[PDV externe]
Tout le monde est en ville, Tom ne quitte pas Mistig d’une semelle, il lui a déjà acheté le cadeau, enfin plutôt les petits cadeaux. Bill et Val courent de boutique en boutique. Priscilla et Gustav regarde une vitrine remplit de nounours, Priscilla adore les peluches. Georg et Élodie marchent main dans main, regardant à plusieurs reprises quelque boutique, puis ils parlent.
Mistig : ma diablesse, ma femme, ma femme de n’emo, j’ai besoin de votre aide.
Val : On arrive.
Elle arrive toutes les trois sur Mistig, Tom prend alors la décision de les laisser entre fille. Il rejoint alors son frère qui est rentré dans une boutique de chaussure.
Elodie : Qu’est ce qui t’arrive ?
Mistig : Je voudrais acheter un cadeau pour Tom, mais je ne sais pas où aller.
Val : Je dirais là bas, il y a des trucs pas mal.
Mistig : C’est parti alors.
Elles entrent dans le magasin. Parfums, colliers, bracelets, bagues, il y a de tout.
Priscilla : Tu veux lui offrir quoi ?
Mistig : Un bracelet, je pense, mais pas un truc trop voyant.
Alors que les filles se faufile dans les rayons, à la recherche de ce fameux bracelet, encore mystérieux.
Du côté des garçons, ils se sont tous installer à un café, attendant que les filles sortent de ce magasin.
Mistig : Quelqu’un peut appeler une vendeuse, s’il vous plaît ?
Val : J’y vais.
Alors que Val et parti chercher une vendeuse, Élodie et Priscilla cherchent un bracelet qui pourrais aller au bras de Tom, mais surtout qui pourrait lui plaire. Alors que Val fait son ascension entre les rayons, elle passe par le rayon des bagues, et là en un seul coup elle découvre La bague. Une vendeuse vient lui demander si elle a besoin d’aide, elle demande donc si elle peut avoir cette bague et si elle peut la suivre pour aider Mistig.
La vendeuse : Apparemment, on a besoin de moi ici ?
Mistig : Oui … est-ce qu’on pourrait déballer quelque bracelet que je puisse les toucher ?
Elodie : Elle est aveugle.
Elodie se prend un coup de coude dans les cotes.
La vendeuse : Oh … je vois … avec plaisir.
Alors que la vendeuse s’active à déballer quelque bracelet, que Priscilla et Élodie lui indiquent. Les bracelets déballait, éparpillait sur une table, Mistig dirige ces mains vers la table et touche toute sort de bracelet. Un bracelet sort du lot, surtout au toucher de Mistig, une petite cordelette, une pièce avec un trou au milieu, des signes graver sur cette pièce.
Mistig : Celui là, s’il vous plaît.
Elle touche le bracelet du bout des doigts. Le prenant, et le donnant à la vendeuse.
[Quelque minute plus tard]
Les filles rejoignent les garçons au bar. Mistig heureuse d’avoir trouver le bracelet, donc un sourire imprimer sur ces lèvres. Val saute dans les bras de Bill et lui donne immédiatement la bague qu’elle venait de lui acheter.
Tom : Alors, vous avez trouvé votre bonheur ?
Elodie : On le sera quand tu auras vue ton cadeau.
Mistig : Élodie … tu abuse.
Elodie : Désoler.
[…]
L’après midi se passe de le rire et la bonne humeur, quoi de mieux entre ami. Ils sont tous rentré chez les jumeaux, tous réunie dans le salon, plus ou moins affaler sur les canapés et fauteuils. Tous les portables sont réunis sur la table basse au centre, du salon. L’un des portables vibre sur la table, laissant un écran s’illuminer, un numéro inconnu apparaitre.
Val : Ma sadique ton portable.
Tom prend le portable sur la table basse, et le donne à Mistig.
Mistig : Oui ?
Alors que ça voix retenti dans la pièce et dans l’appareille électrique. Mais l’interlocuteur à l’autre bout du fils ne répond pas, juste une respiration.
Mistig : Il y a quelqu’un ?
Alors que la nouvelle question retenti, la respiration se fait beaucoup plus forte, comme si on venait de monter le volume d’une radio. Alors qu’elle allait poser une troisième question, quelque peut semblable que la deuxième, la respiration s’arrête et une voix retenti.
… : Tu sais très bien qui je suis … parce que tu es à moi.
Mistig ne reconnait pas cette voix, elle ne reconnait pas non plus cette respiration. Elle tourne son visage vers Tom, l’imaginant devant elle. Son visage se crispe d’abord d’incompréhension, puis de peur. Alors que Mistig fait glisser son portable, laissant des bipes résonner dedans.
Elodie : C’était qui ?
Mistig : Je ne sais pas.
Dans ça voix, la peur s’entend, comme elle se lit sur son visage.