la semaine dernière. Tu fais ta rentrée en Janvier.
Mes parents, Bill, Gustav et Georg aussi avaient aidé. Ils étaient tous dans le coup. Tous persuadés que notre histoire était évidente. Pourquoi ne l'avions-nous pas été ? Nous étions aveugles. Mais ce n'était plus le cas. Je savais qu'il était ma raison de vivre. Et c'était réciproque. Nous serions réunis dans quelques heures. Et rien ne pourra nous séparer alors...
Je venais d'atterrir à New York et de monter dans un second avion qui devait m'amener à Los Angeles, la destination finale. J'arriverais là-bas à neuf heure du matin. Je n'avais pas dormi depuis le décollage à Berlin. Mais j'étais trop nerveuse pour cela. Je savais pertinemment que je le regretterais par la suite, mais tant pis.

31 Décembre. 20H15.
J'étais dans le taxi qui devait m'emmener à la soirée du Nouvel An organisée par Bill et Tom Kaulitz. Dans une heure, tout au plus, je serais dans ses bras. Il serait à moi. C'était une évidence. J'étais vêtue d'une robe noire griffée trouvée dans la nouvelle armoire de mon nouvel appartement. Surement un autre cadeau des garçons.
20h20.
Le chauffeur semblait conduire si lentement que je faillis le lui faire remarquer. Mais ce n'était que moi et mon impatience.
20h22.
-Nous y sommes, Madame.
Je lui tendis un billet de vingt dollars et sortit sans attendre ma monnaie. Georg attendait à l'entrée de la salle des fêtes. Lorsqu'il me vit, il me fit un grand sourire et se dirigea vers moi.
-Tu aimes te faire désirer. Fit-il en me faisant la bise. Tu es magnifique. Il ne pourra pas te résister.
-C'est Bill qui a choisi la robe, j'imagine. Elle a du vous coûter les yeux de la tête !
-Une broutille. Et tu as en effet reconnu le goût subtile de Bill en matière de vêtement !
Il me fit un clin d'oeil et m'emmena à l'intérieur du bâtiment. Rien que le hall était impressionnant. Très haut. Sur la gauche il y avait un long comptoir qui tenait office de vestiaire pour la soirée. Je tendis ma veste et mon sac à la jeune fille, qui semblait s'ennuyer à mourir. A notre droite, se trouvait l'entrée de la salle, devant laquelle se tenait un videur avec une liste dans les mains. Georg me prit la main et nous nous dirigeâmes vers l'armoire à glace.
-Georg Listig. Je suis venue accompagnée, ce doit être indiqué.
-Oui, Georg Listig +1. Vous pouvez entrer.
-+1 ? Demandais-je en haussant les sourcils.
-Tout a été mis en oeuvre que ce soit une vraie surprise, Freya. Je te laisse ici. Bonne soirée !
Nous étions entré dans une salle pleine de monde. Une foule de visages célèbres. Mais je n'en reconnus qu'un. Il ne m'avait pas vu. Je pris une profonde inspiration et avança à petits pas. J'aurais voulu courir mais je n'aurais pas manquer de tomber, vu l'état de nervosité dans lequel j'étais. Mon coeur battait plus fort que la musique. Soudain, il s'arrêta. Car ses yeux plongèrent dans les miens. Puis il reprit sa course effrénée. Et j'accélérai le pas. Je fendais la foule comme si elle était inexistante. Il n'y avait que nous. Ses yeux chocolats dans les miens. Sa main enserrant mes doigts, m'amenant contre son torse. Ses bras entourant les miens. Et sa bouche contre la mienne, enfin.
-Freya... Murmura-t-il contre mes lèvres.
Il caressa ma langue de la sienne et m'écarta de lui pour me dévisager.
-Je t'aime. Dis-je.
-Je t'aime aussi. Toujours ! Toujours...
Il m'embrassa encore.
-Et je suis tellement désolé...
-Je t'ai déjà pardonné. Répondis-je aussitôt. Maintenant, c'est nous.

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Le voici, le voilà, le dernier chapitre! Alors? Un peu niais mais j'espère qu'il vous plait x)
Voulez-vous l'épilogue?

Oui j'avais pensé à des retrouvailles avec Bill mais je voulais que ce soit juste eux. Donc j'ai fais un choix
Oui une fin heureuse, en ce moment je suis plutôt d'humeur à ça. Epilogue ou pas?

Et en effet j'ai zappé pour le robe! J'ai mis le lien là.

oh que c'est mignon tout plein!!!
dommage que ce soit la fin!!
et moi aussi je veux bien l'épilogue!!!

Epilogue : « She is Everything to me, the unrequited Dream, a Song that no one sings, the Unattainable » [Vermillion Pt. 2 - Slipknot]

(Point de vue interne/Tom)

12 juin 2016.
Elle porte notre vie en elle. Pensai-je.
Freya, ses cheveux prunes attachés en un chignon lâche, observait les reflets du soleil sur l’eau lisse du lac. Notre lac. Autour de son cou gracile, une chaîne fine au bout de laquelle pendait une plume en argent. Son haut en soie claire recouvrait à peine son ventre arrondi. Ses jambes interminables et légèrement bronzés étaient un peu repliées. Du bout des doigts, je caressais sa cuisse nue. Puis je portais ma main à son ventre. A Billie.
-Tu crois qu’elle peut nous entendre ? Me demanda Freya, en passant ses doigts sur mon visage.
-Probablement.
-Mais peut-être qu’elle dort… Aïe, non, elle ne dort pas.
Je sentis en effet un mouvement sous ma paume.
-Peut-être qu’elle danse. Murmurais-je, en souriant.
Nous n’avions plus que trois petits mois à attendre avant de la découvrir. Mais j’avais déjà l’impression de la connaître. Elle était déjà si belle à mes yeux. Si belle sous la peau de Freya.

Tokio Hotel était toujours. Plus que jamais. Freya, elle, avait achevé ses études un an plus tôt. Elle était à présent professeur de danse à Los Angeles. De temps à autre, certains directeurs de vidéos musicales faisaient appel à elle pour les chorégraphies. Mais elle ne restait jamais loin de moi. Nous avions acheté, deux ans après son arrivée en Californie, une maison en bord de mer. Bill m’en avait un peu voulu au début mais il avait fini par être encore plus heureux pour nous qu’il ne l’était déjà.
Nous avions décidé de passer ces trois derniers mois d’attentes dans notre ville natale. Le groupe nous avait accompagnés. Ils ne voulaient pas rater l’évènement.

Freya se leva, difficilement. Elle retira son haut de soie et sa jupe, pour se retrouver en maillot de bain.
-Tu es belle. Soufflais-je.
-Je suis énorme.
-Tu es enceinte, Freya ! Riais-je.
Elle s’avança vers l’eau. Je la rejoignis.
-J’aime cet endroit. Fit-elle, en prenant ma main.
-Peut-être qu’on devrait se marier. Dis-je d’un trait.
Cette idée trottait dans ma tête depuis un moment déjà. En fait, depuis que nous étions ensemble, je m’étais toujours vu passer ma vie avec elle. C’était une évidence.
-Tu es censé te mettre à genou devant moi et m’offrir une bague.
Je mis ma main dans ma poche et en sortis un anneau en argent serti d’un diamant.
-Oh… Souffla-t-elle.
-Veux-tu m’épouser ?
-Tu as besoin de le demander ?

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Pas le temps de me relire. J'espère qu'il n'y a pas trop d'oubli de mot. Cette fin vous plait-elle?

Contente que ça te plaise et merci d'avoir lu ma fic!
J'ai bien envie d'en écrire une autre, un peu moins soft. A méditer...

La fin est superbe, j'adore

Vivement ta prochaine fiction !!