[T] Terre de feu. + BONUS

Tu sais que t'es en train d'épuiser tous mes mots là ?
J'sais même plus quoi dire.

Et si j'pouvais je ferais construire mille et une statues de chat en or tout autour de la planète, comme les milles et une merveilles du monde, et on s'en fous si le terre entière dit qu'il n'y en a que sept. C'est mille et une nuit pleine d'étoiles.

T'es pas grande prétresse pour rien.
=)

Désolée, j'ai encore mis du temps !
Mille fois pardon.
En plus, j'aime pas trop cette suite [enfin il ne s'y passe pas grand chose on va dire xD]
Bonne lecture quand même =)
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« Tchouboutchou, dis-moi…
- Oui, ma Oui’ ?
- Huu, tu chantes on dirait ! … Et bien… tu le vois comment le monde, là, tout de suite ?
- Comme une carte au trésor.
- J’aime bien cette réponse… ! »

Des aigus et des graves comme les pièces d’un puzzle, la voix de Magali qui saute à la corde sur mon cœur, cache le rire derrière chaque voyelle et la douceur derrière chaque consonne. Elle aime jouer, moi aussi, mais d’une autre façon.

Je me démène pour trouver un trésor pendant qu’elle s’amuse à cache-cache, parce qu’elle l'a déjà trouvé et qu’elle me laisse quelques indices.

La journée a filé et c’est de nouveau le soir. Avec ma Oui, même les secondes s’hasardent à jouer à la plus rapide, une course folle qui ne faiblit jamais. Le temps passe en une poudre d’étincelles, au rythme de sa casquette qui volette dans les airs. Magali ne sait pas rester en place, et elle a bien raison.

« Tchouboutchou, encore ? »

Sa main osseuse me montre l’oreiller. Il est vingt heures et nous n’avons pas mangé, toujours pas. On ne se nourrit plus, chez Magali. Car quand ma Oui avale, elle recrache.

Peut-être qu’elle est trop pure pour recevoir quoi que ce soit de ce monde. Peut-être que son ventre refuse tout ce qui pourrait la pervertir. Peut-être pas.

Je ne sais pas pourquoi Magali va toujours s’enfermer dans les toilettes après les repas. Je ne comprends pas pourquoi ses doigts vont faire ce geste et pourquoi elle se sent mieux ainsi, vidée de tout. Pourquoi ma Ouistiti cherche le néant alors qu’elle a l’infini à portée de main.

Je hoche la tête doucement et tente d’ignorer mon ventre qui grogne comme le vent qui s’engouffre dans une caverne au bord de la mer.

J’ai faim, moi. J’ai faim de tout. De savoir, d’amitié, de beauté, de tristesse, du monde, de torrent, de montagne, de la Terre, d’amour, de gens, de bêtise, d’incompréhension, d’énigmes, de vie. Johann me dit de temps en temps qu’il faudra que je prenne garde à ne pas trop vouloir. Qu’à force on oublie le plus important

J’ai perdu cet essentiel depuis ma naissance, je crois. Quand j’ai pris l’envie de ma mère en même temps que son espoir et qu’on l'a contenu dans une méfiance et un dédain dont je n’aurais pas voulu, si on m’avait donné le choix.

En attendant, ici c’est Magali et Amlou, Ouistiti et Tchouboutchou. Une amitié que la mort ne détruira pas et son estomac peut bien tout rendre, ça n’a pas d’importance. Je sais qu’elle me veillera pendant mon sommeil et qu’elle sera là à mon réveil. C’est tout ce qui compte.

« Oui, encore. »

Et si on créait la douce habitude ?

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Vous êtes encore là ?

Eh ben elle en à mis du temps cette suite, feignante ^^
mais en même temps ça valait la peine d'attendre...

tes mots mais....mais comment tu fais pour faire des métaphores comme ça? pour les imaginer, pour les écrire tout simplement....ahhhhrf moua jalouzzZzzZzzeee xD

Très simple.
=)

Tchouboutchou...
Tchou Tchou !
Et je le répète encore et encore ^^


Sinon, j'suis plus là moi, tu m'as transporté dans un autre monde là...
Sans rien.
Te smots, si simples soient ils bah ils marquent fort un coeur moi j'te dis.

<3

********************** sans voix ***********************

j'adoe!!!!!!!!! la suite!!!!^^

=) Je suis fière de moi. Cette fois, vous n'avez pas trop attendu, huhu.

Voilà, merci d'être là. Continuez, surtout. :p

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La roue de la fortune tourne, s’amuse avec mes émotions, de simples cartes entre ses mains ténébreuses. Comme au millionnaire, quand la boule s’arrête trois secondes sur le million et qu’elle repart, traîtresse, j’arrive sur la case bonheur et on m’oblige à repartir.

La présentatrice de ma vie fait rire les spectateurs et ils tapent dans leurs mains pour en avoir encore. Faites-lui espérer l’impossible et enlevez-lui, qu’on puisse voir encore son air accablé. Le malheur des uns fait le bonheur des autres, et c’est tellement agréable de rire des mésaventures des jeunes filles perdues.

Mais assis dans leurs fauteuils c’est sûrement eux les perdants au bout du compte. Moi je vis. Ou plutôt, en ce moment précis, je rêve.

La roue gigantesque tourne, seule sur une terre aride et noire, ses rouages grinçants comme une vieille balançoire, bruit mélancolique. Et ma présentatrice est une grande dame encapuchonnée, la tête dans l’ombre, la peau très pâle et les yeux injectée de sang.

Ma vie semble être dirigée par la mort. Le subconscient a de ces idées, parfois…

Et coups de tonnerre, pluie, tempête. La terre respire, la terre absorbe, la terre revit. Apparemment, mon esprit est orageux. Mais si au bout du compte cela apporte un nouveau souffle, autant affronter les tourments du temps.

Et d’ailleurs, la terre noire se lave, se détache de son mal, s’épure… Quand la couleur se révèle à mes yeux incertains et que les ténèbres deviennent sang. Me revoilà chez lui.

« M’Amlou… »

Sa voix, quelque part, par ici, par là, où ça, je ne sais pas, j’avance et je trouverai bien. Le vent fouette mon visage et je me sens comme à la mer, prête à aller me baigner.

Mes pas laissent des empreintes, à présent. Chaque fois que je reviens ici, je trouve plus de consistance, plus de réalité. Je creuse mon sillon dans cette vie rêvée, peut-être parce que je prends de l’importance dans sa vie à lui.

« Tu sais, il y avait de la vie, ici. Avant, bien avant toi. Avant les dépressifs qui sont venus s’y égarer. Avant que tout devienne immobile. Avant que tout se fige dans la monotonie. Avant que je quitte la Terre. Avant même que j’en rêve. Avant même que les humains connaissent l’existence de ces terres. Il y avait de la vie. »

Bill et ses mots destin, comme si tout ce qui nous tombait dessus était prédestiné et bien mérité. Bill que je retrouve assis par terre, les yeux errant sur son pays cuivré, embrasé par la solitude et l’ennuie. J’enlace son dos, me fondant presque en lui.

« Et si on explosait le passé en plein morceaux de présent et d’avenir ? »

Instant de silence. Ce monde est rythmé par lui, alors j’attends.

« … Explose-le, Amlou. Je te regarderai faire. Tu m’apprendras, si tu y arrives.
- Crois en toi, un peu.
- Moi j’ai abandonné. Tu viens tout foutre en l’air avec ton air de jeune fille paumée mais au bout du compte tu deviens mon guide, et je ne t’ai rien demandé. Tu le sais, ça ?
- Pardon, si c’est ce que tu attends.
- Oh non, pas pardon, m’Amlou. Pas pardon. J’en crève, maintenant, de tes absences. Alors peut-être de rien, plutôt. Parce qu’à présent je sens que je vais te devoir tellement de choses…
- On verra bien. Ton fameux destin que tu me chantes à demi mot nous le dira. »

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J'espère que... Ben que ça vous fait toujours rêver... =)

ahhh mais moi ça m'enerve mais j'te juuure ^^^

"oué j'arrive pas moi non plus...gnagna..."
Mes fesses ! (edt chuis polie xD)
t'as vu coment c'est beau? t'as vu hein?
bah regarde et après bah...tu mettra une autre suite ! :p

Toi et " La petite charlotte" (humhum chanson anonyme^^) j'vous aime fort.
Toi et tes mots c'est comme un souvenir, hop on y repense et ça fait du bien, les tripes se souviennent.^^
I'm quite silly this evening, may be the music I'm listening is strange for my age... =D

la suiiiiiiiiiiiiiiite!

- Crois en toi, un peu.

Et ça c'est valable pour toi aussi Nao =)

Bill (l)

C'toujours aussi beau, y a comme du rêve et d'la vie qui s'échappent de chaque syllabes.

M'nao =) Escuse de merde les contrôle xD Tinquiet pas M'naoo on te pardonne !! =p Mais pardonné de quoi? J'suis conne t'as rien a te faire pardonner !! T'es une fille très gentille, qui écrit comme un Ange* =) Oh M'nao si tu savais comment j'aime ce que tu écris. Je pars dans un rêve, Parfait*. Merci.
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" La roue de la fortune tourne "

" Faites-lui espérer l’impossible et enlevez-lui, qu’on puisse voir
encore son air accablé. "

" Moi je vis. Ou plutôt, en ce moment
précis, je rêve. "

" Ma vie semble être dirigée par la mort. Le subconscient a de ces idées, parfois… "

" Et
coups de tonnerre, pluie, tempête. La terre respire, la terre absorbe,
la terre revit. "

" la terre noire se lave, se détache de
son mal, s’épure… Quand la couleur se révèle à mes yeux incertains et
que les ténèbres deviennent sang. "

« M’Amlou… »

" Sa
voix, quelque part, par ici, par là, où ça, je ne sais pas "

" Mes pas laissent des
empreintes, à présent. "

« Tu sais, il y avait de la vie, ici. Avant, bien
avant toi. Avant les dépressifs qui sont venus s’y égarer. Avant que
tout devienne immobile. Avant que tout se fige dans la monotonie. Avant
que je quitte la Terre. Avant même que j’en rêve. Avant même que les
humains connaissent l’existence de ces terres. Il y avait de la vie. »

" Bill
et ses mots destin "

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Tous ce que je préfère !!

.... [Sans voix]

Le monde ne nous donne pas toujours c'qu'on veut mais ce que tu écris c'est l'une des pieces d'un grand puzzle appelé Bonheur ma Nao (L)

Nao.
Mais putain Nao.
Tu m'as laissé sur le cul.
Cette... Cette fic c'est... C'est quoi ?
Elle est terriblement belle. Me lacère le coeur et j'en r'demande malgrès moi.
Merde Nao. Merde.
Cette fic...
Magique. Incroyable.

(L)

wahou

j'en ai le souffle coupé

comme à chaque fois

j'crois bien que je suis morte dès le début

et j'en crève encore plus d'atendre d'avoir mon poison tous les jours

j'm'en veux d'avoir swippé les trois dernières suites

(c'est pas ma faute hein c'est mon ordi qui me prévient plus quand y a un morceau de bonheur qui s'ramène sur internet)

j'croyais que quand on était aveugle on pouvait pas être aveuglé encore une fois

et ben pourtant c'est ce qui m'arrive

la suite hein

sinon je te refais le coup du mort vivant pervers(wouhou ça m'exite tout ça...)

M'nao tu nous mets une suite ... S'il te plait =)
*Je vais te connaître*

*Je te connais presque entierement*

Décidemment, je vous fait attendre…
Désolééééeeee !
Je tâcherai de faire plus vite dorénavant…

Vous me suivez toujours malgré mon retard ?

[Pao... Je suis contente d'avoir été une bonne surprise. =)
Prune, t'es trop adorable :p
Emma... <3 et puis c'est tout. Na.
Mon toutou chéri, je suis soulagée de te revoiiiir ! J'ai cru que tu ne m'aimais plus, vieeennns faire un cââââlin pour te faire pardonner XD]

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« Dis, m’Amlou… Comment tu fais ?
- De quoi, Bill ?
- Vivre si fort, respirer si profondément, faire renaître ce rêve. Tu ne le sens peut-être pas, mais depuis que tu es venue pour la première fois c’est comme si des énergies cosmiques se mettaient en place. Et ça agit, réagit, partout il y a des effusions de couleurs invisibles et pourtant tellement belles, de la magie Amlou qui réchauffe les cœurs. Alors dis-moi, comment tu fais ?
- Je redistribue.
- Comment ça, m’Amlou ?
- Je t’offre ce que l’on m’a donné. C’est tout. Mes mentors sont derrière moi et me surveillent. Et je suis sûre que s’ils m’ont tout appris c’est pour que je puisse mieux te le retransmettre. »

Bill me serre la main, comme si je devenais son ultime secours, sa dernière porte de sortie. C’est comme s’il me criait de rester, de partir, de disparaître, de revenir, de changer ça, de faire quelque chose, n’importe quoi, un rien, un tout.

De redonner à Mars l’éclat de sa splendeur des premiers jours. De rendre à ce songe ce qui plaisait tant à Bill quand il a décidé de changer de planète.

« Bill, et si on grattait la surface ?
- De quoi, m’Amlou ?
- Du sol. Qui sait ce qu’on découvrira dessous. Car après tout, ici c’est notre rêve, n’est-ce pas ?
- Oui… ?
- Reprenons-en les rênes. »

Je m’installe à quatre pattes sur le sable roux et me mets à frotter, avec force, comme on creuse sur la plage des grands trous pour ensabler ses amis.

Et alors, comme une jolie surprise, c’est un geyser qui se cachait dans la terre. L’eau nous arrive à la figure, chaude, nous abreuve, et ce n’est pas que de l’eau, c’est un ensemble, c’est nettoyer les mauvaises pensées, c’est emporter les restrictions, c’est balayer et mettre un souffle nouveau.

Tiens ? Bill rit. Tout un monde.

« T’as vu, Bill ? C’est magique, hein ?
- Tu es magique, mais je le savais déjà. »

L’arc-en-ciel naît de nos mains nouées, Bill. Je ne peux rien faire si ce n’est pas pour toi. Ici, c’est toi et moi. Alors repeignons-nous.

« Bill, c’est déjà l’heure… Tu continues sans moi ?
- Si j’y arrive, un petit peu.
- J’attends avec impatience tous nos futurs progrès !
- Allez, vas te réveiller, m’Amlou. Je vais tâcher de vivre. »

Vide. Echappatoire. Petite porte. Falaise. Tomber. Noir. Néant. Souffrance. S’écraser. Sang. Un coup. Et ma vie qui finit.

Sursaut. Sueurs froides. Ce n’était qu’un rêve, oui. Et j’ai atterris dans les bras de ma Oui’.

Mes yeux dans les siens cernés de violet, l’extrême fatigue de son corps. Je crois bien qu’elle n’en a plus pour longtemps et je ne sais pas comment la retenir, ou même si j’en ai simplement envie.

Si Magali allait rejoindre Johann, peut-être qu’elle serait plus heureuse, dans le fond.

« Bonjour, Oui’.
- Bonjour, Tchou’.
- Tu es heureuse ici-bas, petite fleur ?
- Certainement pas. Mais je veux que toi, tu le sois. Sinon tout ça n’aurait servi à rien.
- Je voudrais l’être avec toi, tu sais.
- Mais c’est impossible.
- Je sais.
- Même si tu n’as pas encore compris la raison.
- Et que je ne la comprendrais jamais.
- Parce qu’en toi brille l’envie de vivre. Si tu savais, Tchouboutchou… Si tu savais comme c’est beau…
- C’est parce que j’ai pris ton envie avec moi. Et celle de Johann, et celle de ma mère. Je suis une voleuse ?
- Non. On te les a donné, nos envies.
- Je m’en rends compte, je crois.
- Et maintenant, tu veux les partager. C’est ta plus grande chance, et tu l’as attrapée au vol comme une grande. On est tous fiers de toi, tu sais. »

Etrange comme les rêves se rapprochent de la réalité.

« Dis Magali, tu crois qu’il existe ?
- Evidemment, enfin. Quelle question.
- J’ai juste besoin d’assurance.
- Oui, il existe. Mieux encore, il respire pour toi, à présent. Chéris-le. »

Encore un peu, je veux te sentir contre moi, ma Oui’.

Pourquoi je te sens déjà disparaître ?

Dans le fond, j’ai l’impression que tu es déjà morte.

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J’espère, comme toujours.

Je te répond, en mangant toujours du poiisson pané xD !! Merci de m'en avoir donné tout à l'heure =) Oh M'naoo "gens" merveilleux ... Merci d'avoir mis la suite ... Oh la tête M'naoo ... Chuut Prune ... Tu es belle ( L )

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« Bill, et si on grattait la surface ?
- De quoi, m’Amlou ?
- Du sol. Qui sait ce qu’on découvrira dessous. Car après tout, ici c’est notre rêve, n’est-ce pas ?
- Oui… ?
- Reprenons-en les rênes. »


« T’as vu, Bill ? C’est magique, hein ?
- Tu es magique, mais je le savais déjà. »

L’arc-en-ciel
naît de nos mains nouées, Bill. Je ne peux rien faire si ce n’est pas
pour toi. Ici, c’est toi et moi. Alors repeignons-nous.

« Bill, c’est déjà l’heure… Tu continues sans moi ?
- Si j’y arrive, un petit peu.
- J’attends avec impatience tous nos futurs progrès !
- Allez, vas te réveiller, m’Amlou. Je vais tâcher de vivre. »

Vide. Echappatoire. Petite porte. Falaise. Tomber. Noir. Néant. Souffrance. S’écraser. Sang. Un coup. Et ma vie qui finit.


- Parce qu’en toi brilles l’envie de vivre. Si tu savais, Tchouboutchou… Si tu savais comme c’est beau…


Etrange comme les rêves se rapprochent de la réalité.

« Dis Magali, tu crois qu’il existe ?
- Evidemment, enfin. Quelle question.
- J’ai juste besoin d’assurance.
- Oui, il existe. Mieux encore, il respire pour toi, à présent. Chéris-le. »


Pourquoi je te sens déjà disparaître ?

Dans le fond, j’ai l’impression que tu es déjà morte.

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J'aime tellement M'nao ( L )
Une suite ?! ( L ) Oh M'nao =)

Je sais pas trop ce que je fais là mais bon, tu vas pas se plaindre, si?

J'aimerai bien t'écrire que tu fais battre mon coeur comme jamais mais vu qu'il s'est jamais arreté de battre ça a pas grand intéret.
J'aimerai bien t'écrire que t'écris comme une déesse mais à vrai dire, j'ai vu une déesse écrire (je n'ai jamais de déesse tout court d'ailleurs).
J'aimerai bien rester là à attendre la suite mais je risque de faire une crise cardiaque et mon bac blanc ne le permettrai sans doute pas.

Bon, je vais tacher de retrouver la sortie.