╔╝Chapitre 21 : C’est … euh … incorrecte. ╔╝
Monsieur Las est un homme … une grande âme … un petit cœur … et un grand menteur. Il a toujours gagné ces procès … que se soit dans le négatif ou le positif … il sait chercher … il sait cacher.
Il prend le téléphone qui sonne dans ça main … répondant d’une voix encore un peut endormi.
Monsieur Las : Oui allo ?
… : Bonjours, je suis Engel Schwarzer.
Monsieur Las : Bonjours mademoiselle … pourquoi m’appelez-vous ?
Engel : Pour rouvrir le dossier de ma mère.
Monsieur Las : Oui bien entendu … mais je ne fais pas ça.
Engel : Oui je sais … mais à se qu’on ma dit … on aurait perdu ou égaré le dossier … donc je voulais vous demandez si vous pouviez en faire un deuxième exemplaire.
L’avocat regarde sur son ordinateur … le dossier devant les yeux … une écriture Arial d’une taille onze recouvre plusieurs pages.
Monsieur Land : C’est impossible … nos dossiers ont tous bruler dans un incendie l’été dernier.
Un mensonge … encore une fois ... il ne veut pas dire que se dossier et inouvrable … impossible de le mettre de nouveau devant un juge … trop de mensonge se propage dans se dossier … condamner à tors pour plusieurs choses rajoutant un an à sa condamnation à chaque fois … condamner pour meurtre de son mari … pour possession de drogue … pour meurtre d’un homme de sans froid, homme qui n’est pas son mari … elle s’en est sorti avec 20 ans de prison. Elle aurait du être condamner plus ou moins 4 ans.
Engel : Vous n’avez pas de copie sur votre ordinateur ?
Monsieur Las : Je suis entrain de regarder.
Il ne pianote pas sur son ordinateur … il regarde le dossier de son client qui va arriver dans quelque minute.
Monsieur Las : Je n’ai pas la copie du dossier.
Engel : Comment puis-je le retrouver ?
Monsieur Las : Appelez la prison.
Engel : Bien.
Un en revoir … un mensonge … les téléphones se raccrochent presque dans la même seconde. Elle aurait tellement aimé le voir pour mieux parler … mais rien ne se fera.
Le guitariste est installer sur son lit … regardant Engel entrain décrire délicatement sur le cahier sombre qui lui est utile pour apprendre … apprendre à construire des phrases simples mais en même temps compréhensible … composant également des phrases qui pourront lui être utile pour parler au personne de la prison.
Tom : Non … regarde là … tu n’as pas conjugué le verbe.
Engel regarde ça feuille … ces yeux descendent doucement le long du doigt du tressé … découvrant par la suite le verbe non conjugué.
Engel : Faire comment ?
Tom : Ce n’est pas « faire comment ? » … c’est « Comme dois-je faire ? »
Engel regarde le guitariste … comprenant la phrase.
Tom : Redis-le.
Engel : Comme ... dois-je ... faire ?
L’hésitation s’entend dans ça voix … et pourtant ça phrase est correcte.
Tom recommence … pour la cinquième fois les terminaisons du présent dans la langue allemande. Il avait trouvé des cours d’allemand sur internet … et à commencer à réorganisé les cours pour les expliquer correctement à Engel.
La jeune fille à du mal à comprendre … mais se force … elle continue … elle essaie toujours plus … elle est rester plus de deux heures devant ce cours qu’elle ne comprend pas complètement … mais Tom continue encore et encore de lui expliquer … perdant quelque fois patience … il sortait de la chambre … crier intérieurement … et retournait dans la chambre plus que motiver en voyant le sourire d’Engel.
Gustav est installer devant la télé … repensant au rire qui se propager il y a quelque jours ici … entre Tom et Engel. Ça fait tellement longtemps qu’il ne l’avait pas vue rire comme ça.
De ces petites mains … Weiß essaie en vin d’attraper les lunettes noirs du batteur. Se dernier sourie en voyant l’enfant se démené à ça tache. Il l’attrape par ça petite taille et le soulève dans les aires … comme s’il s’envole.
Engel rentre dans le salon … regarde la scène qui se déroule dans le salon. Elle regarde vite fait Tom qui c’est adossé au mur juste en bas des escaliers. Il l’encourage d’un geste de la tête.
Engel : Gustav, je t’aime … beaucoup.
L’incertitude est belle est bien présente … mais la phrase est complète aussi.
Gustav arrête tout ces gestes … gardant Weiß dans les aires … les yeux brillants par la surprise de la voix angélique de sa cousine. Son visage se tourne vers Engel qui se triture les doigts … espérant avoir dit une phrase correcte.
Le batteur prend l’enfant dans ces bras … se lève et s’approche doucement vers Engel … les yeux toujours brillants.
Engel : C’est … euh … incorrecte.
Gustav : Si bien sur … c’est correcte.
Engel : Je parle presque comme … comme tout le monde.
Gustav s’approche d’Engel et l’entour de son bras libre … laissant plein de «
oui » sortir de ces cordes vocales … montrant ça joie.
alors comment vous trouvez cette suite ???
je veux savoir se que vous verez dans la prochaine suite pour voir si je vois la suite comme vous
bisous bisous
Mistig