[T]"Je vis dans tes yeux,tu vis dans mon coeur..

Chapitre 20 :


POV Tom :

J'essuie mes yeux pour la dixième fois depuis que je suis sortis de la maison.
'est la première fois que Bill me frappe, enfin on se disputer quand on été petit mais c'était différent, jamais je n'avais vu autant de haine dans ses yeux envers moi.
Je masse ma joue, je n'ai pas eu mal mais c'est le geste qui m'a blesser. Et puis peut-être qu'il n'avais pas entièrement tord dans ce qu'il m'a dit à propos de Lyra...
C'est vrai que je pense souvent à elle, je rectifie je pense tout le temps à elle, quand je suis dans les bras d'une autre c'est à elle que je pense, c'est avec elle que je voudrais être, une fois il m'est même arriver de murmurer son prénom...
Si Bill avait raison?
Enfin non je sais qu'il à raison mais je refuse de l'admettre, j'ai était lâche et con, j'ai eu peur du regard des autres, c'est ridicule hein mais quand on devient célèbre c'est pas facile à gérer, parfois on fait des conneries, des choses qu'on regrette, mais maintenant trop tard pour faire marche arrière j'ai fait une connerie j'assume.
Je marche sans trop savoir où mes pas me mène, mes yeux ne quitte pas le trottoir à croire que c'est la huitième merveille du monde.
Je heurte quelque chose, un arbre, je suis arrivée à l'orée de la petite forêt pas loin de la maison.
J'ai jamais aimé y aller la nuit, je suis pas d'un naturel trouillard mais c'est pas très rassurant.
Je tourne la tête vers la gauche, une petite rue sombre, je pense que personne pensera à y aller à par moi. Je m'engage donc à l'intérieur et reprend ma contemplation du sol jusqu'à ce que de nouveau je fonce dans quelque chose sauf que cette fois ce n'est pas un arbre.
Je relève les yeux et tombe dans deux prunelle grises, Julian...
J'ai un mouvement de recul mais avant que je n'ai pu faire un geste il m'attrape brusquement par la gorge et me plaque contre un mur et cette fois ce n'est pas un rêve...
-Comment c'est possible, t'es en prison ! Je murmure incapable de parler plus fort.
Il à un rire satisfait.
-Les choses ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être Kaulitz, et cette fois il n'y aura personne pour te sauver !
Sa poigne se resserre autour de mon cou, je suis incapable de faire le moindre geste, je suis totalement paralysé par la peur.

Suite?